Belfast Celtic Football Club
Belfast Celtic Football Club est un club de football nord-irlandais fondé en 1891 et dissout en 1949. Il fut en son temps un des principaux clubs du pays en termes de palmarès jusqu’à son retrait du Championnat d'Irlande du Nord. Après une première interruption de ses activités au début des années 1920, il quitte définitivement le championnat pour des raisons politiques, l'équipe étant principalement constitué de catholiques et de nationalistes irlandais. Le Celtic dissout son équipe après les évênements du Boxing day 1948 où à l'occasion d'une rencontre contre le Linfield Football Club ses joueurs sont attaqués et blessés par la foule assistant au match.
Nom complet | Belfast Celtic Football Club |
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Fondation | 1891 |
Disparition | 1949 |
Couleurs | Vert et blanc |
Stade |
Celtic Park (50 000 places) |
Domicile
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Contexte politique et sportif
Le jeu de garnison
Histoire du Belfast Celtic
La naissance d'un club
Quand le Belfast Celtic football Club nait en 1891, le football n'est établi dans l'île d'Irlande que depuis une dizaine d'années. Venu depuis l'Écosse et en particulier de Glasgow qui est le point principal de l’expansion du football dans le nord du Royaume-Uni, le football est essentiellement implanté en Ulster avec comme point central la ville de Belfast. L'Association irlandaise de football (IFA) est créée en novembre 1880 au cours d’une réunion au Queen's Hotel de Belfast. La base de cette fédération est le Cliftonville Football Club créé l’année précédente par John Mc Alery, un marchand de textiles, de retour d’un voyage à Édimbourg où il a découvert ce nouveau sport[G 1]. Il invite alors les clubs du Queen's Park FC et des Caledonians à un match exhibition le . Il persévère dans son idée en créant l’année suivante un club, le Cliftonville Football Club, puis la fédération dont le premier président est le Major Spencer Chichester.
Dans le courant des années 1880, les principaux clubs de Belfast sont créés les uns à la suite des autres, chaque club étant le représentant d'un quartier de la capitale industrielle de l'Irlande : Distillery à Dunville Park, Glentoran à Ballymacarret, Linfield à Bog Meadows.
L'augmentation de la popularité du football à Belfast et donc son implantation rapide doit être mise en relation avec les conditions sociales, économiques et politiques du développement de la ville de Belfast. Le Belfast des années 1880 joue un rôle majeur dans la révolution industrielle au Royaume-Uni[C 1]. Autant les migrants catholiques de la fin du XVIIIe siècle et dans la première moitié du XIX sont bien accueillis par la population protestante de la ville, autant les choses sont très différentes dans la deuxième moitié du siècle. La grande famine de 1845-1851 a amené de très nombreux irlandais à migrer vers les grandes villes et la puissance économique de Belfast en a fait une destination de premier ordre. En 1890 les catholiques représentent 25 % de la population de Belfast[C 2].
Belfast est rapidement scindée en deux ensembles tant politiques que religieux et culturels, distinguant les protestants et les catholiques. Les relations entre ces deux communautés sont très violentes depuis le milieu du XIXe et notamment depuis le Party Processions Act de 1871 qui permet aux Orangistes de défiler et donc de défier leurs adversaires dans les quartiers catholiques[F 1]. Dans les années 1880, Belfast est une ville en pleine expansion. Les chantiers navals et l'industrie textile très demandeuse en bras, attirent de très nombreux irlandais. La ville grossit à très grande vitesse : à partir de 1890 on note jusqu'à 2000 nouveaux foyers par an en ville. Les nouveaux arrivants se regroupent en fonction de leur religion et une vraie ségrégation se met en place[F 2]. La minorité catholique est largement dispersée dans toute l'agglomération mais très vite la principale concentration se fait dans le district de Pound Loney autour de Falls Road[F 2].
