A. J. Mohammad Ali

Le père d'Ali, M. H. Khandaker, a été le premier procureur général du Bangladesh[1]. Ali a été inscrit pour exercer à la Haute Cour en 1980 et à la Division d'appel en 1985. Il a été nommé procureur général adjoint le 23 octobre 2001 et procureur général, par le président Iajuddin Ahmed, le 30 avril 2005, en remplacement d'A. F. Hassan Ariff qui a démissionné[2]. Il a démissionné de ce poste le 24 janvier 2007. Peu après l'arrivée du président Iajuddin Ahmed à la tête du gouvernement intérimaire, des groupes d'avocats ont exigé la démission d'Ali, l'accusant de partialité envers le Parti nationaliste du Bangladesh et ses alliés. Ali a également été sévèrement critiqué après que le président de la Cour suprême, Syed J. R. Mudassir Husain, a suspendu une décision de justice concernant des recours en justice contre Iajuddin, ce qui a entraîné des actes de vandalisme de la part d'un groupe d'avocats à la Cour suprême. L'association du barreau de la Cour suprême a depuis lors demandé sa démission.[1]^,[3]. Ali a refusé de rencontrer les journalistes pour expliquer les raisons de sa démission mais un proche du procureur général a déclaré que c'était pour raisons personnelles[4].

Ali a été président de l'Association du barreau de la Cour suprême et président du comité exécutif du Conseil du barreau du Bangladesh[5].

Ali a été l'avocat de l'ancien Premier ministre du Bangladesh, Bégum Khaleda Zia, dans l'affaire de corruption du Zia Orphanage Trust[6]^,[7]. Elle avait la charge et la domination du Fonds de l'orphelinat du Premier ministre, un fonds public, et une énorme somme d'argent dudit fonds a été utilisée et détournée de manière malhonnête par Zia[8]. Il a également été l'avocat de Moudud Ahmed[9].

(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de la page de Wikipédia en anglais intitulée « A. J. Mohammad Ali » (voir la liste des auteurs).

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