Féniers

Féniers (Feniers en occitan) est une commune française située dans le département de la Creuse en région Nouvelle-Aquitaine.

Féniers

L'église.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Creuse
Arrondissement Aubusson
Intercommunalité Haute-Corrèze Communauté
Maire
Mandat
Nathalie Peyrat
2020-2026
Code postal 23100
Code commune 23080
Démographie
Gentilé Féniers, Fénières
Population
municipale
94 hab. (2019 )
Densité 6,6 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 45′ 05″ nord, 2° 07′ 39″ est
Altitude Min. 772 m
Max. 921 m
Superficie 14,33 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Felletin
Législatives Circonscription unique
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Féniers
Géolocalisation sur la carte : France
Féniers
Géolocalisation sur la carte : Creuse
Féniers
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Féniers

    Géographie

    Féniers est située au Nord du plateau de Millevaches en Creuse. La commune de Féniers comprend les hameaux de Crabanat, Le Petit Meymat, Ganneclaire, la Rebeyrolle, le Moulin et Louvage. Féniers est dominée par le Puy de Crabanat (921 m d'altitude). La source de la Creuse, affluent de la Vienne, était située sur cette commune (d'après l'ancien cadastre établi en 1834). Sa superficie est de 14,5 km². Elle est actuellement située sur la commune de Le Mas-d'Artige

    Féniers est le plus haut chef-lieu de commune du département, établi à environ 840 mètres d'altitude.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat de montagne », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 8,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 5,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 206 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 14,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Peyrelevade », sur la commune de Peyrelevade, mise en service en 1965[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 8,8 °C et la hauteur de précipitations de 1 386,5 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, dans le département de la Haute-Vienne, mise en service en 1973 et à 69 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 11,4 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Féniers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (52,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (54,7 %), forêts (26,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (12,5 %), zones agricoles hétérogènes (6,3 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    La présence du menhir de Pierre Pointe atteste de l'ancienneté de l'occupation humaine.

    Depuis l'antiquité cette commune était essentiellement constituée de petits paysans. Mais après l'implantation du camp militaire annexe de La Courtine en 1902, les bars-hôtel se sont beaucoup développés à Féniers. Les militaires venaient étancher leur soif. Depuis le quasi abandon du camp et l'exode des jeunes vers les villes, le village connait un déclin. En effet, Féniers se vide peu à peu de ses habitants sans qu'ils ne soient remplacés.

    Les Templiers et les Hospitaliers

    Le lieu-dit de Crabanat est une ancienne possession templière mentionnée au cours du procès de l'ordre du Temple[20]. Le lieu accueille les vestiges du Château de Rochefort[réf. souhaitée], ancienne commanderie Saint-Barthélémy, Saint-Blaise des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, classée à l'inventaire général du patrimoine culturel et dont la construction date d'avant 1430[21]. Contrairement aux autres villages de la commune, Crabanat faisait partie du Bas Limousin et non de La Marche[22]. Crabanat appartenait aux Templiers avant la dévolution des biens de l'ordre du Temple.

    Féniers fut au Moyen Âge une commanderie des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem du grand prieuré d'Auvergne et cette commanderie de Féniers comptait parmi ses membres et annexes l'ancien village de Crabanat. La commanderie des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem date du XIIIe siècle, formée d'un grand corps de logis carré qui était en ruine en 1616 et a été remplacé par une ferme en partie incendiée en 1870[23]. L'église paroissiale Saint-Jean-Baptiste, Saint-Clair de Féniers qui pourrait dater du XIIIe siècle appartenait à la commanderie des Hospitaliers de Féniers et a été très remaniée au XIXe siècle à la suite d'un incendie[24]. Elle comporte un clocher-mur au fronton triangulaire, remarquable par la puissance des deux contreforts qui le soutiennent. L'église encore présente aujourd'hui était chef-lieu de paroisse sous l'autorité du commandeur de Féniers au même titre que la chapelle disparue de Crabanat. Cette église fut saccagée par les soldats protestants de la garnison de Peyrat au début du XVIIe siècle[25].

    Une légende dit qu'autrefois un tunnel reliait les deux villages qui avait pour but de faciliter les échanges (commerciaux et diplomatiques) des 2 commanderies tout en étant protégés des nombreux brigands de l'époque. Ce tunnel est aujourd'hui introuvable. Le hameau de Comps à l'ouest qui fait aujourd'hui partie de la commune de Peyrelevade était également un des membres de la commanderie de Féniers[26].

    Les autres membres connus avant la disparition de la commanderie étaient le hameau de Boucheresse, commune de Clairavaux, le lieu-dit La Font Galand, commune de La Courtine et Le Mas-d'Artige, tous ces membres ayant le statut de paroisse à cette époque.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Mars 1994 2001 Éliane Giron    
    Mars 2001 2008 Alain Lescure DVG[27]  
    Mars 2008 Mai 2010 Jean-Claude Alamarguy    
    2010 En cours Nathalie Peyrat[28]
    Réélue pour le mandat 2020-2026
      Agricultrice
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[30].

