Accroupissements
Accroupissements est le titre d'un poème d'Arthur Rimbaud écrit en 1871. Il est inséré dans la lettre adressée à Paul Demeny du (dite « Seconde lettre du voyant »).
Accroupissements
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« Bien tard, quand il se sent l’estomac écœuré… » |
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Ce poème, le dernier des trois contenus dans cette lettre (après Chant de guerre parisien et Mes petites amoureuses) est présenté ironiquement par son auteur comme un « chant pieux ».
Composé de sept quintils d'alexandrins, Accroupissements raconte les trois moments de la journée de « frère Milotus », rythmés par ses défécations.
Derrière la figure de frère Milotus, le critique Steve Murphy estime qu'il faut en fait reconnaitre l'essayiste ultramontain Louis Veuillot[1].
Notes et références
- Cf. Setve Murphy, « Accroupissements ou la physiologie d'un obscurantiste voyant », in Rimbaud et les sauts d'harmonie inouïs, Actes du colloque international de Zurich, 24-26 février 2005, Eurédit, 2007, p. 241-251.
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