Bruno Génésio
Bruno Génésio, né le à Lyon, est un ancien footballeur professionnel français, évoluant au poste de milieu de terrain, reconverti en entraîneur. Il est l'actuel entraîneur du Stade rennais FC.
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Bruno Génésio | ||
Bruno Génésio en 2020. | ||
Situation actuelle | ||
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Équipe | Stade rennais FC (entraîneur) | |
Biographie | ||
Nationalité | Français | |
Naissance | Lyon (Rhône) |
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Taille | 1,72 m (5′ 8″) | |
Période pro. | 1985 - 1996 | |
Poste | Milieu de terrain puis entraîneur | |
Parcours junior | ||
Années | Club | |
1983-1985 | Olympique lyonnais | |
Parcours professionnel1 | ||
Années | Club | M. (B.) |
1985-1995 | Olympique lyonnais | 171 (12) |
1993-1994 | → OGC Nice | 34 (2) |
1995-1996 | FC Martigues | 28 (1) |
Équipes entraînées | ||
Années | Équipe | Stats |
1999-2001 | FC Villefranche | 16v 11n 37d |
2001-2005 | Besançon RC | (adjoint) |
2005-2006 | Besançon RC | 7v 9n 8d |
2007-2009 | Olympique lyonnais B | (adjoint) |
2009-2011 | Olympique lyonnais B | 25v 29n 14d |
2011-2015 | Olympique lyonnais | (adjoint) |
2015-2019 | Olympique lyonnais | 101v 37n 47d |
2019-2021 | Beijing Guoan | 24v 9n 7d |
2021- | Stade rennais FC | 36v 12n 19d |
1 Compétitions officielles nationales et internationales. Dernière mise à jour : 4 septembre 2022 |
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Carrière de joueur
Il commence sa carrière professionnelle en 1985 avec l'Olympique Lyonnais. Il évolue au poste de milieu de terrain et côtoie notamment Rémi Garde, évoluant au même poste que lui.
Durant la saison 1993-1994, il est prêté à l'OGC Nice qui évolue alors en D2 française, et qui remporte cette saison le titre.
Il quitte finalement définitivement son club de l'OL en 1995 et rejoindra le FC Martigues pour sa dernière année comme joueur.
Carrière d'entraîneur
Sa carrière en tant qu'entraîneur débute difficilement. Après avoir repris les rênes du FC Villefranche en fin de saison 1998-1999, il ne peut le maintenir en CFA la saison suivante. Lors de la saison 2000-2001, il ne remporte que 7 matchs sur 30. Il est limogé à quatre journées de la fin du championnat qui voit le club être relégué en DH. En janvier 2002, il est diplômé du DEF (Diplôme d'entraîneur de football)[1].
Il retrouve un nouveau défi au RC Besançon en CFA lors de la saison 2004-2005. Le club obtient des résultats très moyens et il est limogé après 8 mois[2].
Entraîneur adjoint de l'Olympique lyonnais
Bruno Génésio intègre le staff de l'Olympique lyonnais en 2005 et en 2011, à la suite de la nomination de Rémi Garde comme entraîneur de l'OL, ce dernier propose le poste d'adjoint à Bruno Génésio. Il garde ce rôle sous l'ère Hubert Fournier. Il participe à la victoire en finale de Coupe de France 1-0 face à Quevilly en 2012 avec Rémi Garde.
Entraîneur principal de l'Olympique lyonnais
Le 24 décembre 2015, Bruno Génésio devient entraineur de l'Olympique lyonnais à la suite du limogeage d'Hubert Fournier[3].
Son premier match officiel se termine par une victoire 7-0 face à Limoges en Coupe de France. Son premier match en Ligue 1 en tant qu’entraîneur principal se solde par une victoire 4-1 face à l'ESTAC Troyes pour le premier match de l'histoire du club dans son nouveau stade le Parc Olympique Lyonnais.
Bruno Génésio parvient à redresser la situation du club au départ d'Hubert Fournier, à savoir une élimination précoce en Coupe d'Europe et un mauvais classement en Ligue 1, pour finalement terminer deuxième du Championnat de France de Ligue 1, avec, en point d'orgue, une victoire 6-1 face à l'AS Monaco[4] lors de la 37e journée de Ligue 1, match décisif pour la seconde place qualificative pour la Ligue des champions. Il échoue par ailleurs en quart de finale de Coupe de la Ligue et en Coupe de France contre le Paris Saint-Germain, passant néanmoins près de la qualification.
