Benjamin Dalle

Dalle a fait ses études à l’école primaire de Damme et ensuite au Sint-Lodewijkscollege à Bruges dans la section Latin-Grec. De 2000 à 2005 il fait des études en droit à l’Université de Gand. Dans le cadre du projet Erasmus, il passe sa dernière année académique à Paris, à l’Université Paris-Descartes (Paris V)[2]. En 2005, Dalle termine ses études avec la plus grande distinction.

Grâce à de différentes bourses d’étude il a l’opportunité d’étudier pendant un an à l’Université de New York[2], où il se consacre à l’étude du droit public, des droits de l’homme et du droit de l’environnement. Il y obtient le diplôme “LL.M. in International Legal Studies”.

Dalle termine sa formation avec un stage auprès du Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (UNHCR) à Genève[2].

En 2006, Dalle s’installe en tant qu’avocat à Bruxelles[2] et devient également assistant à temps partiel à la KU Leuven[2], auprès du juge et professeur de faculté André Alen. Il reste assistant jusqu’en 2009 et aujourd’hui encore il est toujours lié à l’Institut de Droit constitutionnel de la KULeuven en tant que collaborateur scientifique volontaire.

Jusqu’en 2011 il reste actif au barreau mais décide finalement de quitter son cabinet d’avocat.

À partir de fin 2007 Dalle travaille en tant que conseiller des vice-premiers ministres Yves Leterme, Jo Vandeurzen et Steven Vanackere[2].

En décembre 2011 il devient chef de cabinet de Servais Verherstraeten, Secrétaire d’État au Réformes institutionnelles, à la Régie des Bâtiments et au Développement durable.

Le 25 mai 2014, Dalle se présente pour la première fois aux élections : il est tête de liste du CD&V pour la Chambre à Bruxelles et obtient 2566 voix de préférence, mais n'est pas élu[2].

Il dirige le centre d'étude du CD&V, le Ceder, depuis mars 2016[3].

En janvier 2019, son parti l'a désigné comme sénateur coopté en remplacement de Steven Vanackere[4], mandat qu'il a exercé jusqu'en mai 2019. Lors des élections du 26 mai 2019, il était le tête de liste du CD&V au Parlement flamand dans la région de Bruxelles-Capitale, mais il n'a pas été élu, malgré ses 2044 voix[2].

Le 2 octobre 2019, il devient ministre flamand de Bruxelles, des Médias et de la Jeunesse au sein du gouvernement Jambon[2].

Dalle vit à Molenbeek-Saint-Jean et est marié à Maïté Piessen, journaliste à la VRT[1] et a trois enfants[5].

• B. DALLE, "Les contrats de partenariat entre le secteur public et les entreprises privées en France. Développements récents", C.D.P.K. 2005, 542-563.
• B. DALLE, "The Global Aspirations of the Aarhus Convention and the Case of the World Bank", colloquium paper, Viterbo (Italië) juni 2006. (beschikbaar via http://iilj.org/GAL/Viterboii.asp)
• J. HOISAETER, B. DALLE en C. HOFFMANN (eds.), Office of the United Nations High Commissioner for Refugees, Measuring protection by numbers, Genève, UNHCR, november 2006. (beschikbaar via http://www.unhcr.org/publ/PUBL/4579701b2.pdf)
• B. DALLE, "Instruments of a Universal Toolbox or Gadgets of Domestic Administration? The Aarhus Convention and Global Governance", Rivista Trimestrale di Diritto Pubblico 2008, 1-40.
• B. ALLEMEERSCH, A. ALEN en B. DALLE, "Judicial Independence in Belgium", In: Seibert-Fohr A. (Ed.), Judicial Independence in Transition. Strengthening the Rule of Law in the OSCE Region, Heidelberg, Springer, 2011.
• B. DALLE, "Overzicht van de communautaire onderhandelingen sinds 2007. Straatje zonder eind of de weg naar verandering?", TBP 2011, 452-485.

• (nl) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en néerlandais intitulé « Benjamin Dalle » (voir la liste des auteurs).

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