Adolphe Nshimirimana
Adolphe Nshimirimana, assassiné le à Bujumbura lors d'un attentat à la roquette[1], est un dignitaire du régime de Pierre Nkurunziza. Membre de la rébellion du CNDD-FDD durant la guerre civile burundaise, il accède à d'importantes responsabilités dès l'accession au pouvoir de Pierre Nkurunziza : chef d’état-major adjoint de l’armée burundaise puis directeur du Service national de renseignement (SNR) de 2004 à 2014 avant de devenir conseiller principal chargé de mission auprès du Président[2].
Directeur Service national de renseignement (d) | |
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Naissance | |
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Décès |
(à 50 ans) Bujumbura |
Nationalité | |
Activités |
Parti politique |
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Selon plusieurs ONG de défense des droits humains, il serait impliqué dans des exécutions extrajudiciaires, des enlèvements ainsi que dans l'affaire du viol et de l'assassinat de trois religieuses italiennes début [3],[4]. Il est également considéré comme le probable chef officieux des Imbonerakure[2],[5].
Notes et références
- RFi 2015.
- Kibangula 2015.
- RFI, « Burundi : révélations chocs 4 mois après la mort de religieuses italiennes », sur rfi.fr, (consulté le ).
- Patricia Huon, « Burundi : au bar du redoutable Adolphe », Libération, (lire en ligne, consulté le ).
- Burundi : qui était (vraiment) Adolphe Nshimirimana ? Jeune Afrique, le 3 Août 2015
Annexes
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
Bibliographie
- Trésor Kibangula, « Burundi : qui était (vraiment) Adolphe Nshimirimana ? », Jeune Afrique (en ligne), (lire en ligne, consulté le )
Liens externes
- RFi, « Burundi : assassinat du général Nshimirimana, pilier du régime », sur www.rfi.fr, RFI Afrique, (consulté le )
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