Eugène-Gillion de Trazegnies
Eugène-Gillion de Trazegnies (1739-1803) épouse le Marie-Victoire de Rifflart (1750 - 1806), marquise d'Ittre.
Généalogie
Eugène-Gillion, troisième fils de Philippe-Ignace, fut créé marquis de Trazegnies d'Ittre le .
Il est le père de Gillion de Trazegnies d'Ittre (1772-1847), 10e marquis de Trazegnies, comte de Bohême, Off Inf Autrichienne, chambellan du roi de Bavière, chambellan du roi Guillaume Ier des Pays-Bas, époux de Constance de Nassau-Corroy. (Ascendants de Gillion de Trazegnies d'Ittre jusqu'à la 12e génération sur Geneanet)
Armes
écartelé, au premier et quatrième bandé d'or et d'azur de six pièces, à l'ombre de lion de sable, brochant sur le tout, à la bordure engrêlée de gueules, qui est Trazegnies , au deuxième et troisième de gueules, à la fasce d'argent, accompagnée de trois losanges d'or, deux en chef et un en pointe, qui est de Wissocq . L'écu surmonté d'une couronne à cinq fleurons d'or, soutenu de deux lions de même[2], et couvert d'un manteau, le revers aux armes ci-dessus, fourré d'hermines[3].
Devise
- « Tan que vive »[4]
Bibliographie
- Roger Brunet, Généalogie et histoire de la famille de Trazegnies, Préfacée par le marquis de Trazegnies, 1996
Voir aussi
Articles connexes
- Maison de Trazegnies
- Maison de Wissocq
- Gilles Ier de Trazegnies († 1161) et son frère Anselme
- Othon II de Trazegnies († 1192)
- Gilles II de Trazegnies († 1204)
- Othon III de Trazegnies († 1241)
- Gilles le Brun de Trazegnies († 1276)
- Anselme Ier de Trazegnies († 1418)
- Arnould de Hamal († 1456)
- Anselme II de Trazegnies († 1490)
- Jean II de Trazegnies († 1513)
- Jean III de Trazegnies († 1550)
- Charles Ier de Trazegnies († 1578)
- Charles II de Trazegnies († 1635)
- Gillion-Othon Ier de Trazegnies († 1669)
- Octave-Joseph de Trazegnies († 1698)
- Philippe-Ignace de Trazegnies († 1739)
- Château de Trazegnies
- Église Saint-Martin (Trazegnies)
- Collégiale Sainte-Gertrude de Nivelles
Liens externes : châteaux de Belgique
« La reconstruction ne fut entreprise qu’à partir de 1630 par le deuxième marquis de Trazegnies, Gillion-Othon, époux de la comtesse Jacqueline de Lalaing -Hoogstraeten depuis 1631. »
« Les Trazegnies sont propriétaires de ces murs antiques depuis 1809. Leur dynastie avait été remise en selle par la germanique baronne Eléonore von Bode, jeune et riche veuve dans la trentaine, qui épousa in illo tempore à Vienne le grand-père de Gillion de Trazegnies, Philippe-Ignace, officier dans un régiment hongrois, à l’époque le seul rejeton Trazegnies restant. »
Notes et références
- Relevé généalogique sur Geneanet
- Pour les troisième et quatrième branches, les lions des supports ne sont pas regardants.
- Paul Janssens et Luc Duerloo, Armorial de la noblesse belge du XVe au XXesiècle, Crédit Communal de Belgique, Bruxelles, 1992.
- La devise « TAN-QUE-VIVE »
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