DeLaVallet Bidiefono

DeLaVallet[3] Bidiefono N'Kouka est un danseur et chorégraphe congolais.

DeLaVallet BidiefonoDeLaVallet Bidiefono N'Kouka[1],[2]
Naissance Pointe-Noire (Congo)
Lieux de résidence Brazzaville
Activité principale Chorégraphe, danseur
Style Danse contemporaine
Activités annexes musique
Lieux d'activité Brazzaville, Congo
Années d'activité depuis 2001
Collaborations David Lescot, David Bobée, Morgan Banguissa, Dieudonné Niangouna
Maîtres Daniel Larrieu, Paco Dècina
Site internet

Œuvres principales

Empreintes / On posera les mots après
Au-delà

Après des débuts comme percussionniste et chanteur, il entame à Brazzaville une carrière de danseur, travaillant notamment au centre culturel français auprès de Daniel Larrieu et Paco Dècina. Il crée en 2005 la compagnie Baninga. Ses œuvres sont régulièrement montées en Europe.

Œuvres

  • Liberté d'expression (2005)
  • Pollution (2006)
  • Ndjila na Ndjila - d'une route à l'autre (2007)
  • Nos enfants nous font peur quand on les croise dans la rue / Quand le réel nous rattrape (2009)
  • Empreintes / On posera les mots après (2009)
  • Où vers ? (2011)
  • 45 tours (2011)
  • Au-delà (2013)
  • Neuf couches de rouge / La tchikoumbi furiosa[4] (2019)
  • Les Sauvages (2021)

Références

  • Rosita Boisseau, « DeLaVallet Bidiefono, une danse violente et vitale », Le Monde, (ISSN 0395-2037, lire en ligne, consulté le ).
  • Marie-Christine Vernay, « DeLaVallet Bidiefono, mémoires d’outre-tombe », Libération, (ISSN 0335-1793, lire en ligne, consulté le ).
  • Séverine Kodjo-Grandvaux, « DeLaVallet Bidiefono : ‹ Au Congo, la mort nous accompagne au quotidien  », Jeune Afrique, (ISSN 1950-1285, lire en ligne, consulté le ).
  • Fabienne Pascaud, « Festival d'Avignon : des mystères du Congo au music-hall électrisé de Pologne… », Télérama, (ISSN 0040-2699, lire en ligne, consulté le ).

Liens externes

Notes

  1. « Entretien avec Delavallet Bidiefono pour "Trans" et "On ne brûle pas l’enfer" - theatre-contemporain.net », theatre-contemporain.net, (consulté le )
  2. « Entretien avec DeLaVallet Bidiefono pour "Monstres, on ne danse pas pour rien" - theatre-contemporain.net », theatre-contemporain.net, (consulté le )
  3. Il tient son prénom de M. De La Vallet, une connaissance de son père.
  4. Régina Sambou et Émeraude Kouka, « Danse contemporaine: Neuf couches de rouge/ La tchikoumbi furiosa », sur @friCulturelle, (consulté le )
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