Adolphe Colrat
Adolphe Colrat né le à Lyon, en France, est un haut fonctionnaire français.
Pour les articles homonymes, voir Colrat.
Directeur général Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs | |
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depuis le | |
Inspecteur général des finances | |
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Préfet des Alpes-Maritimes | |
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Christophe Mirmand (d) | |
Préfet de la Manche | |
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Jean-Pierre Laflaquière (en) | |
Préfet de Meurthe-et-Moselle | |
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Dominique Bellion (en) | |
Haut-commissaire de la République en Polynésie française | |
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Éric Spitz (d) Alexandre Rochatte (d) | |
Préfèt des Ardennes | |
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Secrétaire général de la préfecture de La Réunion | |
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Naissance | |
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Nom de naissance |
Adolphe Paul Maxime Colrat |
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Issu de l'École normale supérieure et de l'ENA, il alterne des postes dans l'administration centrale et dans la préfectorale d'une part, et dans la France métropolitaine et la France d'outre-mer, d'autre part. Son premier poste de préfet a été dans les Ardennes.
Il est entré dans la préfectorale à un moment clé de l'histoire de l'administration française, avec les premières lois sur la décentralisation en France proposées par Gaston Defferre. De même a-t-il été nommé haut-commissaire de la Polynésie française quelques années à peine après la loi organique faisant de ce territoire un pays d'outre-mer, et renforçant l'autonomie de ces îles et le pouvoir des élus locaux pour tenter de couper court aux arguments des indépendantistes. Dans les deux cas, le rôle de représentant de l’État était à réinventer.[non neutre]
Parcours initial
Né à Lyon, il y passe son enfance, et le début de sa scolarité, jusqu'au baccalauréat. Sciences Po le tente. Il entre donc en hypokhâgne puis en khâgne. Un cursus qui le conduit à l'École normale supérieure (promotion 1975)[1], et à l'agrégation de lettres classiques. Diplômé de l’Institut d'études politiques de Paris, il entre ensuite à l'ENA, l'année de la première alternance à gauche de la cinquième République. Il est de la promotion Solidarité (1981-1983).
Début dans l'Outre-mer
Un stage, dans le cadre de l'École nationale d'administration le conduit à Saint-Denis de La Réunion. « Ce n’était pas un choix de ma part, plutôt un hasard de l’ENA[2] ».
En sortant de l'ENA, il choisit la préfectorale et devient sous-préfet. Dans la continuité de son stage, sa première affectation le ramène à La Réunion comme directeur de cabinet du préfet, de 1983 à 1985, sous l'égide successivement de Michel Francis Levallois[3], puis de Michel Blangy[4]. Le journaliste américain Mort Rosenblum, qui le croise, le décrit comme le produit typique des écoles formant l'élite de l'administration française, habillé de façon très classique, costume gris bien coupé et cravate de soie couleur Bordeaux, et « sans âge[5] ». Mais il apprend son métier, sur le terrain, et découvre un territoire et une culture.
Allers-retours entre administration centrale et préfectorale
Il revient ensuite en métropole en 1985 et y devient sous-préfet à Ussel. C'est le fief électoral de Jacques Chirac, patron de l'opposition au parti socialiste alors au pouvoir. En 1986, à la suite des élections législatives qui font basculer l'Assemblée nationale à droite, Jacques Chirac devient le premier ministre français, cohabitant avec François Mitterrand, président de la République. Nommé par le précédent pouvoir, Adolphe Colrat aurait pu se trouver en difficulté. Mais au contraire, fidèle à ses principes de fonctionnement qui incluent le respect des choix démocratiques, le respect des élus de tout bord et une certaine réserve vis-à-vis des jeux politiques, il n'est pas remis en cause par un Jacques Chirac qui l'a vu à l’œuvre[2].
En 1987, il est appelé à Paris comme chargé de mission auprès du directeur général de la Police nationale. Puis, de 1990 à 1992, il devient sous-directeur de l'urbanisme, du logement et des équipements à la préfecture de Paris.
