Esclavage au Niger
Bien que l'esclavage soit interdit au Niger depuis 2003[1], des milliers d'adultes et d'enfants continuent d'être la propriété d'une personne ou d'une famille[2].
Structure sociale et ethnique
Chez les populations arabes, peuls, toubous et touaregs, des maîtres continuent de disposer à leur guise d’esclaves, de leur travail, de leurs enfants et de leurs biens[3].
Situation actuelle
La persistance de l’esclavage traditionnel au Niger est favorisée par le silence souvent complice de certains intellectuels nigériens qui sont principalement issus du milieu de la chefferie traditionnelle[4].
Références
Annexes
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