Le Belfast Celtic est créé en août 1891 au 88 Falls Road, en plein cœur du quartier catholique de la ville. Il se place immédiatement dans la lignée du Hibernian Football Club, le club écossais d'Édimbourg et sous le patronage direct du Celtic Football Club de Glasgow. Le secrétaire du club, Bob Hayes, est d'ailleurs chargé de contacter le grand frère glaswegien pour obtenir un patronage[F 3]. Le Celtic lui fait parvenir une aide financière pour développer une équipe de football et acquérir un terrain. Le club titre son nom de son grand frère écossais le Celtic FC et a été fondé sur le même principe de cohésion et de charité de la communauté catholique de Belfast. Le premier stade du club est un ancien terrain d'athlétisme situé sur Broadway à proximité de Falls Road[F 4]. Le stade était surnommé le « Paradis » par les supporters du club.
Créer un club de football dans un quartier catholique n’est donc pas chose évidente. Le football est largement considéré comme un sport invasif. Les nationalistes irlandais parlent de Garrison game, de sport de garnison, en référence au sport pratiqué par les soldats britanniques stationnés en Irlande[F 5]. Les sports gaéliques sont les principales activités sportives de la minorité catholique de Falls Road. De très nombreux clubs se forment à la fin du XIXe siècle comme Milltown, Millvale et Clondara.
Le Celtic commence son activité comme club de jeunes. Il intègre l'Alliance Junior League. Rapidement ses équipes s'affirment comme une nouvelle force dans le football local. Lors des trois premières saisons, le Celtic ne perd que deux des cinquante rencontres qu’elle dispute[C 3].
Le club remporte ses premiers trophées en 1894 avec le Robinson and Cleaver Junior Shield. Il conserve d'ailleurs ce trophée les deux années suivantes[F 4]. Ces premières victoires présentent déjà un avant goût des passions violentes qui marqueront toute l'histoire du club : lors de la finale de 1895 contre le Glentoran Seconds, des supporters du club sont impliqués dans des rixes et lancent des pierres sur les officiels du club. Au terme de la finale, la foule envahit le terrain et de nombreux officiels ainsi que des joueurs de Glentoran sont attaqués, certains sont hospitalisés[F 4].
Alors que le Celtic est encore une équipe junior, le club bat régulièrement des équipes séniors qui disputent le championnat d'Irlande. En 1893, le Celtic bat le Cliftonville FC en demi-finale du Country Antrim Shield avant de perdre en finale contre le Distillery FC. Le celtic est encore finaliste en 1894 avant de prendre sa revanche en remportant la compétition en 1895 sur le même Distillery FC[C 3]. C’est le premier trophée Senior du club. Le club est alors prêt à intégrer les compétitions seniors.
Les débuts en championnat
Depuis 1890, la fédération irlandaise organise un championnat. Celui-ci ne regroupe que des équipes de l’agglomération de Belfast ou de Londonderry. Le principal club est le Linfield FC qui a remporté quatre des six premiers championnats.
Au moment où le club s’apprête à intégrer le championnat d’Irlande qui existe depuis 1890, la violence fait son retour dans les rues de l’agglomération. Le 15 août 1896 est le théâtre d’une des plus violentes manifestations sectaires lorsque des nationalistes irlandais organisent une marche dans les faubourgs de Belfast vers Hannastown afin de réclamer l’amnistie pour les prisonniers politiques irlandais. La procession composée d’environ 20 000 personnes se termine en émeute lorsque, sur le chemin du retour elle est attaquée par une foule loyaliste. La violence continue lorsque les forces de l’ordre interviennent. Le soir même l’armée est déployée pour séparer les deux communautés antagonistes[F 6].
Les premiers pas chez les seniors sont particulièrement difficiles. La première saison se termine sur une note négative avec une dernière place au classement et une seule victoire. Mais la saison a aussi été compliquée par le fait que le club ne dispose pas de stade où accueillir les adversaires. Le terrain de Broadway n'a pas été jugé suffisamment équipé pour accueillir le championnat. Le Celtic a donc joué tous ses matchs à l’extérieur. Le premier match senior est disputé le contre Cliftonville dans le stade de Solitude. Le Celtic perd le match sur le score de 3-1[F 6].