Son parcours et les aléas des affectations le ramènent ensuite dans l'Océan Indien. En 1992 en effet, il est nommé secrétaire général de la préfecture de La Réunion. En 1995, il revient à Paris comme directeur de cabinet de la secrétaire d’État chargée de la Francophonie, Margie Sudre. Celle-ci était présidente de Région de La Réunion lorsqu'il y était en poste, puis a été appelé au gouvernement par Alain Juppé, premier ministre, et Jacques Chirac, devenu président de la République française[6]. Margie Sudre est une des rares juppettes du premier gouvernement Juppé à être reconduite au second gouvernement du même premier ministre. Mais en 1997, la droite est battue aux élections législatives qu'elle a provoquées, et un gouvernement de gauche, dirigé par Lionel Jospin, prend la place.
Quittant le secrétariat d'état chargé de la francophonie, Adolphe Colrat est nommé sous-directeur du personnel, à la Direction du personnel, de la formation et de l'action sociale, au sein du ministère français de l'Intérieur. Puis en 2001, il reçoit une nouvelle affectation, toujours à Paris, comme directeur de la protection du public à la préfecture de Police[7].
Préfet des Ardennes
En 2004, le ministre de l'Intérieur du gouvernement Raffarin, Nicolas Sarkozy, procède à un mouvement préfectoral significatif[8], et le nomme préfet des Ardennes[9]. Il succède à Bernard Lemaire dans ce département.
Les principaux dossiers qu'il prend en charge portent sur l'emploi, sur la gestion des risques majeurs (en particulier sur les inondations d'une part, et le nucléaire d'autre part, avec la centrale de Chooz), sur l'infrastructure transport (avec le sujet de l'autoroute A34, et celui de la LGV Est), sur la santé (lutte contre les pollutions, et sur la coopération transfrontalière avec la Wallonie.
Dans ce département caractérisé par la coexistence d'une activité industrielle et d'une activité agricole et rurale, Adolphe Colrat accorde également toute son attention à la finalisation du Projet Départemental d'Orientation Agricole (PDOA).
Concernant les infrastructures de transport, l'autoroute A34 représente une enveloppe de 278 M€. Après l'étape de l'enquête d'utilité publique et l'étude technique réalisée par la DDE, le dossier est transmis au Conseil d'État.
Le , il accueille à Sedan Renaud Dutreil, ministre de la Fonction publique et de la Réforme de l’État, en visite dans le département. Ils visitent la société Tapis point de Sedan, avant de se rendre à la Chambre de Commerce et d’Industrie où une rencontre avec les chefs d’entreprises est organisée. Un déjeuner est ensuite organisé avec les élus du Département, au Conseil général. L’après-midi est consacré à la visite de Rethel où le ministre s’entretient des simplifications administratives possibles dans le domaine agricole avec les responsables de la FDSEA et du CDJA[10]. Cette visite permet aussi d'évoquer l'intérêt d'une implantation en Ardennes de l'ANTS, l'Agence nationale des titres sécurisés. Cette implantation sera officialisée un an et demi plus tard, fin 2006, et permettra en 2007 de créer une centaine d'emplois[11].
