Chalonnes-sous-le-Lude

Chalonnes-sous-le-Lude est une ancienne commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire. Le , la commune devient une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Noyant-Villages[1].

Chalonnes-sous-le-Lude
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Saumur
Commune Noyant-Villages
Statut commune déléguée
Maire délégué
Mandat
Jean-Marie Georget
2020-2026
Code postal 49490
Code commune 49062
Démographie
Gentilé Chalonnais
Population 130 hab. (2014)
Densité 7,9 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 33′ 35″ nord, 0° 10′ 25″ est
Altitude 75 m
Min. 52 m
Max. 101 m
Superficie 16,49 km2
Élections
Départementales Beaufort-en-Vallée
Historique
Date de fusion 15 décembre 2016
Commune(s) d'intégration Noyant-Villages
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Chalonnes-sous-le-Lude
Géolocalisation sur la carte : France
Chalonnes-sous-le-Lude
Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
Chalonnes-sous-le-Lude
Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
Chalonnes-sous-le-Lude

    Cette commune rurale se situe dans le Baugeois, au nord-est de la ville de Noyant, en limite du département d'Indre-et-Loire.

    Géographie

    Localisation

    Ce village angevin de l'ouest de la France se situe dans l'est du Baugeois, entre Broc (km) et Meigné-le-Vicomte (km), à 21 km de Baugé et à 39 km de Saumur[2],[3]. Son territoire est essentiellement rural.

    Le Baugeois est la partie nord-est du département de Maine-et-Loire. Il est délimité au sud par la vallée de l'Authion et celle de la Loire, et à l'ouest par la vallée de la Sarthe[4].

    Aux alentours

    Les communes les plus proches sont Broc (km), Dénezé-sous-le-Lude (km), Dissé-sous-le-Lude (km), Marcilly-sur-Maulne (km), Braye-sur-Maulne (km), Meigné-le-Vicomte (km), Chigné (km), Noyant (km), Lublé (km) et Méon (km)[3].

    Géologie et relief

    L'altitude de la commune varie de 52 à 101 mètres[5], pour une altitude moyenne de 77 mètres.

    Le relief du Baugeois est principalement constitué d'un plateau, aux terrains sablonneux, siliceux ou calcaires[6], caractérisés par de larges affleurements sédimentaires, crétacés, sables et calcaires aux teintes claires.

    Son territoire s'étend sur plus de 16 km2 (1 649 hectares)[5], et se compose de bocages et de forêts[7]. Chalonnes-sous-le-Lude se situe sur l'unité paysagère du Plateau du Baugeois[8]. Une partie de la commune est classée en zone naturelle d'intérêt écologique, floristique et faunistique (ZNIEFF), pour les zones des pelouses et boisements calcaires entre Chalonnes/Lude et Broc, le vallon humide en forêt de Bareilles, la forêt de Bareilles, et la vallée de la Maulne[9].

    Climat

    Le climat angevin est tempéré, de type océanique. Il est particulièrement doux, compte tenu de sa situation entre les influences océaniques et continentales. Généralement les hivers sont pluvieux, les gelées rares et les étés ensoleillés. Le climat du Baugeois est plus continental : plus sec et chaud l'été[6].

    Urbanisme

    Morphologie urbaine : le village s'inscrit dans un territoire essentiellement rural.

    En 2009 on trouvait 84 logements sur la commune de Chalonnes-sous-le-Lude, dont 63 % étaient des résidences principales, pour une moyenne sur le département de 91 %, et dont 85 % des ménages en étaient propriétaires[10].

    En 2013, on y trouvait 92 logements, dont 67 % étaient des résidences principales, pour une moyenne sur le département de 90 %, et dont 84 % des ménages en étaient propriétaires[11].

    Toponymie

    Formes anciennes du nom : Curtis de Caslona en 1095, Ecclesia de Charlona en 1149[12], Chaslonnes au XVIIIe siècle, Chalonnes au XIXe siècle[13], pour devenir en 1937 Chalonnes-sous-le-Lude[14].