L'errance du club se prolonge jusqu'au milieu de la saison suivante. Le handicap de jouer systématiquement à l'extérieur est trop lourd et le bureau directeur du club se met à la recherche d'un terrain. Il en est même de la survie du club. Ses adversaires engrangent à chaque match à domicile une recette moyenne de 10 livres sterling[F 7], le Celtic lui ne voit aucune recette venir entretenir les finances du club.
Le premier titre
La saison 1899-1900 se prépare dans une atmosphère de violence diffuse et de tensions communautaires. Dès le mois de juillet 1899, les émeutes se succèdent et comme souvent[F 8] c’est une procession orangiste qui met le feu aux poudres. Le Celtic commence sa saison contre Cliftonville. Dès ce premier match, qui se solde par un match nul, les tribunes des stades sont le lieu d’affrontements. Ces violences se déroulent au même moment dans l’est de Belfast lors du match entre Distillery et Glentoran. L’IFA se réunit dans l’urgence et fait placarder dans chaque stade des avertissements fermes à l’encontre des spectateurs[F 9]. La semaine suivante de forts contingents de police sont mobilisés pour la victoire du Celtic sur le terrain de Glentoran.
Le mois d’octobre voit la politique internationale s’immiscer dans la vie quotidienne de Belfast. Le début de la Seconde Guerre des Boers. Autant la guerre réveille des sentiments patriotiques parmi les protestants, autant les nationalistes irlandais traitent la nouvelle avec indifférence. Le Royal Scot Régiment qui est engagé dans le championnat se retire de la compétition. Le Celtic, de son côté décide d’affronter une équipe de « kaffirs » composée de noirs représentant l’État libre d'Orange devant une assistance qui voyait pour la plupart des gens de couleur pour la toute première fois[F 10].
La saison se déroule à l’avantage du Celtic qui se présente, malgré une défaite contre son ennemi intime Linfield en tête du championnat avant la dernière journée. Celtic perd son dernier match de l’année contre Distillery sur le score de 3 buts à un. Cette défaite laisse à Linfield la possibilité de remporter le championnat à la condition de remporter son dernier match sur le terrain de Glentoran. Les Glens l’emportent et offrent ainsi le titre de champion d’Irlande au Celtic, 9 ans après la création du club et quatre ans après avoir intégré la compétition[F 10]. L'équipe est construite autour de trois joueurs, le défenseur Jimmy Connor, le milieu offensif Pat McAuley, qui est le premier joueur du club à avoir été sélectionné en équipe nationale et l'ailier écossais Joe Abrahams[C 4].
Le club profite de la nouvelle aura acquise avec ce titre pour abandonner le Klondyke, le terrain loué où il a disputé tous ses matchs à domicile, pour se porter acquéreur d'un terrain sur Donegal Road à proximité immédiate du quartier nationaliste de Falls. Le nouveau domicile du club porte le nom du stade de son grand frère glaswégien, le Celtic Park. Le terrain est rapidement surnommé The Paradise (le Paradis). Le premier match officiel est disputé le 31 août 1901 avec une rencontre contre Glentoran[F 11].
Le club prend aussi appui sur son titre de champion pour améliorer ses structures économiques. Le bureau directeur met en place une compagnie qui prend le nom de The Belfast Celtic Football and Athletic Company Limited. Cette entité prendra en charge l'ensemble des activités du Celtic, son équipe de football bien évidemment, mais aussi ses œuvres caritatives, et ses autres activités sportives (cyclisme, courses de lévriers, athlétisme, cricket)[C 5].
Première suspension
Le Celtic, de par implantation et son implication dans le soutien aux communautés catholiques de Belfast, est en prise directe avec l’actualité politique de son pays le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande et donc aux velléités indépendantistes de l'île d'Irlande. L'introduction d'un troisième débat sur le Home Rule en 1912 par le premier ministre britannique Herbert Henry Asquith va rattraper le club est creuser un peu plus le fossé qui le sépare des autres clubs du championnat et de la fédération irlandaise[C 6].