Cependant, sa seconde saison au sein de l'Olympique lyonnais est bien plus mouvementée. En effet, après une première partie de saison laborieuse, une élimination en Ligue des Champions lors des phases de poules, et un parcours en Ligue 1 irrégulier, il est cependant maintenu au poste d’entraîneur principal de l'OL par son président Jean-Michel Aulas. Durant cette saison, le club atteint notamment la demi-finale de la Ligue Europa.
Durant la saison 2016-2017, il totalise alors 56 matchs joué sous sa directive, dont 28 victoires (50 %), 8 nuls (14,3 %) et 20 défaites (35,7 %).
L'exercice 2017-2018 connaît des hauts et des bas : après un début compliqué, les Gones se reprennent durant l'automne 2017 en se qualifiant pour les 1/16èmes de finale de la Ligue Europa et en récupérant la deuxième place avec des probantes victoires à l'extérieur 5-0 face à l'OGC Nice, l'ESTAC et surtout le rival stéphanois à Geoffroy-Guichard. Mais à nouveau, le début 2018 est chaotique malgré un joli succès face au PSG en janvier (2-1) au Groupama Stadium. Une série de matchs sans victoire et une élimination de Coupe de France face au SM Caen plongent le club dans une crise. L'équipe enchaîne huit victoires consécutives avant de s'incliner au Stade de la Meinau lors de la 37e journée, remettant en cause sa qualification en Ligue des Champions. Néanmoins, l'OL s'impose pour son dernier match de la saison face à l'OGC Nice (3-2) dans un Groupama Stadium partagé entre joie et rejet de l'entraîneur rhodanien, et arrache ainsi sa qualification directe pour les phases de poules de la C1.
Le 13 avril 2019, après le match face à Nantes (perdu 2-1), il annonce à ses joueurs qu’il quittera l’OL en fin de saison 2018-2019[5]. Il amène toutefois une nouvelle fois l'OL sur le podium et laisse le club en Ligue des Champions, après une belle victoire face à Caen (4-0).
Lors de son passage à Lyon, il gagne notamment le surnom de « Pep Genesio », d'abord utilisé ironiquement par les commentateurs sportifs et les supporteurs, moquant l'écart entre l'admiration qu'a Genesio pour Pep Guardiola et ses soi-disant stratégies limitées[6],[7], il finit par lui être régulièrement accolé[8], les médias étrangers l'utilisant parfois même au premier degré[9],[10],[11]. Cette comparaison avec le manager catalan abouti toutefois sur une confrontation flatteuse pour le lyonnais : lors de la saison 2018-2019 de Ligue des Champions Lyon remporte en effet sa double confrontation avec le Manchester City de Guardiola, avec une victoire à Manchester et un match nul à Lyon[7].
Expérience chinoise au Beijing Guoan
À la suite de son départ de son club de cœur, Bruno Génésio fait face à diverses sollicitations telles que Dijon, Al-Hilal, Newcastle ou la DTN du Maroc. Tout proche de rejoindre le club anglais, il ne peut signer le contrat escompté en raison d'une annulation de la vente du club, le propriétaire Mike Ashley ayant changé d'avis. Il s'engage le 31 juillet 2019 avec le club chinois du Beijing Guoan pour une durée de six mois, soit jusqu'au terme de la saison, en remplacement du technicien allemand Roger Schmidt. Troisième lors de sa prise de fonction à seulement quatre points du leader Guangzhou Evergrande, sa mission est de tenter d'accrocher ce siège de champion de Chinese Super League. Il a dix rencontres pour se faire et confie lors de sa conférence de présentation "apprécier son équipe avec des joueurs de talent" et "avoir quatre mois pour bien travailler et tenter d'aller chercher le titre". Il côtoie en effet l'ancien sochalien Cédric Bakambu ou le brésilien Renato Augusto. Malgré une fin d'exercice intéressante, le club atteignant le record de points de son histoire (70), les "gardes impériaux" échouent à deux unités du titre, décroché par le Guangzhou Evergrande de Fabio Cannavaro. Le Beijing Guoan est néanmoins qualifié pour la prochaine campagne de la Ligue des champions asiatique.
