Cuir de cheval
Histoire
En France, le cuir de cheval n'a jamais eu l'importance du cuir de bovin. En 1764, L′Art du tanneur signale que les tanneurs de Paris refusent de le travailler, mais que ceux de province acceptent à l'occasion. Il se prépare comme le cuir des bovins, et se vend 8 à 9 livres. Il n'est en effet pas aussi facile à travailler, et a tendance à faire beaucoup de plis[1].
Notes et références
- Joseph Jérôme Le Français de Lalande, « Du Cuir de Cheval », dans Art du tanneur, Desaint & Saillant, coll. « Description des arts et métiers, faites ou approuvées par Messieurs de l'académie royale des sciences », (lire en ligne), p. 84.
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