António Teixeira de Sousa
António Teixeira de Sousa (ɐtɔniu tɐiʃɐiɾɐ dɨ so (u) zɐ), né le à Celeirós, Sabrosa et mort le à Porto, est un médecin et homme d'État portugais. En 1910, il est le dernier président du Conseil de la monarchie constitutionnelle.
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António Teixeira de Sousa | |
Fonctions | |
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Président du Conseil des ministres du Portugal | |
– 3 mois et 9 jours |
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Monarque | Manuel II |
Prédécesseur | Francisco da Veiga Beirão |
Successeur | Teófilo Braga (intérim) João Pinheiro Chagas |
Ministre de la Marine et de l'Outre-mer | |
– | |
Monarque | Charles Ier |
Premier ministre | Ernesto Hintze Ribeiro |
Prédécesseur | Barros Gomes |
Successeur | Manuel Rafael Gorjão |
Ministre des Finances | |
– | |
Monarque | Charles Ier |
Premier ministre | Ernesto Hintze Ribeiro |
Prédécesseur | Fernando Matoso dos Santos |
Successeur | Manuel Afonso Espregueira |
– | |
Monarque | Charles Ier |
Premier ministre | Ernesto Hintze Ribeiro |
Prédécesseur | José de Franco Frazão |
Successeur | Ernesto Driesel Schroeter |
Biographie | |
Nom de naissance | António Teixeira de Sousa |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Celeirós (Portugal) |
Date de décès | (à 60 ans) |
Lieu de décès | Porto (Portugal) |
Nationalité | portugaise |
Parti politique | Parti Régénérateur |
Diplômé de | Université de Porto |
Profession | médecin |
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Premiers ministres du Portugal | |
Biographie
Il est diplômé en médecine à l'École médico-chirurgicale de Porto, en 1883[1].
Membre du Parti régénérateur, il est élu à la Chambre des députés en 1889. Il est ministre de la Marine et de l'Outre-mer (1900-1903), et, par deux fois, des Finances (1903-1904, 1906). Le , il est nommé président du Conseil des ministres, le dernier de la monarchie constitutionnelle, sous le règne de Manuel II. Son gouvernement est renversé le suivant lors de la révolution qui met fin à la monarchie.
Il quitte la politique après la proclamation de la République, mais montre un soutien modéré pour le nouveau régime.
Distinctions
- Prix Macedo Pinto en 1883 pour sa thèse « Enervação do coração »[1].
Notes et références
Liens externes
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