Bombardement d'Alger (1688)

Le bombardement d'Alger en 1688 était une expédition militaire ordonnée par Louis XIV contre la Régence d'Alger afin de faire respecter le traité de paix de 1683 qui avait été violé par les pirates algériens. L'escadre, comprenant 31 navires et 10 galiotes de bombes, était commandée par Jean II d'Estrées.

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Bombardement d’Alger
Estampe d'époque représentant le bombardement.
Informations générales
Date
Lieu au large d’Alger (Régence d'Alger)
Casus belli Dénonciation du traité de Tourville par les Algériens.
Issue L'Algérie brise la paix
Retrait français tactiquement indécis après 16 jours
La ville d'Alger a été endommagée
L'échec de la campagne de France et de nombreux morts français
L'Algérie accepte le traité conclu par la France
Belligérants
Royaume de France Régence d'Alger
Commandants
Jean II d'EstréesDey Hadj Hussein Mezzomorto
Forces en présence
31 vaisseaux
10 galiotes à bombes
Pertes
Quelques navires perdusDégâts importants sur la ville

Guerre franco-algérienne (1681-1688)

Batailles

L'accord algéro-français a rapidement été annulé en raison d'un affrontement entre des marins algériens et des marins français. à Day Hussein mezzo Morto, l'avertissant de ne pas nuire aux Français, comme cela s'est produit en 1683 après JC. Sinon, il tuera tous ses prisonniers algériens, et ce qui a été le piétinement de Hussein, sauf que le consul français a présenté au canon et l'a jeté à lui, lui disant : « Si son père était en captivité, il n'hésiterait pas à défendre l'Algérie, et comme ses prédécesseurs, cette campagne a également échoué et les navires français sont devenus une proie facile pour les marins algériens. Après cela, les Français sont revenus, donc la France est allée demander à conclure un traité avec l'Algérie et a également demandé de l'aide à l'Empire ottoman pour arrêter la guerre. Le Jour Hussein fut contraint d'accepter, mais la majorité des capitaines de navires s'opposèrent au renouvellement de l'accord à cause des trahisons françaises répétées, qui poussèrent Hussein à démissionner, il devint le commandant de la flotte ottomane, et celui qui gouverne l'Algérie en sa place est Hajj Shaaban

Références

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