Course en arrière

La course en arrière (également connu sous son nom anglais retro running) est une course à pied qui se pratique en tournant le dos à la direction de la progression.

Un coureur marchant en arrière.

Intérêts

D'après plusieurs études, courir en arrière permettrait de brûler davantage de calories[1]^,[2]. Elle permettrait également de réduire des douleurs aux genoux[3]. Une alternance avec la course ordinaire permettrait d'améliorer son endurance[4]^,[5].

Culture populaire

Le film Reverse Runner (en)

Bibliographie

Christian Grollé, Carole Ahau et Christian Ahau, Retro Running Regeneration, Books on Demand Editions, 2009, 54 p. (ISBN 978-2-8106-0209-4, lire en ligne)

Notes et références

(en) Gretchen Reynolds, « Running in Reverse », The New York Times Magazine,‎ 9 décembre 2012 (lire en ligne)
« Courir en arrière : pourquoi faire simple... ? - Variantes », sur L'Équipe (consulté le 31 mai 2020)
(en) G. A. Cavagna, M. A. Legramandi et A. La Torre, « Running backwards: soft landing–hard takeoff, a less efficient rebound », Proceedings of the Royal Society B: Biological Sciences, vol. 278, n^o 1704,‎ 7 février 2011, p. 339–346 (ISSN 0962-8452, PMID 20719774, PMCID 3013407, DOI 10.1098/rspb.2010.1212, lire en ligne, consulté le 31 mai 2020) :
« Patellofemoral pain (PFP) is a common injury and increased patellofemoral joint compression forces (PFJCF) may aggravate symptoms. Backward running (BR) has been suggested for exercise with reduced PFJCF. BR had reduced PFJCF compared to FR. This was caused by an increased knee moment, due to differences in magnitude and location of the GRF vector relative to the knee. BR can therefore be used to exercise with decreased PFJCF »
« Le retro-running (courir en arrière), le jogging qui ne fait pas mal », sur L'Obs (consulté le 31 mai 2020)
(en) Ordway Jd et Laubach Ll, « The Effects of Backwards Running Training on Forward Running Economy in Trained Males », sur Journal of strength and conditioning research, 2016 mar (PMID 26332781, consulté le 31 mai 2020)

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[1] (en) Gretchen Reynolds, « Running in Reverse », The New York Times Magazine,‎ 9 décembre 2012 (lire en ligne)

[2] « Courir en arrière : pourquoi faire simple... ? - Variantes », sur L'Équipe (consulté le 31 mai 2020)

[3] (en) G. A. Cavagna, M. A. Legramandi et A. La Torre, « Running backwards: soft landing–hard takeoff, a less efficient rebound », Proceedings of the Royal Society B: Biological Sciences, vol. 278, n^o 1704,‎ 7 février 2011, p. 339–346 (ISSN 0962-8452, PMID 20719774, PMCID 3013407, DOI 10.1098/rspb.2010.1212, lire en ligne, consulté le 31 mai 2020) :
« Patellofemoral pain (PFP) is a common injury and increased patellofemoral joint compression forces (PFJCF) may aggravate symptoms. Backward running (BR) has been suggested for exercise with reduced PFJCF. BR had reduced PFJCF compared to FR. This was caused by an increased knee moment, due to differences in magnitude and location of the GRF vector relative to the knee. BR can therefore be used to exercise with decreased PFJCF »

[4] « Le retro-running (courir en arrière), le jogging qui ne fait pas mal », sur L'Obs (consulté le 31 mai 2020)

[5] (en) Ordway Jd et Laubach Ll, « The Effects of Backwards Running Training on Forward Running Economy in Trained Males », sur Journal of strength and conditioning research, 2016 mar (PMID 26332781, consulté le 31 mai 2020)