La direction du club de la capitale renouvelle malgré tout sa confiance en Bruno Génésio, lui offrant une prolongation d'une année, jusqu'à fin 2020. Alors que le championnat doit débuter le 3 février, il est repoussé à de multiples reprises en raison de la crise du COVID-19. Cette période donne vie à une situation insolite : le coach lyonnais entraîne son équipe depuis la France, par l'intermédiaire de points presse en visioconférence ! Le coup d'envoi de la saison est officiellement lancé le 25 juillet, avec un format inédit comprenant une phase régulière en deux groupes, puis une phase finale. Bruno Génésio et ses joueurs évoluent dans la poule B, la plus difficile puisque l'on note la présence de Shangai SIPG ou Hebei China Fortune. À l'issue d'une phase de groupe globalement maîtrisée (2 défaites et 8 succès en 14 matchs) et malgré plusieurs points perdus après avoir mené au score (parfois par manque de concentration, d'autres fois à la suite de décisions arbitrales polémiques), le Beijing Guoan termine 2ème derrière Shangai SIPG. L'équipe de Pékin se hisse donc dans le Final 8 du championnat, et défie Shandong Luneng (issu de la Poule A) en quart de finale. Un adversaire prestigieux, contre lequel le Beijing n'a gagné que deux des onze dernières confrontations ! Et la tâche s'annonce encore difficile : à la mi-temps du match aller, les hommes de Génésio sont menés 2-0. Ils reviendront à 2-2, avant de renverser Shandong (2-1) au match retour, grâce à un doublé du jeune Yuning Zhang. Beijing Guoan a atteint les demi-finales de Chinese Super League 2020 où il a été éliminé début novembre par le Guangzhou Evergrande (3-1) entraîné par Fabio Cannavaro.
Après des "négociations amicales", Bruno Génésio n'est pas prolongé à la tête du Beijing Guoan à l’issue de son contrat. Le club aurait en effet aimé gagner le championnat, et le technicien français ne se voyait pas rempiler pour une nouvelle saison sous Covid-19. Le 6 janvier 2021, il a été remplacé sur le banc par Slaven Bilic, récemment démis de ses fonctions d’entraîneurs du côté de West Bromwich Albion[12].
Saison 2020-2021
Le , il devient le nouvel entraîneur du Stade rennais FC. Alors qu'il souhaitait, dans un premier temps, se reposer et reprendre une équipe au mois de juin, il est convaincu par le projet breton. Le directeur sportif Florian Maurice, qu'il a bien connu à Lyon, n'y est pas étranger. Il s'y engage jusqu'en juin 2023, succédant ainsi à Julien Stéphan, démissionnaire[13]. Le club est alors en difficulté et reste sur huit matches sans succès. Malgré une première défaite à Marseille (1-0), le SRFC version Génésio parvient à retrouver de l'allant offensif et de la verticalité dans son jeu. Le coach parvient à relancer le club breton dans la course à l'Europe en remportant six des onze derniers matches (6 victoires, 2 nuls, 3 défaites) de la saison 2021-2022[14]. Grâce à son succès (2-0) face au relégable nîmois lors de l'ultime journée, le Stade rennais termine à la 6e place et se qualifie pour la toute nouvelle Conference League.
Saison 2021-2022
L'intersaison 2021 est assez mouvementée : 13 joueurs quittent le club, dont le capitaine Damien Da Silva, les milieux Nzonzi, Grenier et Camavinga ou encore Romain Del Castillo ; et 7 joueurs arrivent, parmi lesquels Gaëtan Laborde, Kamaldeen Sulemana, Loïc Badé, Birger Meling et Lovro Majer. Le club investit donc 34 millions d'euros (80 millions d'arrivées et 45 millions de départs), une somme plutôt élevée pour un club de Ligue 1.
La préparation estivale est pourtant assez poussive : les Rennais ne remportent qu'un seul de leurs cinq matches amicaux, contre le Torino (1-0, le 31 juillet). Des difficultés qui s'expliquent en partie par la grosse charge physique imposée par le staff, un travail qui permettra aux Bretons d'être l'équipe qui court le plus tout au long du championnat. Le début de saison est à l'image de la préparation : le SRFC compte 5 points après 6 journées, et pointe à la 16e place, après des défaites à Angers (2-0), Marseille (2-0) et contre Reims (0-2).
Les rouges et noirs écartent tout de même Rosenborg (2-0 puis 1-3) en barrage européen et assurent leur place en poule de Conference League. Sous pression au moment de recevoir Clermont, Bruno Génésio choisit de réintégrer Jonas Martin, jusque-là écarté, au onze de départ, et demande à ses joueurs d'assumer un style offensif, les bretons étrillent les auvergnats (6-0) et lancent véritablement une saison de tous les records.
