Fourrure (héraldique)

En héraldique, sont appelés fourrures[1],[2],[3] ou parfois pannes[4],[5], les couleurs hermine[1],[2],[3],[6],[7],[8] et vair[1],[2],[3],[9],[10], ainsi que leurs variantes, la contre-hermine[1],[11],[12], le contre-vair[1],[13],[14] et d'autres nombreux vairés[15].

Fourrures héraldiques : 1- Hermine 2- Contre-hermine 3- Vair (toujours d'azur et d'argent)/vairé de sable et d’argent (en bichromie noir et blanc) 4- Contre-vair/contre-vairé de sable et d’argent 5- Vair en pal/vairé en pal de sable et d’argent

Pour les articles homonymes, voir Fourrure (homonymie) et Panne.

Historique

À l'origine, l'utilisation de fourrures (anciennement « doubleures ») pour obtenir certains effets colorés des blasons, semble avoir été d'un usage fréquent.

Ainsi, la couleur sable (noir) était sans doute à l'origine une fourrure : celle de la zibeline de couleur noire, qui se nomme en russe соболь (sobol) ; son nom russe aurait donné le mot « sable » dans son acception héraldique[16]. Mais, tandis que le sable finit par être unanimement considéré comme un émail, , la zibeline est restée fourrure avec ses mouchetures (synonyme de « fausse hermine »).

L'étymologie du mot gueules (d'origine encore discutée) a pu laisser penser à une fourrure primitive. En héraldique, le terme de « gueules » désignerait la couleur rouge du fait, dit-on, que l'on utilisait des peaux de gosier de martres — ce qui semble tout à fait improbable. Le vair, quant à lui, reproduit un patchwork fait de fourrures de petit-gris de Russie au ventre blanc et au dos gris-bleuté.

Les fourrures monochromes ont disparu en tant que fourrures héraldiques. N'ont subsisté que les compositions à motifs bichromes obtenues par « semis de mouchetures », comme l'hermine ou la zibeline, ou par patchwork, comme le vair.

Analogies entre fourrures et semés

Il y a une différence notable entre une fourrure et un champ semé. Si la représentation graphique d'un "d'hermine plain" ressemble fortement à un "d'argent semé de mouchetures d'hermine de sable", dans le cas de la fourrure le champ est "plain", c'est à dire sans charge, coloré d'une couleur certes "bichrome" mais sans provoquer une quelconque épaisseur supplémentaire à ce qui se produirait avec un champ d'or ou de gueules plain. Il en va tout autrement avec le semé de mouchetures, qui charge le champ d'argent d'un nombre (réputé non défini) de mouchetures, petit meubles certes, mais d'épaisseur égales à n'importe quelle autre charge. La différence se fait sentir si par exemple on pose un lion d'azur sur l'hermine qui devient simplement : "d'hermine au lion d'azur" alors que sur le semé ce serait : d'argent semé de mouchetures d'hermine de sable, à un lion d'azur brochant (sur le tout)"

L'herminé, terme ambigu et donc à éviter, n'est pas une variante d'hermine mais désigne un « champ semé » de mouchetures d'hermine, avec des couleurs différentes de l'hermine ordinaire. Il vaut donc mieux blasonner la partition : « de [couleur] semé de mouchetures d'hermine de [couleur]».

Les fourrures étant des compositions bichromes utilisant un métal et un émail, elles sont qualifiées de « mixtes ». Utilisées en association avec des figures (pièces ou meubles), elles ne sont donc pas soumises à la règle de contrariété des couleurs. Généralement, les créateurs d'armes recherchent le plus grand contraste possible et utilisent l'hermine plutôt comme un métal, l'argent y étant dominant : d'hermine à la bande de gueules (qui est de la commune de Glageon, dans le Nord) et la contre-hermine comme un émail, le sable y étant dominant : de contre-hermine à deux chevrons d'or (qui est de la famille Somner en Angleterre).