Le préfet s'efforce en effet de favoriser l'emploi, soit en facilitant des créations d'entreprises, soit en réagissant sur des menaces de réduction d'emplois en s'efforçant de faciliter des solutions de reprise sur les entreprises menacées, en luttant contre l'externalisation et en favorisant des implantations nouvelles. Avec des réussites et des échecs. Un des dossiers les plus noirs concerne l'entreprise ATG (Ateliers Thomé-Génot), fondée en 1855. En , cette entreprise dépose le bilan et passe en redressement judiciaire. Le préfet Adolphe Colrat vient à peine d'arriver dans le département lorsque cette nouvelle tombe. Il s'emploie, avec les services de l'État et le Medef, à rechercher des repreneurs potentiels. Avec succès, semble-t-il dans un premier temps. Après avoir reçu et examiné différentes offres, l'administrateur judiciaire se laisse convaincre par une société américaine, Catalina. Le , ATG cède 75,09 % de son capital à Catalina, sous réserve que le tribunal de commerce accepte le plan de continuation. Le , le tribunal de commerce valide le plan de continuation déposé par Catalina[12]. Adolphe Colrat, satisfait et rassuré, affirme un peu vite que l’arrivée de Catalina place l'avenir des ATG sous les meilleurs auspices. Il est d'autant plus satisfait que Catalina, à la différence des autres candidats à la reprise, ne procède à aucune réduction d'effectif, même si l'offre de Catalina n'est pas issue des recherches de repreneur par ses services. Le dossier Thomé-Génot est encore cité en exemple en 2005 par le procureur de Charleville-Mézières lors de la rentrée solennelle du tribunal de commerce[12]. Mais la mystérieuse société Catalina se révèle une coquille vide tenue par des voyous (le terme est du ministre de l'intérieur, Nicolas Sarkozy, fin 2006[13]) qui s'emparent de la trésorerie et vendent des biens immobiliers importants à Nouzonville et Paris. L'argent disparaît dans une cascade de holdings, soi-disant pour constituer un groupe de sous-traitance. Différentes alertes sont émises par le commissaire aux comptes et par des experts désignés par le comité d'établissement pour examiner les comptes et la situation économique de l'entreprise. En , le directeur financier de Catalina dépose le bilan en catimini[12].
Le , alors que son ministre de l'intérieur prépare un déplacement très politique dans les Ardennes, dans le cadre de la préparation des élections présidentielles de l'année suivante, Adolphe Colrat est nommé directeur des affaires politiques, administratives et financières au ministère de l'Outre-mer, à Paris, à compter du [14]. Un décret le place en position de service détaché[15]. C'est Catherine Delmas-Comolli qui lui succède comme préfet des Ardennes.
Le , Adolphe Colrat dialogue avec quelques journalistes avant son départ et dresse un bilan de son action. Il lance également quelques pistes pour l'avenir. « Il faut créer une grande communauté Charleville-Sedan », insiste-t-il en particulier[16], reprenant et actualisant un axe de modernisation, le regroupement des collectivités territoriales, qu'un de ses prédécesseurs, Robert Hayem, avait mis en pratique avec succès. Ce projet, resté au stade de l'idée, a depuis été repris par les maires de Sedan et de Charleville-Mézières qui s'efforcent de la faire aboutir[17],[18].
Retour à Paris, et nouveau passage par la case « administration centrale », pour deux ans. Cette affectation constitue également un retour à l'outre-mer.
Haut-commissaire de la République en Polynésie
Le , Adolphe Colrat devient haut-commissaire de la République en Polynésie française, en remplacement de Anne Boquet[19],[20].
La Polynésie française est devenue en 2003 une collectivité d'outre-mer, puis, par l'article premier de la loi organique du [21], un pays d'outre-mer. Cette dernière dénomination n'a, d'après la décision du Conseil constitutionnel du , aucun effet de droit, mais elle change la perception du rapport entre les îliens et la métropole[22]. Anne Boquet puis Adolphe Colrat doivent se placer dans une logique de gouvernance en cogérance avec le pouvoir polynésien. Ceci est d'autant plus complexe que ce territoire est rentré depuis quelques années dans une période d'instabilité politique chronique rendant difficile le fonctionnement des institutions des îles. Trois hommes se disputent la fonction de président de la Polynésie française, Gaston Flosse, Oscar Temaru et Gaston Tong Sang, et les coups politiques et retournements d'alliances se multiplient. Un des sujets d'affrontement et de polémiques est bien entendu l'indépendance de l'île, le nouveau haussaire (terme familier utilisé en Polynésie pour désigner le haut-commissaire), évitant soigneusement d'entrer dans ce débat, même si ses « chastes oreilles peuvent tout entendre[23] ».
Un autre thème de controverses est un prétendu désengagement de l'État français, que le haut-commissaire réfute[23]. Adolphe Colrat s'emploie d'ailleurs à créer une dynamique plus forte autour d'un contrat de projets signé au palais de l'Élysée par Gaston Tong Sang et son prédécesseur, Anne Boquet, pour résoudre les difficultés de la population sur le logement social, la santé, l'environnement, et la protection face aux catastrophes naturelles[24],[25].
