Les Chats sauvages
Les Chats Sauvages est un groupe de rock français, originaire de Nice, dans les Alpes-Maritimes. Il apparait le avec la sortie d'un premier super 45 tours, qui connaît d'emblée un succès national. Sa carrière sous contrat avec la maison de disques Pathé-Marconi va durer, de à et se prolonger jusqu'à fin 1964-début 1965 sur scène[1]. Le groupe, officiellement séparé en 1965, était à l'époque le principal concurrent des Chaussettes Noires[2].
Autre nom | Les Drifters (1961) |
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Pays d'origine | Nice, Alpes-Maritimes, France |
Genre musical | Rock 'n' roll, rock |
Années actives | 1961—1965, 1981—1982, 1987 |
Labels | Pathé-Marconi |
Anciens membres |
Dick Rivers (†) John Rob James Fawler Jack Regard (†) Willy Lewis |
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Biographie
Origines
Après avoir gagné un concours de chant, Hervé Forneri décide de former un groupe. Un copain le met en relation avec les frères Roboly et quelques soirées niçoises plus tard, il baptise son groupe Les Drifters, après avoir essayé le nom de Tommy Steele and the Steelmen[2]. Ils seront ensuite rejoints par Gérard Jacquemus à la basse[2]. Ils auront pour but d'enregistrer un album, mais des échecs suivront d'abord en France, puis en Italie, ce qui les poussera à aller sur Paris au printemps 1961[1]. Le , ils auditionnent à Boulogne dans les studios de Pathé-Marconi et se rebaptisent les Chats sauvages, le nom des Drifters ayant déjà été pris[2].
Débuts et succès (1961—1963)
Leur premier matériel financé par Pathé-Marconi se compose de trois amplificateurs RV (Steve Brammer, RV 14, RV 101 Basse, RV 25 Super Luxe, une guitare Texas Gold pour le soliste, une Super de Luxe pour la rythmique, une basse Ohio 4 cordes, soit trois guitares des frères Jacobacci, une batterie ASBA et une chambre d'écho Binson Echorec 2 pour la guitare solo (voir leur premier EP 45 t sorti le , et leur deuxième)[réf. nécessaire].
À la suite d'un dîner organisé par leur maison de disques Pathé-Marconi, pour rencontrer les Shadows - le groupe qui les a influencés dès leurs débuts - après l'enregistrement d'une émission Musicorama, les 11- à laquelle les Chats participent en première partie, ils décident de s'équiper des mêmes instruments que le célèbre groupe anglais. Dick Rivers raconte : « Fin décembre 61, on part en tournée en Belgique, d'abords (à Bruxelles, aux Anciennes de Belgique) et on nous dit : "Voilà, il y a un magasin de musique à Anvers..." C'est là qu'ils, (Les Chats), vont acheter leurs deux premières Stratocaster Ivoire, Jack sa Precision Bass Sunburst et moi une Gibson Hummingbird. » - Les guitares Fender n'étaient pas encore importées en France à cette époque -.
En , Les Chats Sauvages sont sur la scène de l'ABC, pendant trois semaines en haut de l'affiche, en matinée à 15 h et soirée à 21 h, interprétant une vingtaine de chansons dont des titres inédits et non enregistrés. Dick Rivers, qui veut entamer une carrière en solo, rompt avec le groupe durant l'été 1962, après un gala en août à Nantes. Malgré ce départ imprévu et définitif et en attendant l'engagement et la venue prochaine de Mike Shannon, il reste à assurer 36 galas sur les 40 que le groupe a signés. Le groupe respecte ses engagements avec la présence au chant de Thierry Thibault (1945 - 24 avril 1966, décédé dans un accident de la route). Thierry ne put jamais officiellement être intégré au groupe, car étant déjà sous contrat chez Barclay et n'enregistrera jamais de disque[réf. nécessaire]. La tournée est un succès (bien que le groupe soit obligé d'annuler un gala prévu à Châtelet en Belgique le et soit remplacé au pied levé par Richard Anthony)[3]. Un dernier super 45 tours enregistré en , après l'album deuxième anniversaire avec Dick Rivers au chant sort en septembre, avec la première version de Tout ce qu'elle voudra, puis Oh Lady, Je reviendrai et Toute la nuit.