En réaction au Home Rule, les opposants au projet organisent le une immense manifestation regroupant 500 000 personnes pour officialiser la signature de l'Ulster Covenant. Ils s'engagent ainsi à défier le Home Rule par tous les moyens possibles[1]. Le football est au cœur des évènements. Deux semaines plus tôt, Le 14 septembre a lieu un match entre le Celtic et Linfield. Cette rencontre est la cristallisation des luttes du pays, un club nationaliste rencontrant son pire ennemi un club loyaliste. Le match est interrompu à la mi-temps à cause des affrontements qui se déroulent dans les tribunes[C 6] et autour du stade.
La politique n'entame pas la progression du club. Alors que depuis son dernier titre les résultats du club ont été en dents de scie avec seulement deux places dans les trois premiers, le Celtic remporte un nouveau titre de champion au terme de la saison 1914-1915. C'est le dernier championnat disputé avant 4 ans d’interruption due à la Première Guerre mondiale. Au sortir de la guerre, le club gagne encore le championnat en devançant le Distillery FC de trois points. Cette victoire marque néanmoins la fin d'un cycle car le bureau directeur du club décide dans la foulée de se retirer du championnat. L'insurrection irlandaise de Pâques 1916 à Dublin et l'affirmation de la volonté d'indépendance des irlandais catholiques crée une atmosphère particulièrement délétère à Belfast. Les dirigeants considèrent alors qu’il ne leur est plus du tout possible de maitriser un tant soit peu les foules et donc de garantir un minimum de sécurité dans leur stade[C 7]. Au cours des dernières semaines de la saison 1920-1921, les affrontements entre supporters se succèdent les uns aux autres. Il n’est pas un week-end sans blessés le sommet étant la demi-finale de l'Irish Cup entre le Celtic et Glentoran est momentanément interrompue après que les supporters des deuxièmes aient jeté des pierres sur les officiels. Le match d'appui disputé à Solitude le jour de la saint-Patrick est lui définitivement interrompu après 10 minutes de jeu quand la foule envahit le terrain. La bataille rangée entre les supporters se solde par de nombreux blessés et des coups de feu sont tirés dans les tribunes[C 8]. Quelques jours après le match, le bureau directeur de l’IFA suspend le Celtic de toute compétition officielle. Cette condamnation exclusivement centrée sur le Celtic et qui dédouane Glentoran de toute responsabilité provoque parmi les responsables du club de la colère et un fort sentiment de persécution[C 9]. En réaction, Bob Barr, le président de l'association annonce le retrait total du club du football irlandais, tant professionnel qu'amateur. Ce retrait unilatéral du football laisse la fédération insensible. Cela n'influe pas sur sa position.
La Coupe d'Irlande est ensuite attribuée au club dublinois du Shelbourne Football Club à cause du forfait de son adversaire Glentoran qui n'a pas souhaité se rendre à Dublin pour disputer la finale. Cette compétition est aussi la dernière regroupant des clubs de toute l'île d'Irlande puisque les clubs du sud font sécession pour organiser sous la bannière d'une nouvelle fédération basée à Dublin, la Fédération d'Irlande de football (FAI), un championnat distinct. À partir de cette date vont donc cohabiter deux fédérations se réclamant toutes les deux de l'ensemble de l'île d'Irlande, mais représentant l'une depuis Belfast l'Irlande du Nord au sein du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord et l'autre depuis Dublin l'État libre d'Irlande puis l'Irlande.
Ce retrait du football n'a pas été une décision prise à la légère et encore moins dans la précipitation. Le journal Athletic News rapporte en effet que les dirigeants du Celtic ont pris depuis un certain temps des contacts avec les clubs anglais et écossais dans le but de vendre ses meilleurs joueurs et notamment Mickey Hamill, Fred Barret et Jimmy Ferris[C 10].
Pendant l'arrêt de l'activité footballistique, le club ne reste pas inactif. Les activités qui étaient jusque-là plutôt secondaires prennent le devant. Des matchs de boxe anglaise sont organisés à Celtic Park.