    En 2019, la commune comptait 94 habitants[Note 6], en augmentation de 4,44 % par rapport à 2013 (Creuse : −3,52 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    371326401393453422429446436
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    420408429442450418507426433
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    412373467332331357353324175
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    16213612811010593879494
    2019 - - - - - - - -
    94--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie locale

    Cette économie est surtout basée sur l'élevage bovin et ovin.

    L'industrie forestière est importante.

    Le tourisme d'été a aussi un effet sur la commune car il existe plusieurs maisons de gites.

    Lieux et monuments

    Carte postale du village vers 1920.

    Patrimoine civil

    Le menhir dit de Pierre Pointe est un menhir christianisé avec de petites croix gravées sur trois faces et sur le sommet[33].

    Treize moulins ont été recensés, un construit avant 1773, et les douze autres entre 1773 et 1833.

    Patrimoine religieux

    • Une chapelle attenante à une maison de maître à Crabanat.

    Patrimoine environnemental

    • Étang de Féniers.
    • Camps et radars militaires de Féniers.
    • Source de la Creuse

    La mention de la source de la Creuse sur le cadastre de 1834 ne saurait être considérée comme un élément géographique sérieux dès lors que le Cadastre n'a de valeur qu'en ce qui concerne l'assiette de l'impôt foncier. Il est d'ailleurs de jurisprudence constante qu'en matière même de propriété le plan cadastral ne constitue éventuellement qu'un simple commencement de preuve. Ainsi cette mention " source de la Creuse" doit être considérée comme purement anecdotique et ne devrait pas figurer comme un patrimoine environnemental dès lors que cela est contraire à toutes les décisions administratives et notamment préfectorales concernant la conservation et la protection des milieux naturels qui désigne formellement le ruisseau prenant sa source sur Féniers sous le nom de Gioune. On pourrait certainement d'ailleurs retrouver ce nom de Gioune sur des documents bien antérieurs à 1834 comme la carte de Cassini qui est un document majeur en matière de toponymie. Sur cette carte (AUBUSSON n°13 feuille 66 levers de 1760 et 1761 publiée en 1763) le nom de CREUSE est clairement inscrit sur le cours d'eau situé en amont de la confluence avec celui qui provient sur sa rive gauche des communes de Gioux et Féniers.

    La Fête annuelle

    Elle a lieu tous les ans vers la fin août et rassemble les habitants de la commune mais aussi les touristes. C'est à cette occasion que se déroule le championnat national de lancer de passoires. Elle est clôturée par un bal et un feu d'artifice.

    Lieu-dit de Crabanat

    Une croix monumentale en granit, datant du XIXe siècle est inscrite à l'inventaire supplémentaire[36] de même qu'une maison de maître du XVIIIe siècle[37].

    Mythes et Légendes de la commune

    L'existence d'un village de la taille de Féniers derrière le Puy de Crabanat est une hypothèse bien certaine. En effet, ce village nommé Crabanac réunissait au Moyen Âge les actuels villages de Crabanat, Villemonteix et Villevaleix. C'est ce village qui abritait la sous commanderie des Templiers. Il aurait été déserté et brûlé au cours d'une très importante épidémie de peste. Les habitants qui y ont survécu se sont installés dans les trois villages nommés précédemment. Au fil des années ils ont progressivement déplacé les pierres de l'ancien village pour construire les fermes et les maisons de leurs villages.[réf. nécessaire]

    Outre Crabanat, Villemonteix et Villevaleix, on trouve bien un quatrième village qui figure sur les cartes de Cassini: Crabanac, Grabanac, Ville monteix et Ville Valeix[38]

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Jean-Marie Allard, « Templiers et Hospitaliers dans la Creuse: Une esquisse historique dans Les commanderies de la Creuse au Moyen Âge. Aperçu historique et architectural », Mémoires de la Société des sciences naturelles, archéologiques et historiques de la Creuse, t. 50, , p. 127-168 (lire en ligne)
    • Pierre-Alain Caunet, La commanderie de Féniers, Gioux patrimoine, , 197 p. (ISBN 978-2-9540-0607-9, présentation en ligne)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Peyrelevade - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Féniers et Peyrelevade », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Peyrelevade - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Féniers et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. Allard 2004, p. 134 (note 20),135
      Interrogatoires 1308, Poitiers: « Americus Cambellani frater serviens, morans in domo de Crabanac, Lemovicensis dioc. ».
      .
    21. Notice no IA00030782, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    22. Antoine Thomas, Le comté de la Marche et le parlement de Poitiers, Slatkine, , 2e éd., 314 p. (présentation en ligne), p. XLIII.
    23. « Commanderie », notice no IA00030775, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    24. « église paroissiale », notice no IA00030774, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    25. Louis-Augustin Vayssière, « L’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem ou de Malte en Limousin et dans l’ancien diocèse de Limoges », Bulletin de la Société des lettres, sciences et arts de la Corrèze, , p. 102-106, lire en ligne sur Gallica.
    26. Vayssière 1884, p. 105.
    27. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    32. « menhir dit de Pierre Pointe », notice no IA00030787, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    33. « Croix monumentales », notice no IA00030773, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    34. « Eglise paroissiale Saint-Jean-Baptiste, Saint-Clair », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    35. Notice no IA00030784, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. Notice no IA00030783, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    37. « Carte de Cassini: Crabanat et hameaux aux alentours » sur Géoportail..
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