Le départ de Dick Rivers affecte la popularité du groupe, qui néanmoins poursuit sa carrière en le remplaçant par Mike Shannon. Ce renouveau est ponctué par deux importants succès : la chanson Derniers baisers en , (adaptation française de Sealed with a Kiss, sur des paroles de Pierre Saka, reprise avec succès par Nancy Holloway, et C. Jérôme en 1986, puis, sur des paroles différentes, par Laurent Voulzy en 2006), et Obsession, dans leur dernier 45 tours, en , une chanson de Doc Pomus et Mort Shuman adaptée par Pierre Saka[1]. La plupart de leurs EP 45 tours et album 33 tours contiennent des adaptations de succès anglais, notamment de Cliff Richard and The Shadows, d'Helen Shapiro, Mickie Most, mais aussi américains de Gene Vincent, d'Elvis Presley, Eddie Cochran, Sam Cooke, Willie Dixon, Bryan Hyland, The Crickets, The Four Seasons, The Strangeloves, etc. Leurs adaptations se classent souvent dans des « hit-parades » francophones mais aussi dans celui de Salut les copains[4].
Dernières activités et séparation (1964—1965)
Les Chats Sauvages ont successivement pour manager Jean-Claude Camus, puis Ticky Holgado (†) et Jean-Pierre « Chato » Scotto[5], en tant que régisseurs, et comme imprésario, Georgette Audiffred et Yves Gordon de l'agence Roger Audiffred, Tavel et Marouani. Les Chats sauvages sont à l'affiche du festival de rock organisé au Palais des Sports de Paris par Disco Revue le , avec Gene Vincent en vedette, Vic Laurens, Danny Boy et les Chaussettes Noires avec Eddy Mitchell. Le ils passent Place de la Nation pour le concert anniversaire de la première année du magazine Salut les Copains, où ils interprètent Allons reviens danser. En août ils sont en tournée en Belgique. A l'automne, ils participent à la tournée Age Tendre où ils retrouvent Gene Vincent accompagné par les Sunlights.
Les Chats Sauvages cessent leur activité artistique fin 1964 après leur dernier EP 45 t enregistré en mai, et sorti en . Une tournée au Québec, Canada, avait été prévue mais ne se fera pas. Durant l'été-automne 1964 et ce jusqu'à début 1965, Ils donnent encore quelques galas en France et à l'étranger (Tunisie, Italie ...). Enfin en , Jean-Claude Roboly fait un voyage aux États-Unis pour y promouvoir le lancement des Chats qui malheureusement n'aboutira pas car bloqué par EMI (Pathé-Marconi). En un certain nombre de titres avaient été enregistrés en anglais pour ce projet. C'est le point final de l'aventure des Chats Sauvages dans les années 1960. Dans une interview[Où ?] d'Hervé Mouvet en 2001, Jean-Claude Roboly confie : « On a fait encore trois ou quatre derniers concerts dans une station des Alpes (l'Alpe d'Huez entre Noël 1964 et le nouvel an)… On avait l'impression d'être devenu des musiciens pour soirées dansantes, alors qu'un an auparavant on cartonnait au Palais des Sports de Paris. Le dernier soir, je crois me souvenir… qu'on s'est produit dans un restaurant tout près de chez nous, vers Nice, au milieu du bruit des fourchettes et des papotages… Il était temps de tirer le rideau… »[réf. nécessaire] Un communiqué de presse[Lequel ?] annonçait dès : « le groupe a décidé de se séparer définitivement, sa carrière étant devenue « chaotique » depuis le printemps dernier. Mike Shannon va entreprendre une carrière solo »[réf. nécessaire].
