Flik Flak
Flik Flak est une marque de montres, créée 1987, appartenant à la société Swatch Group. Elle est à destination des enfants de trois à onze ans[1].
Flik Flak | |
Création | 1987 |
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Société mère | Swatch Group |
Conception et fabrication
C'est une montre d'apprentissage qui permet d'enseigner l'heure au moyen de deux aiguilles dessinées en forme de petits personnages [2] . La plus grande des aiguilles de couleur bleu est appelée Flik et indique les minutes. La seconde aiguilles, la plus petite de couleur rouge est dénommée, Flak, elle compte les heures. Pour intéresser les enfants à cet apprentissage, une histoire autour des deux aiguilles est racontée faisant de Flik et de Flak des frère et sœur. Les deux personnages ont ensuite été remplacés par des pirates, princesses et héros de dessins animés, et une gamme de bijoux a été également développée[3].
Les montres Flik Flak sont fabriquées en Suisse et sont munies d'un mouvement à quartz[4]. Les montres sont composées d'une vingtaine de pièces seulement contre une cinquantaine pour une Swatch. Étanche et lavable en machine, seule la pile est changeable[3].
Pédagogie
Le cadran des montres est muni de couleurs contrastées permettant aux enfants de s'approprier la lecture de l'heure. Toutes les heures et les tranches de cinq minutes sont inscrites en chiffres, le reste des minutes est symbolisé par une série de petits points. Par ailleurs, la marque diffuse auprès des enseignants un kit pédagogique reprenant les codes couleurs pour la lecture des minutes et des heures[5].
Notes et références
- « Flik Flak grandit depuis trente ans », Le Temps, (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le ).
- Bertrand Duguet, « Flik Flak célèbre ses trente ans », sur Le Figaro.fr, (consulté le )
- Julien Duriez, « Flik Flak apprend l'heure aux enfants depuis près de vingt-cinq ans », sur la-croix.com, (consulté le ).
- Constance Assor, « Le changement d'heure, c'est aussi pour les enfants ! », sur Le Point, (consulté le ).
- Elodie Baërd, « Flik Flak: deux aiguilles et des clics », sur Le Figaro.fr, (consulté le ).