La situation sociale est également tendue. En , un début de grève générale est stoppé en 24 heures, grâce à un protocole d'accord avec l'intersyndicale sur un gel des prix du carburant jusqu'à la fin de l'année, une adaptation de la réglementation en matière de droit du travail avec une nouvelle définition des critères pour les licenciements économiques ainsi qu'un nouveau projet de réforme de la Protection sociale généralisée[26]. Moins d'un an après, en , une grève générale éclate cette fois, et, bien que peu suivie, paralyse certains services publics, notamment le trafic aérien[27], [28]. Il n'utilise à aucun moment la force et réussit, aux côtés de Gaston Tong Sang, à mettre fin à la grève, au bout de cinq jours et de longues séances de négociation, par la concertation avec l'organisation la plus représentative[29].
Adolphe Colrat consacre également une part significative de son temps à expliquer et communiquer sur la position du gouvernement français, et sur son action, que ce soit en dialoguant avec les journalistes à l'occasion d'événements divers, en participant à des journaux télévisés[30], ou en se montrant sur des chantiers concrets telle que la rénovation de la cathédrale de Rikitea, sur l'île de Mangareva[31]. Quelques mois avant son départ, il laisse évoquer ce départ sans le confirmer et participe à une émission de télévision Outre-Mer 1re, où il dresse un bilan de ses deux ans et demi à la tête du haut-commissariat[29].
Retour en métropole comme préfet
Le , Adolphe Colrat est nommé préfet de Meurthe-et-Moselle[32]. Il prend ses fonctions le [33], mais reste en place six mois[34]. Il est en effet très vite appelé à une nouvelle affectation, comme préfet de la Manche[35].
Le , il est nommé préfet des Alpes-Maritimes[36],[37]. Il reste en fonction jusqu'au date à laquelle où il rejoint le service de l’inspection générale des finances comme inspecteur général en service extraordinaire[38],[39].
Le , il est nommé président du conseil d'administration de l'ANDRA[40].
Décorations
- Officier de la Légion d'honneur, promu officier le [41]
- Commandeur de l'ordre national du Mérite le (officier du )[43]
Notes et références
- Recherche nominale, sur archicubes.ens.fr.
- « Adolphe Colrat, les Lettres de l'Etat », L Semaine, (lire en ligne).
- Centre d’Études et de l'Information pour l'Aménagement du Territoire, L’exécutif des départements et des régions, CEEPP, .
- Centre d'Etudes et de l'Information pour l'Aménagement du Territoire, L'exécutif des départements et des régions, CEEPP, .
- (en) Mort Rosenblum, Mission to civilize : the French way, Harcourt Brace Jovanovich, , 470 p., p. 54.
- Margie Sudre, Du Mékong au quai d'Orsay, Flammarion, , 257 p., p. 172.
- « Ministère de l'Intérieur. Adolphe COLRAT, préfet de Meurthe-et-Moselle », sur La lettre du secteur public, (consulté le ).
- « Sarkozy fait valser les préfets », Le Nouvel Observateur, (lire en ligne).
- « Décret du 9 janvier 2004 portant nomination d'un préfet », sur Journal Officiel du 11 janvier 2004, (consulté le ).
- « http://www.cg08.fr/Archives/2005/La-vie-du-Conseil-general/29-avril-2005-Renaud-Dutreil-dans-les-Ardennes », sur site du Conseil général des Ardennes (consulté le ).
- « Tout ce que vous devez savoir de l'ANTS », sur CCI (consulté le ).
- Stéphane Lauer, « Liquidation sommaire dans les Ardennes », Le Monde, .
- « Dans les Ardennes, le candidat au chevet de la France qui souffre », Journal Le Figaro, (lire en ligne)
- « Le préfet des Ardennes sur le départ », L'Ardennais, .
- « Décret du 20 juillet 2006 plaçant un préfet en position de service détaché - M. Colrat (Adolphe) », sur Journal Officiel 168 du 22 juillet 2006, (consulté le ).
- Dominique Charton, « 14 août 2006, Adolphe Colrat : "Il faut créer une grande communauté Charleville-Sedan" », sur le site Carinna Innovation et recherche en Champagne-Ardenne, (consulté le ).
