Claude Petitet
Claude Julien Marie Petitet né le à Paris et mort le à Nogent-sur-Marne est un peintre français.
Claude Petitet
Naissance | |
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Décès |
(à 74 ans) Nogent-sur-Marne |
Nom de naissance |
Claude Julien Marie Petitet |
Nationalité | |
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Maître | |
Distinctions |
Premier second grand prix de Rome de peinture en 1948 |
Biographie
Claude Petitet entre à l'École des beaux-arts de Paris dans l'atelier de Nicolas Untersteller (1900-1967). Il concourt au prix de Rome en 1948 et obtient le premier second grand prix avec : Trois femmes à la fontaine. En 1950, il monte à nouveau en loge sans succès avec pour sujet : Dans la nature des jeunes filles expriment le retour du Printemps. Il se lie d'amitié avec quelques concurrents des ateliers voisins[Notes 1].
Il expose régulièrement dans les Salons parisiens.
Après la Seconde Guerre mondiale, il est lauréat de la 21e promotion de la Casa de Velázquez à Madrid[1],[2]. Il y a peint des portraits de femmes espagnoles.
Œuvres dans les collections publiques
- Paris, École nationale supérieure des beaux-arts :
- Les Hespérides, 1945, huile sur toile ;
- Figure peinte, 1945 ;
- Étude de portrait, 1946.
Notes et références
Notes
- Les concurrents étaient : Altes, Françoise Boudet, premier grand prix, ex-æquo avec Robert Savary, Cheval, Paul Collomb premier second grand prix, Geoffroy Dauvergne, Gassies, Gisèle Georges, Camille Hilaire, deuxième second grand prix, Legrand Perrin (Alain Valtat, op. cit., pp. 26 et 28).
Références
- Annuaire des anciens membres de la Casa de Velázquez[réf. nécessaire].
- Il y rencontre, entre autres, Jean-Marie Granier, Camille Hilaire, André Pédoussaut et Luc Simon des 22e et 23e promotions.
Bibliographie
- Dictionnaire Bénézit[Information douteuse].
- Jean-Marc Delaunay, Des palais en Espagne. L'École des hautes études hispaniques et la Casa de Velázquez au cœur des relations franco-espagnoles du XXe siècle (1898-1979), éditions de la Casa de Velázquez, 1994, 670 p.
- Alain Valtat, Catalogue Raisonné du Peintre Geoffroy Dauvergne (1922-1977), préface de René Quillivic, introduction de Mickaël Compagnion, Sceaux, Lévaña (auto-édition), 1996, pp. 25-28.
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