Buyandelgeruulekh Khiid
Buyandelgeruulekh Khiid est l'un des temples bouddhistes de Mongolie.
Buyandelgeruulekh Khiid | ||
Monastère lamaïque à Tsetserleg | ||
Présentation | ||
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Culte | Bouddhisme | |
Début de la construction | 1586 | |
Fin des travaux | 1679 (agrandissement) | |
Géographie | ||
Pays | Mongolie | |
Aïmag | Arkhangai | |
Ville | Tsetserleg | |
Coordonnées | 47° 28′ 37″ nord, 101° 27′ 11″ est | |
Géolocalisation sur la carte : Mongolie
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Il est situé à Tsetserleg, capitale de la province d'Arkhangai, à 1691 m d'altitude. Il a été fondé en 1586 et agrandi en 1679 par le premier zaya-pandita Khalkha, Luvsanperenlei (1642–1715) (à ne pas confondre avec Zaya Pandita Namkhaijantsan (1599–1662). L'agrandissement a concerné le Guden Süm ou temple Semchin d’été, et le temple Semchin d'Hiver. Le sixième Zaya Pandita, Jambatseren, a été tué par les communistes en 1932, et le temple principal de Guden a été transformé en musée. Il y a un septième Zaya Pandita, mais il habite Oulan-Bator, et visite le temple seulement de temps en temps.
Histoire
Il n'a pas été détruit lors de la répression qui a suivi la proclamation de la révolution communiste contre le clergé qui, avec les princes, détenait auparavant toutes les richesses du pays[1], sous l'Empire mongol, la Mongolie extérieure et sous Chine impériale[2] et la République de Chine.
Annexes
Notes et références
- Dominique Dumas, Bouddhisme de Mongolie : Histoire, historiographie et stéréotypes occidentaux, Saint-Denis, Connaissances et savoirs, coll. « Sciences humaines et sociales », , 271 p. (ISBN 978-2-7539-0293-0, BNF 45145717, lire en ligne), p. 156
- Gaëlle Lacaze (Université de Strasbourg) (ill. Catherine Borel), Mongolie : Pays d'ombres et de lumières, Genève, Olizane, coll. « Guides Olizane. Découverte », , 323 p. (ISBN 978-2-88086-405-7, BNF 43805337, lire en ligne), p. 125
Articles connexes
Liens externes
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