- Guillaume Lévy, « La grande agglo Charleville-Sedan verra le jour en juillet 2013 », L'Union, (lire en ligne).
- Dominique Berthéas, « Le oui du Sedanais au rapprochement avec Charleville-Mézières », L'Union, (lire en ligne).
- ATP, « A. Colrat nommé haut-commissaire, A. Boquet nommée dans les Yvelines », sur TahitiPresse, (consulté le ).
- Argoul, « Ça bouge à Papeete », sur Paperblog, (consulté le ).
- « Loi organique n° 2004-192 du 27 février 2004 portant statut d'autonomie de la Polynésie française », sur Legifrance, site du gouvernement français, (consulté le ).
- Clémence Mallatrait, La France, puissance inattendue: Au XXIe siècle dans le Pacifique Sud, L'Harmattan, , 166 p. (ISBN 978-2296-08591-6), p. 23.
- Lara Dupuy, « Adolphe Colrat rappelle l'engagement de l'État », Les Nouvelles de Tahiti, (lire en ligne).
- « Le cri d’alarme d’Adolphe Colrat », Les Nouvelles de Tahiti, (lire en ligne).
- « Un programme de 120 logements sociaux à Pirae », Les Nouvelles de Tahiti, (lire en ligne).
- source AFP, « Fin de la grève générale en Polynésie », Le Figaro, (lire en ligne).
- « Tahiti : 3e jour de grève, 3.500 voyageurs aériens bloqués », TF1 News, (lire en ligne).
- source AFP, « Fin de la grève générale en Polynésie », Libération, (lire en ligne).
- Brigitte Olivier, « ATU Dire (émission télévisée) Adolphe Colrat », [[Outre-Mer 1re|Outre-Mer 1re]], (lire en ligne).
- Florence O'Kelly-Laurent (présentatrice) et Tiare-Nui Pahuiri (rédacteur en chef), « journal télévisé TNTV du mardi 20 avril 2010 », Outre-Mer 1re, (lire en ligne).
- « Rénovation de la cathédrale de Rikitea », sur Youtube (consulté le ).
- « Adolphe Colrat nommé préfet de Meurthe-et-Moselle », LaDépêche.pf, (lire en ligne).
- Julien Bénéteau, « Adolphe Colrat prend ses fonctions de préfet », Le Républicain lorrain, (lire en ligne).
- « Valse des préfets en Meurthe-et-Moselle », Le Républicain lorrain, (lire en ligne).
- François Groualle, « le Préfet «limogé» et le site internet hacké : ca bouge à la Préfecture de la Manche », sur Le Huffington Post, (consulté le ).
- « Conseil des ministres du 19 juin 2013 : Mesures d'ordre individuel », sur www.gouvernement.fr, gouvernement français, (consulté le ).
- Légifrance Décret du 20 juin 2013 portant nomination du préfet des Alpes-Maritimes (hors classe) - M. COLRAT(Adolphe).
- Le maire LR de Nice Christian Estrosi se félicite alors publiquement de son départ, plusieurs sujets les ayant opposés, Pierre Laberrondo, « Le préfet des Alpes-Maritimes nommé à Bercy », acteurspublics.com, (consulté le ), alors que le ministre de l'intérieur Bernard Cazeneuve salue « un très grand préfet, infatigable serviteur de l’État et de l’intérêt général. Dans les Alpes-Maritimes, comme dans tous les territoires où il a eu à servir au cours de sa brillante carrière, il a suscité le respect et la grande considération de tous ceux qui partagent son sens élevé de l’État, et a fait honneur à la confiance que les gouvernements successifs lui ont à juste titre témoignée. »« Bernard Cazeneuve salue le "grand préfet" Adolphe Colrat », sur Nice-Matin, (consulté le ).
- Décret du 3 novembre 2016 portant nomination (inspection générale des finances) - M. COLRAT (Adolphe)
- JORF du 11 mai 2019.
- Décret du 12 juillet 2013 portant promotion et nomination
- Décret du 30 décembre 2000 portant promotion et nomination
- Décret du 2 mai 2017 portant promotion et nomination
Articles connexes
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