Ali Ammar
Ali Ammar (né en 1956) est un homme politique libanais.
Ne pas confondre avec Ali Amar, journaliste marocain, ou Ali la Pointe, vrai nom Ali Ammar, combattant algérien du FLN
Député |
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Naissance | |
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Nom dans la langue maternelle |
علي عمار |
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Parti politique |
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C'est l'une des figures les plus médiatiques et les plus controversées du Hezbollah, célèbre pour ses pics de colère et son langage radical. Ancien footballeur professionnel, il a été élu pour la première fois député chiite de Baabda en 1992, il a échoué en 1996 et a retrouvé son siège parlementaire en 2000, 2005 et en 2009. Il est membre du Bloc de la fidélité à la Résistance.
Le public occidental l'a découvert en décembre 2006, au centre de la polémique liée au séjour de Ségolène Royal au Liban. Il aurait comparé devant elle, à deux reprises, l'occupation israélienne du Sud-Liban à l'occupation nazie de la France, sans que la dirigeante socialiste ne montre sa désapprobation. Selon Ségolène Royal, elle n'a "pas entendu" ces propos "inadmissibles, abominables, odieux" ; "Je n'ai pas entendu cette comparaison et si cette comparaison avait été faite, que ce soit moi ou que ce soit l'ambassadeur de France qui était à mes côtés et qui n'a pas non plus entendu ces propos, nous aurions quitté la salle".
Citation
- « Le nazisme qui a versé notre sang et qui a usurpé notre indépendance et notre souveraineté n'est pas moins mauvais que le nazisme qui a occupé la France[1]. »