Claire Ouedraogo

Elle est élevée dans une famille chrétienne qui effectue un pèlerinage annuel[3]. Elle décide très tôt qu'elle voulait une vie chrétienne et, en 2005, alors qu'elle étudie la Bible, avec le chœur d'une nouvelle église, elle tombe sur un verset qui change sa vie et qui dit que les gens ne seraient pas donnés en mariage, mais seraient comme les anges après la résurrection. Elle décide que c'est sa vocation et, en 2006, elle se rend au Togo pour y passer quelques semaines avec les religieuses. Elle devient religieuse le 7 septembre 2013 à Yaoundé au Cameroun, où elle était novice depuis deux ans[3].

Elle est la présidente de l'association féminine songmanegre pour le développement, connue pour sa lutte contre les mutilations génitales féminines mais le groupe soutient aussi les femmes en général avec des programmes incluant la contraception et le microcrédit[1].

En 2016, le Premier ministre du Burkina Faso, Paul Kaba Thiéba, souligne son travail avec les femmes dans les campagnes et la nomme ambassadrice de la paix. Dans cette optique, elle poursuit son travail au mépris de la menace du terrorisme, dans la province de Bam[1].

Elle reçoit le prix international de la femme de courage, le 4 mars 2020[2].

Claire Ouedraogo, recevant, le 4 mars 2020, le prix de la femme de courage 2020.

• (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Claire Ouedraogo » (voir la liste des auteurs).

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