École primaire Emir Abdelkader (Batna)

L’école primaire Émir Abdelkader (ar :المدرسة الإبتدائية الأمير عبد القادر[1]) (autrefois appelée: École indigène Principale du Stand) a été édifiée en 1925 dans la ville de Batna en Algérie. Elle a formé plusieurs générations de « jeunes indigènes » durant la période française. Avant cela, les élèves Algériens étudiaient à l'école de garçons Européens. En 1893, On a ouvert la première classe pour les indigènes au sein de l'école Européenne. Au début du XXe siècle, il y avait 3 classes d'indigènes à l'école Européenne. L'École primaire principale du Stand a été inaugurée au mois d'octobre 1925 et elle était constituée d'abord de 5 classes. Les travaux de construction de l'école, comme nous la connaissons aujourd'hui, n'ont été terminés que vers la fin des années 1940.

École Émir Abdelkader
Entrée de l'école depuis les allées Mostefa Benboulaïd
Histoire et statut
Type Enseignement Primaire Public
Administration
Études
Localisation
Ville Batna
Pays Algérie
Coordonnées 35° 33′ 23″ nord, 6° 10′ 38″ est
Géolocalisation sur la carte : Batna
Géolocalisation sur la carte : Algérie

Situation

L’école primaire Émir Abdelkader est située au centre-ville de Batna, dans le quartier emir abdelkader (ex- stand et ex quartier Faubourg Gilles). L’école est délimitée par la rue Sidi Hanni au sud-est les allées Mostefa Benboulaïd au sud-ouest, au nord-ouest pas la rue de l'Aurès. On peut y accéder par les allées Mostefa Benboulaïd et au nord-est.

Histoire

Pour un article plus général, voir Histoire de Batna.

L’école primaire a été construite en 1925 sous le nom de l’école indigène des garçons du Stand, par l’architecte Charles Montaland[2] puis renommée après l'indépendance en école primaire Émir Abdelkader. En 1941 l’établissement sera transformé en hôpital destiné à accueillir les blessés alliés, des combats de Tunisie et de Libye[3] pondant la 2e guerre mondiale.

Élèves célèbres

Bibliographie

  • Mostéfa Merarda "Bennoui", Sept ans de maquis en Aures, chap. 1 (« Un jeune homme avant la révolution ») p. 10, Dar El-Houda, Ain M’lila, 2004.

Notes et références

  • Portail de l’éducation
  • Portail des Aurès
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