École de la Providence

L'école comprend l'ancien hôtel de la rue Clergeot, l'ancien hôtel-refuge urbain des Chartreux du Val-Saint-Pierre, entrée par le 40 de la rue Vinchon et l'ancienne maison de Chantrut, entrée au 42, rue Vinchon.

Ces bâtiments sont inscrits au titre des monuments historiques en 2001[1].

Françoise Marquette, alors que son frère part évangéliser aux Amériques, fonde en 1685 à Laon une école sur le modèle de celle qui est ouverte quelques années plus tôt par les Frères des Écoles chrétiennes . Comme eux elle s'adresse aux enfants pauvres de la ville. Une première fois fermée pour jansénisme, l'école ouvre de nouveau en 1748 au Champ-Martin et essaime dans le diocèse. En 1840 elle s'installe rue Clerjot. EN 1860 la chapelle est édifiée dans la cour. En 1922, après la loi de séparation de l'Église et de l'État, elle prend le nom de Sœurs Marquette ou sœurs des écoles chrétiennes. L'institution prend le nom de Sœurs de la Providence en 1952 avec son rapprochement des Sœurs de la Providence de la Pommeraye.

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  Avec sa chapelle XIXe,
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  portail, rue Clerjot,
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  sculptures sur la façade,
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  façade à l'angle des rues Doumer et Cordeliers.

• Jean Marquiset, A travers le vieux Laon, Laon, imprimerie des Tablettes de l'Aisne, 1902.