Claude-Joseph-Brandelys Green de Saint-Marsault
Claude-Joseph-Brandelys Green, comte de Saint-Marsault, marquis du Verdier (, Uzerche - , Paris), est un homme politique français.
Sénateur | |
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Préfet de Seine-et-Oise | |
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Préfet de la Moselle | |
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Préfet de la Corrèze | |
Préfet des Deux-Sèvres | |
Préfet du Gers | |
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Naissance | |
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Décès |
(à 58 ans) Paris |
Nationalité | |
Formation | |
Activité | |
Enfant |
Élisabeth Green de Saint-Marsault (d) |
Distinction | |
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Archives conservées par |
Archives nationales (F/1bI/173/5)[1] |
Biographie
Claude-Joseph-Brandelys Green de Saint-Marsault est le fils de François Germain Green, comte de Saint-Marsault, lieutenant des maréchaux de France, et d'Éléonore de Weyre.
Entré dans l'administration sous la Monarchie de Juillet, il est successivement sous-préfet de Bar-sur-Seine, puis préfet du Gers. Destitué sous la Révolution française de 1848, il est rappelé par le gouvernement de Louis-Napoléon Bonaparte aux fonctions de préfet des Deux-Sèvres (1848-1850), préfet du Lot (1849, non-installé), préfet de la Moselle (1850-1852), puis préfet de Seine-et-Oise (1852-1865).
L'agent secret Jacques François Griscelli accuse son épouse et sa fille d'avoir été les maitresses successives de Napoléon III pour accélérer la carrière du préfet.
Il est nommé sénateur du Second Empire le .
Marié à Mlle Amélie d'Hébrard du Rocal, dame d'honneur de Mathilde Bonaparte, il est le père d'Élisabeth Green de Saint-Marsault, baronne Paul Caruel de Saint-Martin et victime de l'incendie du Bazar de la Charité. Il est également le beau-père de Gaston Fournier de Pellan, maire de Guérande, et d'Ernest Deville de Sardelys.
Sources
- « Saint-Marsault (Claude-Joseph Green, comte de) », dans Adolphe Robert et Gaston Cougny, Dictionnaire des parlementaires français, Edgar Bourloton, 1889-1891 [détail de l’édition]
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