Djillali Ben Amar
Djillali Ben Amar est une commune de la wilaya de Tiaret en Algérie.
Djillali Ben Amar | ||||
Noms | ||||
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Nom arabe algérien | جيلالي بن عمار | |||
Nom amazigh | ⵊⵉⵍⴰⵍⵉ ⴱⴻⵏ ⵄⵎⵎⴰⵔ | |||
Administration | ||||
Pays | Algérie | |||
Wilaya | Tiaret | |||
Daïra | Mechraa Safa | |||
Code postal | 14048 | |||
Code ONS | 1424 | |||
Indicatif | 046 | |||
Démographie | ||||
Population | 5 443 hab. (2008[1]) | |||
Densité | 36 hab./km2 | |||
Géographie | ||||
Coordonnées | 35° 26′ 40″ nord, 0° 50′ 59″ est | |||
Altitude | Min. 317 m Max. 317 m |
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Superficie | 149,27 km2 | |||
Localisation | ||||
Localisation de la commune dans la wilaya de Tiaret. | ||||
Géolocalisation sur la carte : Algérie
Géolocalisation sur la carte : Algérie
Géolocalisation sur la carte : Algérie (nord)
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Géographie
Djillali Ben Amar se trouve à l'ouest de Tiaret, chef lieu de Wilaya. La ville est limitée à l'est par la commune de Mechraa Safa et Rahouia, au nord par Oued Essalem (wilaya de Relizane), à l'ouest par Oued El Abtal et au sud par Aïn Farah (wilaya de Mascara). Elle tient sa dénomination du saint Sidi Djillali Ben Amar dont la coupole surplombe la ville au sud sur une crête. De sa situation de ville de campement de l'armée française sous l'administration française, elle s'est agrandie et devenue une ville.
Histoire
Djillali Ben Amar, comme toute la wilaya de Tiaret et plus généralement les massifs du nord-ouest algérien, était de l'époque prospère de l'État d'Alger une terre riche en production agricole et spécialisée dans la culture du blé destiné à l'exportation européenne ; un exemple d'une l'agriculture extensive saine et productive et de son exploitation par les populations locales ayant hérité des traditions agraires d'Al Andalus.
À partir de la colonisation française et successivement de l'incendie volontaire des terres agricoles des musulmans d'Algérie, de la confiscation de ces terres par les colons, de la réappropriation des fermes par des paysans français aux techniques agricoles relativement moins avancées et surtout moins adaptées aux territoires, cette riche activité a d'abord perdu de sa splendeur et ensuite, à partir du XXe siècle, sous le coup du développement de l'agriculture intensive nocive pour la fertilité des sols et pour la qualité de la production, a fini par disparaître[2].
Notes et références
- « Wilaya de Tiaret : répartition de la population résidente des ménages ordinaires et collectifs, selon la commune de résidence et la dispersion ». Données du recensement général de la population et de l'habitat de 2008 sur le site de l'ONS.
- Hildebert Isnard, « Les exploitations agricoles européennes en Algérie », Méditerranée, vol. 2, no 1, , p. 23–31 (DOI 10.3406/medit.1961.3417, lire en ligne, consulté le )
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