Decrescenzo
Decrescenzo Éditeurs est une maison d'édition fondée en 2012 et localisée à Aix en Provence en France. Focalisée sur la littérature coréenne, elle ouvre son catalogue aux autres littératures d'Asie depuis 2017.
| Decrescenzo Éditeurs | |
| Repères historiques | |
|---|---|
| Création | 2012 |
| Fondée par | Kim Hye-gyeong, Jean-Claude de Crescenzo & Franck de Crescenzo |
| Fiche d’identité | |
| Forme juridique | S.A.S |
| Siège social | 241, Chemin de Saint-François 13710 Fuveau (France) |
| Dirigée par | Franck de Crescenzo |
| Spécialités | Littératures d'Asie |
| Collections | Roman, Microfictions, Poésie, Polar/SF, Essai, revue Keulmadang |
| Langues de publication | Français |
| Diffuseurs | DOD&Cie - Daudin |
| Filiales | Carré-Poche ; 710 |
| Site web | http://www.decrescenzo-editeurs.com/ |
En 2019, la marque éditoriale "Carré-poche", proposant du format poche, publie ses premiers romans.
En 2020, "710", marque dédiée à la littérature française et étrangère hors Asie, vient renforcer les marques déjà existantes.
Liste des publications
- Cours papa, cours ! de Kim Ae-ran (2012)
- La Bibliothèque des instruments de musique de Kim Jung-hyuk (2012)
- Sept méandres pour une île de Yi In-seong (2013)
- Qui a tendu un piège dans la pinède... de Eun Hee-kyung (2013)
- Les cerisiers du Japon de Yi Tae Jun (2013)
- Mina de Apple Kim (2013)
- Pierrot en mal de lune de Jung Young-moon (2013)
- Ma vie dans la supérette de Kim Ae-ran (2013)
- Bus errant de Kim Jung-hyuk (2013)
- La voleuse de fraises de Eun Hee-kyung (2013)
- Séouliennes, Keulmadang No 1, collectif (2014)
- Putain de pupitres! de Park Bum-shin (2014)
- Pavanes pour une infante défunte de Park Min-kyu (2014)
- Le Regard de midi de Lee Seung-U (2014)
- Zombies, la descente aux enfers de Kim Jung-hyuk (2014)
- Rêveries et déambulations, Keulmadang No 2, collectif (2014)
- Ce que l'on voit en s'arrêtant de Haemin (2014)
- Le château du baron de Quirval de Choi Jae-hoon (2015)
- Comme dans un conte de Kim Kyung-uk (2015)
- Pars, le vent se lève de Han Kang (2015)
- Un désir de littérature coréenne de Jeong Myeong-kyo (2015)
- Comment se passe ton été de Kim Ae-ran (2015)
- Dans l'antre d'Aoï garden de Pyun Hye-young (2015)
- Éloge de la lenteur, Keulmadang No 3, collectif (2015)
- Poèmes de l'Himalaya de Ko Un (2015)
- Au lotus d'or - Histoires de courtisanes de Lee Hyeon-su (2015)
- Corée des villes, Corée des champs de Yun Dae-nyeong, Jeong Ji-a, Ha Seong-ran, Park Min-kyu, Kim Yeon-su et Kim Mi-wol (2015)
- Écrivains coréens d'aujourd'hui, Keulmadang No 4, collectif (2016)
- Chanson d'ailleurs de Kim Ae-ran (2016)
- Un verre de miroir rouge, de Kim Hyesoon (2016)
- Saisons d'exil de Yi In-seong (2016)
- Fictions coréennes, collectif (2016)
- Les nuits de sept ans, de Jeong You-jeong (2016)
- Les ombres du lundi de Kim Jung-hyuk (2016)
- Histoires insolites de Corée, six auteurs, six nouvelles (2016)
- Nana à l'aube, de Park Hyoung-su (2016)
- L'escargot est lent mais il n'est jamais en retard, de la moniale Jung-Mok (2016)
- Un impossible de conte de fées de Han Yujoo (2017)
- Le Chant de la terre, de Lee Seung-U (2017)
- La remontrance du tigre, de PARK Ji-won (2017)
- Le petit rêve, de TAN Da (2017)
- Au paradis, de Apple KIM (2017)
- Un monde dénaturé, de Jung Young-moon (2017)
- La forêt de l'Ouest, de Pyun Hye-young (2017)
- Un balcon sur la lune, de CHUNG Han-ah (2017)
- L'Empire Samsung, les secrets de la réussite, de Kim Byung-wan (2017)
- Amours fantômes, Ouvrage collectif (2017)
- Séoul zone interdite, de Jung Myeong-seop (2018)
- La Corée du Nord à Bicyclette - Un diplomate à Pyongyang, de John Everard (2018)
- L'enfant ultime, de JANG Yong-min (2018)
- Mina, de Apple Kim (2019) - Carré-Poche
- Celle que j'aimais, de PARK Min-kyu (2019) - Carré-Poche
- Zombies juke-box, de Kim Jung-hyuk (2019) - Carré-Poche
- Marx et sa baguette, de Itaru Watanabé (2019)
- Génération B, de CHANG Kang-myoung (2019)
- Cochon sur gazon, de KIM Tae-yong (2020)
- Hesperia, Tome 1 : Les derniers exilés de Troie, de Frédéric Messala (2020) - 710
- Rubis sur l'ongle, de Marcelo Rubens Païva, (2020) - 710
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