La période glorieuse
En dépit de cela, le club devient de plus en plus fort et remporte après son retour en championnat quatre fois de suite le titre de champion d’Irlande du Nord.
Le Boxing Day
Au sortir de la Seconde Guerre mondiale, le Belfast Celtic Football Club se présente pour la reprise du championnat en position de force dans le football nord-irlandais. Il a remporté quatre des six compétitions régionales disputées pendant la guerre. La saison 1947-1948 débute sous des auspices particuliers : l'équipe d'Irlande de football perd sèchement en octobre un match international contre l'équipe d'Angleterre. Quelques jours après le match, le Derry Forrester Football Club se retire unilatéralement du football nord-irlandais sous prétexte que l'équipe d'Irlande était composée par dix catholiques et un protestant et que le comité de sélection de l'équipe nationale était composée exclusivement de catholiques[C 11]. Dans cette équipe figure trois anciens joueurs du Celtic et un quatrième est remplaçant. Le championnat d'Irlande du Nord est alors complètement dominé par le Celtic qui a remporté dix de ses douze premiers matchs pour un nul et une défaite[C 12]. Le jour de noël, le Celtic joue à Ballymena et l'emporte facilement sur le score de buts à zéro.
C'est alors qu'arrive le Boxing Day et son traditionnel match entre les deux grands clubs nord-irlandais, le Celtic et Linfield. Le match s'annonce tendu car quelques semaines plus tôt les deux équipes s'étaient rencontrées en City Cup et le match avait été troublé par une violente confrontation entre le gardien de but du Celtic Kevin McAlinden et l'avant-centre de Linfield Billy Simpson[C 13]. Le Celtic mène pendant pratiquement tout le match, mais Linfield égalise dans la dernière minute. Les supporters de Linfied envahissent alors le terrain et attaquent plusieurs joueurs du Celtic dont l’avant-centre Jimmy Jones qui est gravement blessé, souffrant d’une jambe cassée[2].
Les dirigeants du Celtic pensent alors que l’attaque a prouvé que la police britannique s’est montrée incapable de protéger les joueurs et les supporters du club. Les faibles sanctions énoncées contre Linfield par la fédération obligent de fait le Celtic à se retirer de nouveau du championnat sous le prétexte que la sécurité du club n’est plus assurée. Après la saison 1948/1948, le Belfast Celtic n’a plus jamais joué de match officiel. L’équipe a par contre joué quelques matchs amicaux dont une victoire en 1949 contre l’équipe d'Écosse de football lors d’un match joué aux États-Unis. Le tout dernier match joué par le Belfast Celtic a eu lieu le à Coleraine
L'héritage
Le « Paradis » a continué à exister sous la forme d’une piste de courses de lévriers jusque dans les années 1980 remplacé ensuite par un centre commercial.
Les quartiers ouest de Belfast sont restés sans club de haut niveau pour les représenter jusqu’en 1970 date à laquelle le Donegal Celtic intègre le championnat.
Palmarès
Palmarès du Belfast Celtic | |
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Structures du club
Anciens joueurs
- Tom Aherne
- Louis Bookman
- Tommy Breen
- Jackie Brown
- Johnny Campbell
- Jackie Coulter
- Sammy Curran
- John Feenan
- Bertie Fulton
- Ron Greenwood
- Mickey Hamill
- Jimmy Jones
- George Kay
- Andy Kennedy
- Robin Lawler
- Bert Manderson
- Jimmy McAlinden
- Kevin McAlinden
- Billy McMillan
- Willie McStay
- Patrick O'Connell
- Mick O'Flanagan
- Elisha Scott
- Oscar Traynor
- Charlie Tully
- Jackie Vernon
- Albert Edward Weir
Statistiques
Bilan saison par saison
Champ = championnat ; Cl = classement ; Pts = points ; J = joués ; G = gagnés ; N = nuls ; P = perdus ; Bp = buts pour ; Bc = buts contre ; Diff = différence de buts
C1 = Ligue des champions (depuis 1992, Coupe des clubs champions de 1955 à 1992) ; C2 = Coupe des coupes (de 1961 à 1999) ; C3 = Ligue Europa (depuis 2009, Coupe UEFA de 1971 à 2009, Coupe des villes de foires de 1955 à 1971) ; C4 = Ligue Europa Conférence (depuis 2021, Coupe Intertoto de 1995 à 2008)
M. buteur = meilleur buteur en championnat; B = buts marqués par le meilleur buteur en championnat; Aff = affluence moyenne en championnat
champion, vainqueur ou meilleur buteur
Notes et références
- Notes :
- Références :
- (en) Barry Flynn, Political football : The Life and Death of Belfast Celtic, Dublin, Nonsuch Ireland, , 176 p. (ISBN 978-1-84588-946-3) :
- Flynn 2009, p. 27.