Semaine après semaine, ils étouffent leurs adversaires, multiplient les séquences de jeu de haut niveau et marquent des buts superbement construits. Le collectif de Génésio fait chuter le PSG (2-0) pour la première fois de la saison, écrase son ancien club l'OL par deux fois (4-1 puis 2-4), et torpille Saint-Étienne (0-5), Bordeaux (6-0), Metz (6-1) ou encore Lorient (5-0).
Le Stade rennais termine premier de sa poule de Conference League devant Tottenham et le Vitesse Arnhem, et doit affronter Leicester en huitièmes de finale. Après un match aller raté en Angleterre (défaite 2-0), les coéquipiers de Benjamin Bourigeaud, buteur au retour, passent tout proche de l'exploit au Roazhon Park (victoire 2-1), au terme d'une rencontre émaillée par plusieurs erreurs d'arbitrage en défaveur des rennais, des décisions qui feront sortir Bruno Génésio de ses gonds : "Je dis simplement qu’on est peut-être arbitrés différemment si on s’appelle Rennes plutôt que Leicester, inconsciemment. J'espère qu'on va apprendre. Un célèbre président, qui n’est plus là, a dit un jour : « J’ai compris ». Il faut qu’on comprenne nous aussi"[15].
Le club breton connaît également une grosse désillusion en Coupe de France, en s'inclinant en seizièmes de finale à Nancy, battu aux tirs aux buts (1-1, 4-3 aux TAB). Après un début d'année 2022 compliqué par les différents départs de joueurs à la CAN, comme Nayef Aguerd et Hamari Traoré, le SRFC retrouve de l'énergie et de l'allant et va croire au podium jusqu'à la dernière journée de championnat.
Les hommes de Génésio maîtrisent parfaitement l'OM (2-0) lors de l'avant-dernière journée, pour leur dernier match au Roazhon Park. Ils concluent ainsi un très beau parcours à domicile, se classant deuxième meilleure équipe derrière le PSG, avec 43 points récoltés. Lors de l'ultime journée de Ligue 1, ils arrachent le match nul dans les derniers instants à Lille (2-2) grâce à un but de Serhou Guirassy, et récupèrent in extremis la 4e place devant l'OGC Nice. Les Bretons disputeront donc la phase de poules d'Europa League lors de la saison 2022-2023.
Au-delà du classement, la formation de Bruno Génésio a séduit la France par son jeu léché et ambitieux. Les supporters rennais parlent du plus beau jeu jamais pratiqué par leur équipe, ce qui fait dire à Génésio que son groupe "a rendu fier tous les Bretons"[16]. Il faut dire que le cru 2021/2022 sur SRFC a battu presque tous les records de l'histoire du club : record de points engrangés (66), de victoires sur une saison de championnat (20), de buts marqués (82 rien qu'en Ligue 1), de différence de buts (+42)..
Les Bretons terminent l'exercice deuxième meilleure attaque de Ligue 1 derrière le PSG. Une saison 2021/2022 exceptionnelle récompensée par le titre de meilleur entraîneur de Ligue 1 pour Bruno Génésio, remis lors de la soirée des trophées UNFP[17]. C'est la première fois qu'il remporte ce trophée, et la première fois qu'un coach du Stade rennais est sacré.
Bruno Génésio est très apprécié à Rennes, pour ses qualités de tacticien bien sûr, mais aussi pour ses valeurs humaines, en adéquation avec la région. Il déclare à ce propos "qu'il y a une mentalité ici que j’apprécie et qui fait partie des valeurs que j’aime dans la vie de tous les jours", allant jusqu'à plaisanter sur sa demande d'un "passeport breton"[18]. Ses joueurs louent unanimement son management et sa proximité avec le vestiaire. Martin Terrier reconnaît que "le coach est grandement responsable" de sa réussite (21 buts en 2021/2022, le meilleur total de sa carrière) car il "lui laisse beaucoup de liberté"[19]. Benjamin Bourigeaud insiste sur "l'aspect humain" de Génésio : "C'est un entraineur d'une simplicité exceptionnelle. Sur le plan humain, il est proche de ses joueurs et nous considère un peu comme ses enfants. Mais il est aussi ultra exigeant dans le travail, dans l'efficacité pour tout ce qu'on fait"[20]. Flavien Tait, transformé après l'arrivée de l'ancien coach lyonnais, évoque le "grand Monsieur" Génésio, "naturel sur et en-dehors du terrain"[21]. Le milieu croate Lovro Majer, révélation de la saison rennaise, parle de Génésio comme "du meilleur entraîneur avec lequel il a travaillé"[22].
