Arthur Wieferich

Il est né à Münster, fréquente l'Université de Münster (1903-1909) et travaille ensuite comme professeur d'école et précepteur jusqu'à sa retraite en 1949. Il se marie en 1916 et n'a pas d'enfants.

Wieferich abandonne ses études après avoir obtenu son diplôme et ne publie aucun article après 1909. Sa réputation mathématique est fondée sur cinq articles qu'il a publiés alors qu'il est étudiant à Münster.

• « Beweis des Satzes, daß sich eine jede ganze Zahl als Summe von höchstens neun positiven Kuben darstellen läßt », 1908 (DOI 10.1007/BF01450913, S2CID 121386035), p. 95–101.
• Arthur Wieferich, « Über die Darstellung der Zahlen als Summen von Biquadraten », 1908 (DOI 10.1007/BF01450915, S2CID 119483487), p. 106–108.
• « Zur Darstellung der Zahlen als Summen von fünften und siebenten Potenzen positiver ganzer Zahlen », 1909 (DOI 10.1007/BF01451870, S2CID 121732068), p. 61–75.
• Arthur Wieferich, « Zum letzten Fermat'schen Theorem », 1909 (DOI 10.1515/crll.1909.136.293, S2CID 118715277), p. 293–302.
• Arthur Wieferich, « Zur Dreiecksgeometrie », 1909 (DOI 10.1515/crll.1909.136.303, S2CID 199546790), p. 303–305.

Les trois premiers articles sont liés au problème de Waring. Son quatrième article conduit au terme premier de Wieferich, qui sont les nombres premiers ${\displaystyle p}$ tels que ${\displaystyle p^{2}}$ divise ${\displaystyle 2^{p-1}-1.}$

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