Post-séparation
En 1970, Jack Regard remonte un groupe nommé Les Chats renaissance, avec des musiciens de sa Provence natale mais qui ne connait qu'un succès d'estime avec la publication d'un unique album 33 tours. Ils réapparaissent à trois reprises, de façon brève. D'abord en 1982 sur une idée du manager de Dick - Daniel Margules - qui lui en parle. « Pourquoi ne pas rassembler Willy et les frères Roboly pour un unique superbe album ? », qui est édité chez RCA, et qui parait l'année suivante, pour célébrer les 20 ans de leur grande époque. Cet album est enregistré au château d'Hérouville (Val-d'Oise), le studio de Michel Magne, dirigé par Laurent Thibault en , après des semaines de répétitions et de mise au point. Dick Rivers en est l'unique producteur. Le groupe est complété par deux musiciens additionnels qui participent à toutes les sessions : Jacques Mercier en troisième guitare - qui sera également à la direction musicale et à la réalisation - et Henri Séré à la guitare basse. Dick Rivers loue le studio pendant trois mois pour produire trois albums : Je devais loger et nourrir les musiciens de Rockpile, Les Chats - Love, Love, Love, - et le premier de Captain Mercier # 1 - Mercenaire du rock- un album d'un groupe qui sortira chez Polydor, dont Jacques Mercier est le chanteur/leader.
Ils réapparaîtront également en 1987, dans un album paru chez Mondane, à l'initiative de Mike Shannon, avec les frères Roboly et Willy Lewis pour les Chats d'origine, et deux musiciens additionnels, un piano et un saxophone, plus des chœurs. L'album reprend une nouvelle version de Derniers baisers et sept autres titres dont six sont signés ou cosignés par Michel Simonet - Mike Shannon. Le succès ne sera pas au rendez-vous faute de promotion, et l'album est souvent oublié dans la discographie des Chats Sauvages, car devenu très rare.
Gérard Jacquemus décède en 1973 des suites d'une anesthésie générale nécessaire, lors d'une intervention chirurgicale pour une malformation au cœur.
En plus de l'importante discographie, une multitude de « compilations » existe pour les pays francophones d'Europe et également au Québec, Canada[6]. Le répertoire très prolifique enregistré par Les Chats sauvages est composé de plus d'une centaine de chansons, dont environ les trois quarts en adaptation de diverses origines, mais à plus de 90 % anglo-saxonnes, tout ceci en trois ans de contrat avec la firme Pathé-Marconi.
Pour faire revivre le groupe, les frères Roboly ont l'idée de rassembler autour d'eux en 1999, des amis musiciens, qui sont aussi des musiciens expérimentés. Les enregistrements ont lieu durant l'été 1999, au studio LCS à Nice avec Gérard Roboly, Jean-Claude Roboly et Carl Grammatico aux guitares, Bernard Arcadio, Fred Flayosc, Fred Alavena et Félix Ekanga aux claviers, André Ceccarelli, Willy Lewis, Serge Roboly et Jean-Luc Véran aux batteries, Philippe Roboly et Jean-Marc Jafet à la basse, Stéphan (un jeune chanteur-auteur) au chant et Mélina Veran, Betty Sandra et Patricia Ceccarini aux chœurs.
À la suite de la publication de ce CD en 1999, Dick Rivers, très mécontent de la situation, intente une action en justice contre les frères Roboly, pour leurs interdire l'emploi du nom du groupe à des fins commerciales, sans autorisation de sa part. Le procès est d'ailleurs perdu par Dick Rivers, puisque le tribunal de Nice décide que « le nom du groupe Les Chats Sauvages est la propriété de tous les membres originaux, Dick Rivers n'en est, quant à lui, que le chanteur ainsi que les pochettes de disques en font mention… »[réf. souhaitée].
Nom
Le groupe de Dick Rivers s'appelle initialement Jerry Joyce and the Joycemen, nom que Pathé-Marconi trouve dépassé. Dick Rivers est fan de Marty Wilde et de son groupe anglais The WildCats qu'il choisit de traduire littéralement en Les Chats Sauvages[7].
Membres
Tous les membres originaux du groupe sont originaires de Nice, sauf le premier batteur né à Tunis et le bassiste né à Charleval (Bouches-du-Rhône). Willy Lewis sera successivement remplacé après son départ en par Armand Molinetti jusqu'en (qui ne sera jamais vu sur aucune photo), puis Smokey Dean (Dean Shelton) un jeune batteur anglais pour le deuxième album, André Ceccarelli, à partir de jusqu'en , enfin Michel Santangeli pour le dernier super 45 tours et leurs derniers galas[8],[9].
