Euploea leucostictos

Dénomination

Euploea leucostictos a été nommé par Gmelin en 1790.

Synonyme : Euploea nemertes erima ; Rothschild, 1915[1].

Sous-espèces

  • Euploea leucostictos leucostictos à Java.
  • Euploea leucostictos depuiseti (Oberthür, 1879)
  • Euploea leucostictos herbstii (Boisduval, 1832)
  • Euploea leucostictos iphianassa (Butler, 1866) en Nouvelle-Calédonie à Grande-Terre[2].
  • Euploea leucostictos juno à Nias[3].
  • Euploea leucostictos leucogoni en Malaisie[4].
  • Euploea leucostictos lykeia (Fruhstorfer, 1910)
  • Euploea leucostictos nemertes (Hübner 1806)[5]
  • Euploea leucostictos novarumebudum (à confirmer)[6]
  • Euploea leucostictos oculata (Moore, 1883) aux Philippines.
  • Euploea leucostictos oppia (Fruhstorfer, 1910)
  • Euploea leucostictos staintonii (C. & R. Felder, 1865)
  • Euploea leucostictos swierstrae (Snellen, 1891)[1].
  • Euploea leucostictos viola (Butler) Euploea viola à Sulawesi[7]
  • Euploea leucostictos vestigiataa (Butler)[8]

Description

C'est un papillon marron foncé dont le dessus est orné d'une ligne submarginale de points ovales blancs aux antérieures et aux postérieures. Le revers est marron plus clair avec la même ornementation. Le corps est noir, marqué lui aussi de points blancs.

Biologie

Plantes hôtes

Les plantes hôtes de sa chenille sont des Ficus, Ficus harlandi, Ficus streblus, Ficus hispida, Ficus retusa, Ficus robusta, Ficus subulata, Ficus streblus, Ficus wass[1].

Écologie et distribution

Euploea leucostictos est présent depuis les Philippines jusqu'en Nouvelle-Calédonie à Grande-Terre[1].

Protection

Pas de statut de protection particulier.

Philatélie

Euploea leucostictos novarumebudum figure sur un timbre du Vanuatu[6].

Notes et références

Annexes

Articles connexes

Liens externes

  • Portail de l’entomologie
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