- Flynn 2009, p. 37.
- Flynn 2009, p. 38.
- Flynn 2009, p. 39.
- Flynn 2009, p. 30-35.
- Flynn 2009, p. 40.
- Flynn 2009, p. 41.
- Flynn 2009, p. 43.
- Flynn 2009, p. 44.
- Flynn 2009, p. 45.
- Flynn 2009, p. 46.
- (en) Padraig Coyle, Paradise Lost and Found : The Story of Belfast Celtic, Édimbourg, Mainstream Publishing, , 1re éd., 189 p. (ISBN 1-84018-136-2):
- Coyle 1999, p. 14.
- Coyle 1999, p. 15.
- Coyle 1999, p. 17.
- Coyle 1999, p. 17-18.
- Coyle 1999, p. 18.
- Coyle 1999, p. 28.
- Coyle 1999, p. 30.
- Coyle 1999, p. 33.
- Coyle 1999, p. 35.
- Coyle 1999, p. 37.
- Coyle 1999, p. 78-79.
- Coyle 1999, p. 79.
- Coyle 1999, p. 80.
- Coyle 1999, p. 20
- (en) Neal Garnham, Association Football and society in pre-partition Ireland, Belfast, Ulster Historical Foundation, , 260 p. (ISBN 1-903688-34-5)
- Garnham 2004, p. 5
- (en) Benjamin Roberts, Gunshots & Goalposts : The Story of Northern Irish Football, Avenue books, , 288 p. (ISBN 978-1905575114).
- Autre références :
- (en) A.T.Q. Stewart, The Ulster Crisis, Resistance to Home Rule, 1912–14, Londres, Faber and Faber, (ISBN 0-571-08066-9)
- « The History of the Grand Old Team », Belfast Celtic Society (consulté le )
- Le Celtic a aussi gagné les éditions 1918/19, 1940/41, 1941/42, 1943/44, 1946/47 mais celles-ci ne sont pas comptabilisées car le championnat de ces années là, pour cause de guerres n'ont pas été considérés comme officiels
Bibliographie
- (en) Padraig Coyle, Paradise Lost and Found : The Story of Belfast Celtic, Édimbourg, Mainstream Publishing, , 1re éd., 189 p. (ISBN 1-84018-136-2)
- (en) Barry Flynn, Political football : The Life and Death of Belfast Celtic, Dublin, Nonsuch Ireland, , 176 p. (ISBN 978-1-84588-946-3)
- (en) Neal Garnham, Association football and society in pre-partition Ireland, Belfast, Ulster Historical Fondation, coll. « Tempus », , 260 p. (ISBN 1-903688-34-5)
- Pierre Joannon, Histoire de l'Irlande et des irlandais, Paris, Editions Perrin, coll. « Tempus », , 825 p. (ISBN 978-2-262-03022-3)
- (en) Benjamin Roberts, Gunshots & Goalposts : The Story of northern irish football, Avenue Books, , 282 p. (ISBN 978-1-905575-11-4)
- (en) Padraig Coyle, « The infamous day a 'savage mob' broke bones and a club died », sur www.bbc.com, BBC Sport NI, (consulté le ).
- (en) Padraig Coyle, « When Belfast Celtic stunned Scotland in the Big Apple », sur www.bbc.com, BBC Sport NI (consulté le ).
Voir aussi
- Portail du football
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