Membres d'origine
- Dick Rivers (Hervé Forneri) (—) — chant (1961—1962)
- John Rob (Jean-Claude Roboly) (né le ) — guitare solo
- James Fawler (Gérard Roboly) (né le ) — guitare rythmique
- Jack Regard (Gérard Denis Jacquemus) (—) — basse (brièvement remplacé à la basse fin 1963 par Rod « Boots » Slade, bassiste de Georgie Fame).
- Willy Lewis (William Taïeb) (né le ) — batterie
Autres membres
- Thierry Thibault — chant (après le départ de Dick Rivers en , assure l'intérim pour quelques galas jusqu'en )
- Mike Shannon (né le ) — chant (succède à Dick Rivers à partir de l'automne 1962)
Discographie
Les pressages français ont été effectués chez Pathé-Marconi, sauf autre indication[10]. Directeur artistique : Jean-Paul Guiter.
Période Dick Rivers
Période Mike Shannon
- 1963 : no 3 - Venez les filles (25 cm ST 1170 S) 10 titres avec Mike Shannon et la collaboration de Bernard Gérard pour 2 orchestrations de violons. (mars 1963)
Période Dick Rivers
- 1961 : Le jour J (I've Got You) ; En avant l'amour (Cannot find a true love) / Ma p'tite amie est vache (Mean Woman Blues) ; J'ai pris dans tes yeux (juin 1961)
- 1961 : Je veux tout ce que tu veux ; Trois en amour ("D" in Love) / Toi l'étranger (The Stranger) ; Hey Pony ! (juillet 1961)
- 1961 : Toi tu es bath pour moi ; Dis moi si c'est l'amour / Toi, quel bonheur (Come Closer) ; Tu peins ton visage (War Paint) (novembre 1961)
- 1962 : Sous le ciel écossais (When the Girl is in Your Arms) ; Un p'tit je ne sais quoi (One Track Mind) / Les Bras de l'amour ; Laisse-moi rire (Lessons in Love) (février 1962)
- 1962 : Twist à Saint-Tropez ; C'est pas sérieux (Theme for a Dream) / Est-ce que tu le sais ? (What'd I Say) / Oh Boy !!! arrangement de (I want to know)(tiré du 1er album) (avec 1962)
- 1962 : Laissez-nous twister (Twistin' the Night Away) ; Un cœur tout neuf (A Brand New Beat) / L'amour que j'ai pour toi (Love of a Man) ; Cousin-cousine (tiré du 2e album) (juin 1962)
- 1962 : Je reviendrai (I'm Going Home) ; Tout ce qu'elle voudra (Tell Me What She Said) 1re version / Oh ! Lady ; Toute la nuit (Week End) (septembre 1962)
Période Mike Shannon
- 1962 : Sherry ; Mon copain / Derniers baisers (Sealed With a Kiss) ; Tout le monde twiste (The Twist Kid) (octobre 1962)
- 1963 : John, c'est l'amour (Son, This is She) : Horizon / Emmène-moi (folklore) ; Judy, rappelle-toi (tiré du 3e album) (mai 1963)
- 1963 : Dis-lui que je l'aime (Tell Her) ; Une fille comme toi (The Shape I'm In) / Allons, reviens danser (Dancing Shoes) ; Quelle nouvelle (Big News) (juin 1963)
- 1963 : B.O.F. Le Roi du village. 3 instrumentaux et Venez les filles (juillet 1963)
- 1963 : Laisse-moi chanter ; Ô Valérie / Elle t'aime (She Loves You) ; Moins d'une minute (octobre 1963)
- 1964 : Jolie fille (Betty Jean) ; Seul (Boys) / La Route ; Ericka (mars 1964)
- 1964 : Merci (L'Edera)-(Constantly) ; Je suis prêt (That's All Right) / Obsession (Suspicion) ; Malgré tout ça (Shaking Feeling) (juillet 1964)
Rééditions, compilations, nouveautés
- 1974 : Est-ce que tu le sais (30 cm EMI double 33 tours) compilation 30 titres avec Dick Rivers
- 1982 : Love, Love, Love (30 cm, RCA) 20e anniversaire du groupe, 10 nouveaux titres inédits avec Dick Rivers
- 1987 : Mike Shannon et Les Chats sauvages, (Mondane CD), 8 titres dont 7 inédits : Toxico Rock/ La plus belle du quartier/ Derniers Baisers/ Vieux Rock'N'Roll Man/ Rock 'n' roll (Mon amour n'a pas changé), Dingue de rock/ Je serais toujours là (I'm the Lonely One)/ Un roi s'en est allé.
