Corinne Marchal-Tarnus

Corinne Marchal-Tarnus est maire adjoint de la commune Eulmont de 2001 à 2008 et suppléante du député Laurent Hénart de 2002 à 2012.

Elle se présente dans le canton de Malzéville lors des cantonales de 2008.

Elle siège à l'Assemblée nationale entre le 1^er mai 2004 et le 16 juillet 2005 en remplacement de Laurent Hénart nommé secrétaire d'État à l'Insertion professionnelle des jeunes[1]. Membre de la commission des Affaires Sociales, elle participe à deux missions: mission sur les Savoirs Enseignés à l'Ecole[2] et mission sur les Enjeux des essais de l'utilisation des organismes génétiquement modifiés[3].

En novembre 2004 elle est Rapporteur sur l'Enseignement supérieur[4].

Elle est orateur du groupe lors de la discussion de la loi sur Les assistants maternels et familiaux.

Dans le cadre de la loi du 8 février 2005, elle fait passer l'amendement donnant l'accès de droit à tout enfant frappé d'un handicap à l'établissement scolaire de son secteur.

Membre du Parti Radical Valoisien, elle prend ses distances en juillet 2011 avec l'UMP qui, d'après elle, contourne la loi sur la parité[5] lors des élections sénatoriales.

En mars 2014, elle est tête de la liste Malzéville Ambition 2020, UDI à Malzéville lors des municipales[6].

En mars 2015, elle est élue conseillère départementale du canton de Saint-Max[7]^,[8] dans le cadre de l'Union de la Droite et du Centre[9].

La liste Réussir Malzéville[10]qu'elle mène en 2020 pour les élections municipales de mars 2021 arrive en seconde position avec 3 élus dans le cadre d'une abstention record jamais vue dans la commune de Malzéville^{[réf. nécessaire]}.

Mandat parlementaire

• 1^er mai 2004 - 16 juillet 2005[12] : députée de la 1^re circonscription de Meurthe-et-Moselle[11].