    Dans le département il existe une autre commune du nom de Chalonnes, Chalonnes-sur-Loire, située en bord de Loire au sud-ouest d'Angers.

    Nom des habitants : les Chalonnais[14].

    Histoire

    Préhistoire

    Sur la commune on trouve le site mégalithique du dolmen de Bareuil[12].

    Moyen Âge

    Dès le XIe siècle, la terre relève de l'évêché d'Angers et est tenue par plusieurs seigneurs, dont Hubert de Langeais[12].

    Ancien Régime

    Sous l'Ancien Régime, la commune dépend de la sénéchaussée angevine de Baugé, du diocèse d'Angers et de l'archiprêtre du Lude[12].

    Époque contemporaine

    À la réorganisation administrative qui suit la Révolution, en 1790 la commune est rattachée au canton de Noyant. Il est intégré au district de Baugé, puis en 1800 à l'arrondissement de Baugé, et à sa disparition en 1926, à l'arrondissement de Saumur[13].

    Pendant la Première Guerre mondiale, 15 habitants perdent la vie. Lors de la Seconde Guerre mondiale, 3 habitants sont tués[15].

    Un rapprochement intervient en 2016. Le 15 décembre, les communes de Auverse, Breil, Broc, Chalonnes-sous-le-Lude, Chavaignes, Chigné, Dénezé-sous-le-Lude, Genneteil, Lasse, Linières-Bouton, Meigné-le-Vicomte, Méon, Noyant et Parçay-les-Pins, s'associent pour former la commune nouvelle de Noyant-Villages. Chalonnes-sous-le-Lude en devient une commune déléguée[1].

    Politique et administration

    Administration actuelle

    Depuis le , Chalonnes-sous-le-Lude constitue une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Noyant-Villages et dispose d'un maire délégué[1].

    Liste des maires délégués successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    décembre 2016 en cours Jean-Marie Georget[16],[17]    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Administration ancienne

    La commune est créée à la Révolution. Municipalité en 1790[13]. Le conseil municipal est composé de 11 élus[18].

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1989 mars 2014 Joël Berge   Agriculteur
    mars 2014 décembre 2016 Jean-Marie Georget[19]    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    La commune ne comporte pas de jumelage[20].

    Intercommunalité

    La commune fait partie jusqu'en 2016 de la communauté de communes canton de Noyant. Créée en 2000, cette structure intercommunale regroupe les quinze communes du canton, dont Broc, Dénezé-sous-le-Lude, Meigné-le-Vicomte et Noyant[7],[21]. L'intercommunalité est dissoute le [1].

    La communauté de communes était membre du syndicat mixte Pays des Vallées d'Anjou, structure administrative d'aménagement du territoire (loi LOADDT), comprenant six communautés de communes : Beaufort-en-Anjou, Canton de Baugé, Canton de Noyant, Loir-et-Sarthe, Loire Longué et Portes-de-l'Anjou.

    La commune faisait également partie du SICTOD Nord Est Anjou, membre du SIVERT, syndicat intercommunal de valorisation et de recyclage thermique des déchets de l’est anjou, qui se trouve à Lasse[22]. Elle faisait également partie du SIVU AEP de la région de Noyant pour le traitement de l'eau potable[7].

    Autres circonscriptions

    Jusqu'en 2014, Chalonnes-sous-le-Lude fait partie du canton de Noyant et de l'arrondissement de Saumur[23]. Ce canton compte alors les quinze mêmes communes que celles de la communauté de communes. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du 26 février 2014. La commune est alors rattachée au canton de Beaufort-en-Vallée, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[24].

    La commune fait partie de la troisième circonscription de Maine-et-Loire, composée de huit cantons, dont Baugé et Longué-Jumelles. Cette circonscription de Maine-et-Loire est l'une des sept circonscriptions législatives que compte le département.

    Population et société

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du , les populations légales des communes sont publiées annuellement dans le cadre d'un recensement qui repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[26],[Note 1].

    En 2014, la commune comptait 130 habitants, en diminution de −2,99 % par rapport à 2009 (Maine-et-Loire : 3,2 %, France hors Mayotte : 2,49 %).

               Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    434508597439432453415412395
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    400369403358329360348332359
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    343350374330294298288317271
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2014
    266224187150142134128137130
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (20,3 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (21 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51,6 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

    Pyramide des âges
    Pyramide des âges à Chalonnes-sous-le-Lude en 2007 en pourcentage[29]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90  ans ou +
    0,0 
    6,5 
    75 à 89 ans
    13,6 
    12,9 
    60 à 74 ans
    7,6 
    21,0 
    45 à 59 ans
    19,7 
    22,6 
    30 à 44 ans
    21,2 
    17,7 
    15 à 29 ans
    15,2 
    19,4 
    0 à 14 ans
    22,7 
    Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2007 en pourcentage[30]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90  ans ou +
    1,2 
    6,3 
    75 à 89 ans
    9,2 
    11,8 
    60 à 74 ans
    13,0 
    19,9 
    45 à 59 ans
    19,4 
    20,6 
    30 à 44 ans
    19,5 
    20,3 
    15 à 29 ans
    19,1 
    20,6 
    0 à 14 ans
    18,6 

    Vie locale

    Services publics présents sur la commune : mairie. Située dans l'académie de Nantes, un regroupement pédagogique a été créé en 1973 avec Broc, Genneteil et Chigné[7]. Les autres services publics se trouvent à Noyant.

    L'hôpital local le plus proche se trouve à Baugé (95 places) ainsi que plusieurs maisons de retraite[31].

    La collecte des déchets ménagers (tri sélectif) est organisée par la communauté de communes du canton de Noyant[22].

    Économie

    Tissu économique

    Commune principalement agricole, en 2009, 25 établissements étaient présents sur la commune, dont 72 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour 18 % sur le département)[32]. L'année suivante, en 2010, sur 23 établissements présents sur la commune, 68 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), aucun du secteur de l'industrie, 7 % du secteur de la construction, 21 % de celui du commerce et des services et 4 % du secteur de l'administration et de la santé[10].

    Sur 20 établissements présents sur la commune à fin 2014, 50 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 11 % sur le département), 10 % du secteur de l'industrie, 15 % du secteur de la construction, 20 % de celui du commerce et des services et 5 % du secteur de l'administration et de la santé[11].

    Agriculture

    Liste des appellations présentes sur le territoire[33] :

    • IGP Bœuf du Maine, IGP Porc de la Sarthe, IGP Volailles de Loué, IGP Volailles du Maine, IGP Œufs de Loué ;
    • IGP Cidre de Bretagne ou Cidre breton ;
    • IGP Val de Loire blanc, IGP Val de Loire rosé, IGP Val de Loire rouge.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Bâtiments inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel[34] :

    • L'église Saint-Cyr-Sainte-Juliette, des XVIIe et XVIIIe siècles,
      et Croix de cimetière du XVe siècle, remontée dans le cimetière au XIXe siècle sur l'emplacement de l'ancienne église ;
    • Plusieurs maisons et fermes des XVe, XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles ;
    • Des moulins des XVe, XVIe et XVIIIe siècles, dont celui du Bas-Bareil ;
    • Le prieuré de Chanoines, prieuré[35] datant du XIIe siècle.

    Autres lieux et monuments :

    • Le lavoir.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Célestin Port (édition révisée par Jacques Levron et Pierre d'Herbécourt), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : A-C, t. 1, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1874) (BNF 33141105, lire en ligne), p. 613-615.
    • Célestin Port, Dictionnaire historique géographique et biographique de Maine-et-Loire, t. 1 (A-C), Angers, P. Lachèse, Belleuvre & Dolbeau, , 1re éd., p. 575-576.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.