Statistiques détaillées
En tant que joueur
Saison | Club | Championnat | Coupe(s) nationale(s) | Compétition(s) continentale(s) | Total | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Division | B. | B. | Comp. | B. | B. | ||||||
1984-1985 | Olympique lyonnais | Division 2 | 0 | - | - | - | 0 | ||||
1985-1986 | Olympique lyonnais | Division 2 | 0 | 1 | - | - | 1 | ||||
1986-1987 | Olympique lyonnais | Division 2 | 0 | 0 | - | - | 0 | ||||
1987-1988 | Olympique lyonnais | Division 2 | - | - | - | - | 0 | ||||
1988-1989 | Olympique lyonnais | Division 2 | 2 | 0 | - | - | 2 | ||||
1989-1990 | Olympique lyonnais | Division 1 | 5 | 0 | - | - | 5 | ||||
1990-1991 | Olympique lyonnais | Division 1 | 3 | 0 | - | - | 3 | ||||
1991-1992 | Olympique lyonnais | Division 1 | 1 | 0 | C3 | 0 | 1 | ||||
1992-1993 | Olympique lyonnais | Division 1 | 0 | - | - | - | 0 | ||||
Sous-total | 11 | 1 | - | 0 | 12 | ||||||
1993-1994 | OGC Nice | Division 2 | 2 | - | - | - | 2 | ||||
Sous-total | 2 | - | - | - | 2 | ||||||
1994-1995 | Olympique lyonnais | Division 1 | 0 | - | - | - | 0 | ||||
Sous-total | 0 | - | - | - | 0 | ||||||
1995-1996 | FC Martigues | Division 1 | 1 | 0 | - | - | 1 | ||||
Sous-total | 1 | 0 | - | - | 1 | ||||||
Total sur la carrière | 14 | 1 | - | 0 | 15 |
En tant qu'entraîneur
Saison | Club | Division | Matchs | Victoires | Nuls | Défaites | % Victoires |
---|---|---|---|---|---|---|---|
1999-2000 | Villefranche-sur-Saône | CFA | 34 | 9 | 5 | 20 | 26,47 % |
2000-2001 | CFA 2 | 30 | 7 | 6 | 17 | 23,33 % | |
Sous-total | 64 | 16 | 11 | 37 | 25 % | ||
2005-2006 | Racing Besançon | CFA | 24 | 7 | 9 | 8 | 29,16 % |
Sous-total | 24 | 7 | 9 | 8 | 26,16 % | ||
2009-2010 | Olympique lyonnais B | CFA | 34 | 12 | 15 | 7 | 35,29 % |
2010-2011 | CFA | 34 | 13 | 14 | 7 | 38,23 % | |
Sous-total | 68 | 25 | 29 | 14 | 36,76 % | ||
2015-2016 | Olympique lyonnais | Ligue 1 | 23 | 14 | 3 | 6 | 60,86 % |
2016-2017 | Ligue 1 | 56 | 28 | 8 | 20 | 50 % | |
2017-2018 | Ligue 1 | 53 | 32 | 11 | 10 | 60,37 % | |
2018-2019 | Ligue 1 | 53 | 27 | 15 | 11 | 50,94 % | |
Sous-total | 185 | 101 | 37 | 47 | 54,59 % | ||
2019 | Beijing Guoan | CSL | 10 | 7 | 1 | 2 | 70 % |
2020 | CSL | 30 | 17 | 8 | 5 | 56,66 % | |
Sous-total | 40 | 24 | 9 | 7 | 60 % | ||
2020-2021 | Stade rennais FC | Ligue 1 | 11 | 6 | 2 | 3 | 54,54 % |
2021-2022 | Ligue 1 | 50 | 28 | 8 | 14 | 56 % | |
2022-2023 | Ligue 1 | 6 | 3 | 1 | 2 | 50 % | |
Sous-total | 67 | 36 | 12 | 19 | 53,73 % | ||
Total | 448 | 209 | 107 | 132 | 46,65 % |
Palmarès
Joueur
- Championnat de France de D2 (1)
- Champion : 1989.