- 1987 : Inédits et titres rares (25 cm 12 titres, dont 6 inédits de 1961-1962) avec Dick Rivers.
Intégrales
Vidéographie
- Hey Pony - . Archives INA
- Viens danser le twist - Studio TV des Buttes-Chaumont, en live, émission Si ça vous chante, (archives INA)
- Georges viens danser le rock, avec Georges Guétary - Studio TV des Buttes Chaumont, en live, Si ça vous chante, (archives INA)
- Est-ce que tu le sais - 1962 - Scopitone d'Andrée David-Boyer, Mamy Scopitone filmée dans sa maison, villa Relâche à Antibes]
- Tu peins ton visage - 1962 - Scopitone d'Andrée David-Boyer, filmée dans sa maison, villa Relâche à Antibes.
- Oh Lady - 1962 - Scopitone filmé au bord du bassin de la piscine de la Tour de Mare à Fréjus (archives INA)
- Oh dis-le-moi - 1962 - Scopitone filmé à la gare de départ du petit train de la Tour de Mare (archives INA)
- Sherry - 1962 - Scopitone filmé sur le Champ de Mars à Paris par Claude Lelouch (archives INA)
- Quelle Nouvelle - émission Âge tendre et tête de bois en live, - Bowling du bois de Boulogne (archives INA)
- Venez les filles - Extrait du film d'Henri Gruel, Le Roi du village, (archives INA)
- Émission Du côté de la musique, documentaire La Guitare, (archives INA)
Bibliographie
- Dick Rivers, Hamburger, pan-bagnat, rock'n roll, etc., Édition Carrère, , 345 + 32 p. de photos (ISBN 2-86804-344-5)
- Jean Chalvidant et Hervé Mouvet, La Belle histoire des groupes de rock français des années 60, Édition F. Lanore, 191 pages, 2001 (ISBN 978-2-8515-7219-6)
- Thierry Liesenfeld, Quand les Chats sont là (biographie), Kaholé Production, 2011
- Jukebox Magazine, spécial Dick Rivers, hors série no 12, 4e trimestre 1999, avec un CD de 20 titres 1961-1998.
- Jukebox Magazine, no 314, , Thierry Liesenfeld, Les Chats au Casino de Saint-Malo avec Thierry Thibault au chant.
- Magazine Guitare, Part no 217, , extrait d'un article de Thomas Baltes dans une interview de Dick Rivers.
- Guitares, « Jacobacci, un atelier de Lutherie à Paris, 1924-1994 », 2006 (ISBN 978-2-85056-971-5)
Notes et références
- « Interview Jean-Claude Roboly - Avec et sans Les Chats sauvages », Platine, no 20, .
- Hervé, « Encyclopédie du Rock | Les Chats Sauvages », sur rockmadeinfrance.com, (consulté le ).
- « Hors série », Juke Box Magazine, no ??, ??.
- « La génération “Salut les copains” : quelles stars des Yéyé témoignent dans ce documentaire ? », sur Télé Star (consulté le ).
- Alain Duval, « La Saga des Chats Sauvages en 1962 (Deuxième partie) », Club des Années 60 numéro 59, , p. 6.
- Juke Box Magazine, no 13, mai 1987.
- Dick Rivers, Very Dick, Michel Lafon, , p. 76.
- T. Liesenfeld, Quand les Chats sont là, Édition Saphyr, , « La valse des batteurs », p. 172-173.
- « Francis CABREL | Petite Marie », sur quickpartitions.com (archives) (consulté le ).
- Thierry Liesenfeld, Les Chats sauvages – Quand Les Chats sont là, Saphyr - Kalohé Production, , Pages 179-180.
Liens externes
- Ressources relatives à la musique :
- Discogs
- (en) MusicBrainz
- (en) Muziekweb
- (en) Rate Your Music
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