    Références

    1. Arrêté préfectoral no  DRCL-BSFL-2016-151, du 7 décembre 2016, « Recueil des actes administratifs de Maine-et-Loire, du 8 décembre 2016, p. 5-7 », sur Préfecture de Maine-et-Loire.
    2. IGN et BRGM, Géoportail Chalonnes-sous-le-Lude (49), consulté le 13 mai 2012
    3. Lionel Delvarre, « Distances orthodromiques à partir de Chalonnes-sous-le-Lude (49) » (version du 14 mars 2017 sur l'Internet Archive), sur Lion1906, consulté le 13 mai 2012 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).
    4. P.Wagret J.Boussard J.Levron S.Mailliard-Bourdillon, Visages de l'Anjou, Paris, Horizons de France, coll. « Provinciales », (BNF 31614504), p. 10.
    5. IGN, Répertoire Géographique des Communes (RGC 2010), consulté le 2 février 2011 — Données consultables sur WikiAnjou.
    6. Comité météorologique départemental de Maine-et-Loire, « Le climat de Maine-et-Loire » (version du 28 janvier 2010 sur l'Internet Archive), sur Conseil général de Maine-et-Loire, 2006-2014, consulté le 24 mai 2011.
    7. C. C. Noyant, Communauté de communes, consulté le 13 mai 2012.
    8. Département de Maine-et-Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine-et-Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Angers, Le Polygraphe Éditeur, , 205 p. (ISBN 2-909051-22-6), p. 58-71 — Données consultables sur WikiAnjou.
    9. DREAL Pays de la Loire, Données environnementales GéoSource, consultées le 13 mai 2012.
    10. Insee, Statistiques locales du territoire de Chalonnes-sous-le-Lude (49), consultées le 15 décembre 2012.
    11. Insee, Statistiques locales du territoire de Chalonnes-sous-le-Lude (49), consultées le 11 décembre 2016.
    12. Célestin Port 1965, p. 613-615.
    13. École des hautes études en sciences sociales (EHESS), Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui - Notice communale de Chalonnes-sous-le-Lude, consultée le 13 mai 2012 — Nom de la municipalité en 1793 (an II), selon le recensement réalisé sur l'ensemble du territoire français de l'époque, et en 1801, selon les « Arrêtés de réduction des justices de paix » (actes publiés au Bulletin des lois) constituant la première nomenclature officielle des circonscriptions administratives de la France contemporaine.
    14. Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Cheminements, 2004-2005 (ISBN 978-2-84478-338-7), p. 47.
    15. Memorialgenweb.org - Châlonnes-sous-le-Lude : monument aux morts, consulté le 20 décembre 2013.
    16. « Les adjoints au maire », sur Mairie de Noyant-Villages (consulté le ).
    17. « Procès verbal du conseil municipal - Réunion du 26 mai 2020 », sur Mairie de Noyant-Villages, (consulté le ).
    18. Nombre de conseillers municipaux sur le Code général des collectivités territoriales.
    19. Préfecture de Maine-et-Loire, Liste des maires élus en 2014, document du 11 avril 2014.
    20. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
    21. Insee, Composition de l'EPCI du Canton de Noyant (244900015), consulté le 7 juillet 2013.
    22. SIVERT Est Anjou, SICTOD Nord Est Anjou, consulté le 6 février 2011 - Syndicat intercommunal de collecte et de traitement des ordures ménagères et des déchets de la région Nord-Est d’Anjou regroupant dix-huit communes.
    23. Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Chalonnes-sous-le-Lude, consultée le 21 février 2015.
    24. Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
    25. L'organisation du recensement, sur le site de l'Insee.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur le site de l'Insee.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
    29. « Évolution et structure de la population à Chalonnes-sous-le-Lude en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    30. « Résultats du recensement de la population de Maine-et-Loire en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
    31. Fédération Hospitalière de France, Hôpital intercommunal du Baugeois et de la Vallée (Baugé), consulté le 9 novembre 2011
    32. Insee, Statistiques locales 2009 du territoire de Chalonnes-sous-le-Lude, consultées le 14 mai 2012.
    33. INAO, Fiche de Chalonnes-sous-le-Lude (49), consultée le 14 mai 2012 — AOC Appellation d'origine contrôlée (FR), AOP Appellation d'origine protégée (CE), IGP Indication géographique protégée (CE).
    34. Ministère de la Culture, Monuments historiques et Inventaire général du patrimoine culturel, base Mérimée consultée le 2 février 2011.
    35. Prieuré sur Wiktionnaire.
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