OGC Nice (1)
- Championnat de France de D2 (1)
- Champion : 1994.
Entraîneur
- Trophée des Champions (0)
- Finaliste : 2016.
En tant entraîneur adjoint, il remporte avec l'Olympique lyonnais, la Coupe de France en 2012, le Trophée des champions en 2012 puis est finaliste de la Coupe de la Ligue en 2012 et en 2014.
Distinctions individuelles
Il est élu meilleur entraîneur de Ligue 1 en 2022[27] avec le Stade rennais FC.
Notes et références
- « Formation : cadres. Résultats d'examen » , sur fff.fr, (consulté le )
- Mais qui est vraiment Bruno Genesio? sur RMC Sport, 24 décembre 2015
- Bruno Génésio nommé entraîneur de l'Olympique lyonnais sur L'Équipe, 24 décembre 2015
- OL-Monaco : 6-1, la tête dans les étoiles sur OLweb, 7 mai 2016
- Jérémy Laugier, « Et si Bruno Genesio était finalement «un vrai stratège»? », 20 Minutes, (consulté le )
- (en) « Genesio has given Lyon pride back but could lose his job », sur ESPN.com, (consulté le )
- « Bruno Genesio invité exceptionnel de Team Duga mardi sur RMC », sur RMC, (consulté le )
- (ca) « 'Pep' Genesio espera el Barça amb respecte », sur betevé, (consulté le )
- « Olympique Lyonnais: Future Ligue 1 Champions? », sur Tifo Football,
- « Pep Genesio a été interrogé sur son surnom par la presse espagnole », 20 Minutes, (consulté le )
- « Beijing Guoan : C'est la fin du voyage pour Bruno Genesio, remplacé sur le banc par Slaven Bilic », sur https://www.20minutes.fr,
- « BRUNO GÉNÉSIO, NOUVEL ENTRAÎNEUR DE L’ÉQUIPE PROFESSIONNELLE », sur www.staderennais.com, (consulté le )
- « Ligue 1 : Bruno Genesio, la kryptonite du PSG » , sur madeinfoot.ouest-france.fr, (consulté le )
- « Rennes-Leicester: "J'ai compris", Genesio paraphrase Tapie et allume l'arbitrage », sur RMC SPORT (consulté le )
- « Bruno Genesio : "Je pense qu'on a rendu les Bretons et les Rennais fiers ce soir." », sur STADE RENNAIS F.C., (consulté le )
- « Bruno Genesio (Rennes) élu meilleur entraîneur de Ligue 1 - Foot - Trophées UNFP - Vidéo Dailymotion », sur Dailymotion, (consulté le )
- « J27 | #SRFCSCO - Conférence de presse d'avant-match avec Jérémy Doku et Bruno Genesio » (consulté le )
- Thomas Rassouli, « Stade rennais - Leicester / Terrier : « Cette saison j’ai passé un cap » », sur Stade Rennais Online (consulté le )
- « Rennes: "Genesio est quelqu'un d'exceptionnel", assure Bourigeaud », sur RMC SPORT (consulté le )
- « Rennes : "Genesio, pour moi c'est un grand monsieur" confie Tait » (consulté le )
- « Lovro Majer : « Genesio est le meilleur coach avec lequel j’ai travaillé » », sur SOFOOT.com (consulté le )
- « Brunio Genesio prolonge avec le Stade Rennais jusqu'en 2025 » , sur www.lequipe.fr, (consulté le )
- « BRUNO GENESIO 2025 ! » , sur www.staderennais.com, (consulté le )
- « Fiche de Bruno Génésio », sur footballdatabase.eu
- « Bruno Génésio DONNÉES DE PERFORMANCE DÉTAILLÉES » , sur www.transfermarkt.fr (consulté le )
- « Bruno Genesio (Rennes) élu meilleur entraîneur de Ligue 1 aux trophées UNFP », sur lequipe.fr, (consulté le )
Liens externes
- Ressources relatives au sport :
- L'Équipe
- FBref
- FootballDatabase
- Leballonrond (joueurs)
- Ligue 1
- So Foot
- (ca + es + en) BDFutbol
- (en + pt) Leballonrond (entraîneurs)
- (en) Soccerbase (managers)
- (mul + id) Soccerway
- (mul) Transfermarkt (joueurs)
- (mul) Transfermarkt (managers)
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