Fabien Herran

Fabien Herran, après une licence de lettres à l'université Paris IV-Sorbonne, suit les cours de l'Atelier-École Charles-Dullin, à Paris. Il joue dans plusieurs pièces et signe plusieurs mises en scène. En tant que comédien, il travaille également sur des courts-métrages réalisés par des étudiants du Conservatoire libre du cinéma français. Parallèlement, il suit en auditeur libre, des cours de scénographie et de musicologie à l'École nationale supérieure d'architecture de Paris-La Villette. Il tente également le concours du Conservatoire national supérieur d'art dramatique.^{[réf. nécessaire]}

Lors de son service militaire, en 1995-1996, où il est appelé comme professeur de français, il développe un programme original de lutte contre l'illettrisme. Cela lui vaut la remise, à titre exceptionnel, de la médaille de la Défense nationale. Il est également journaliste.^{[réf. nécessaire]}

Lors de son retour à la vie civile, il crée sa propre compagnie, « Antilift-produits artistiques », qui verra la création d’un spectacle original au Festival d'Avignon 1997, comme auteur, metteur-en-scène, régisseur : Dialogues à la chaise jaune.^{[réf. nécessaire]}

En 1999, il se tourne définitivement vers le journalisme et entre dans le journal Le Républicain de l'Essonne en 2000. Il collabore en 2002-2003 avec la chaîne de télévision locale TV Sud Paris. Il y présente le journal télévisé du week-end. En 2005, il devient chef de service au Républicain de l'Essonne dont il transforme intégralement la maquette et la charte graphique, en 2006, ce qui lui vaut un prix, le PHR d'or de la mise en page, décerné par le Syndicat de la presse hebdomadaire régionale, lors du 57^e Congrès de la presse hebdomadaire régionale. Il devient rédacteur en chef technique du Républicain de l'Essonne en 2007.^{[réf. nécessaire]}

Parallèlement, il collabore ponctuellement avec le journal Voici et participe en tant que chroniqueur à l'émission « Pré-Attitude », puis « On a des choses à vous dire » sur la chaîne de télévision locale Téléssonne, de mai 2009 jusqu'à la fermeture de la chaîne, en septembre 2014.^{[réf. nécessaire]}

En 2012, il participe avec deux autres journalistes, Clémentine Deroudille et Bertrand Richard, et le comédien et auteur François Morel, à la publication de l'ouvrage Raymond Devos, la raison du plus fou, édité en novembre de la même année par Le Cherche midi.^{[réf. nécessaire]}

• 1992 : Train de vie
• 1997 : Dialogues à la chaise jaune
• 1997 : Juste pour le week-end, avec Olivier Caro
• 1998 : L'interprète, avec Olivier Caro
• 1999 : Fractions fortuites
• 2012 : Raymond Devos, la raison du plus fou, Paris, Le Cherche midi (ISBN 978-2-7491-2655-5) (avec Clémentine Deroudille, Bertrand Richard et François Morel)

• 1993 : Médée d'Euripide à l'Atelier-École Charles Dullin
• 1994 : Si Camille me voyait de Roland Dubillard à l'Atelier-École Charles Dullin
• 1994 : M. Lovestar et son voisin de palier d'Eduardo Manet à l'Atelier-École Charles Dullin
• 1994 : Le Misanthrope de Molière à l'Atelier-École Charles Dullin
• 1994 : L'Opéra de quat'sous de Bertolt Brecht à l'Atelier-École Charles Dullin
• 1995 : La Dispute de Marivaux
• 1997 : Le Chandelier de Musset avec le Théâtre d'expression spontanée

• Site du Républicain de l'Essonne
• Notice de « Raymond Devos, la raison du plus fou / portrait impertinent par François Morel » sur le site du Catalogue général de la BnF

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