De fait, il y a assez peu de différence de représentation graphique entre certains champs semés d'un petit meuble, comme l'écu de France ancien, d'azur semé de fleurs de lys d'or, et l'hermine : qui ressemble à d'argent semé de mouchetures de sable ; ou entre certains rebattements, comme les fuselés ou les frettés et les innombrables vairés. En effet, les exemples cités sont abusivement traitées comme des fourrures en particulier en "oubliant" de préciser "brochant" pour les charges supportées par les semés ou les champs en menu-partition.

Dans les ornements extérieurs, en revanche, les fourrures sont représentées au naturel sur la doublure des manteaux ou des coiffures (toques, bonnets). Les mouchetures d'hermines, n'ayant plus besoin d'être stylisées quand elles sortent de l'écu, deviennent des petites touffes de poil noir ondulantes (flammées), les cloches et pots de vair ont des limites moins géométriques, et le réseau en quinconce subit les déformations du drapé du tissu.

Hermine et ses variantes

D'hermine plain qui est de Bretagne (argent + sable).

L'l'hermine, se figure comme un d'argent semé de mouchetures d'hermine de sable. Le meuble « moucheture d'hermine » n'existe que par rapport à la fourrure, ce qui justifie de conserver le terme technique « herminé » pour décrire les semés correspondants.

  • La contre-hermine, contraire de l'hermine, inverse argent et sable.
  • L'héraldique anglaise ajoute deux variantes, l'herminois (ou herminais) et le péan ; où l'argent est remplacé par l'or ; et donc la fourrure de péan peut être considérée comme un "contre-herminais"[17].
  • Le cas général serait l'« herminé », si ce terme n'était réservé qu'aux figures composées par des mouchetures. Les champs imitant l'hermine avec d'autres couleurs que le sable et l'argent (ou le sable et l'or) se blasonnent : de <couleur> semé de mouchetures d'hermine de <couleur>, ou de <couleur> herminé de <couleur> ; et doivent respecter la règle d'alternance des couleurs, comme tout champ semé.
  • Seules les trois variantes de l'hermine évoquées ci-dessus sont considérées, avec elle, comme fourrures véritables. C'est-à-dire qu'il s’agit d’un champ semé de mouchetures d’hermine représenté sur une seule couche (les mouchetures ne sont pas "au-dessus" du champ mais "dedans")[17]. En revanche, les dérivés de l'hermine dans d'autres couleurs, parfois appelés "herminés", sont des champs d'une certaine couleur (souvent de gueules) semés de mouchetures d'hermine considérées alors comme meubles et superposées, à ce titre, à la couleur de fond. En d'autres termes, la fourrure d'hermine et ses variantes sont une seule couleur héraldique (quoiqu'en bichromie), alors que les dérivés d'hermine (ou herminés) sont bicolores donc représentés en deux couches, et ne sont pas considérés comme fourrures.

Vair et ses variantes

De vair plain, alternant pots d'argent et clochettes d'azur, dont les pointes convergent et les bases s'opposent.

Le vair et ses différentes variantes sont constitués d'un pavage de « cloches » et de « pots » de vair (de même forme que les cloches, mais tête-bêche), rangés horizontalement sur des tires. Même s'il est possible d'alterner entre elles les couleurs des cloches et des pots sur le même pavage, ils sont le plus souvent alternés métal/émail ou émail/métal, mais, bien que rares, on trouve des vairés email/émail[18] (ce qui ne contredit pas la règle d'alternance des couleurs, cloches et pots étant "cousus" au même niveau).

Le fait que les cloches soient toujours bleues et les pots blancs tient sans doute aux règles de la pelleterie. Il s'agit d'un même animal au pelage varié (d'où son nom), dont on utilise le dos, le ventre et les pattes postérieures (celles de devant, trop petites, étant sacrifiées). Le dos de l'animal, gris-bleu, au poil plus rêche, doit respecter le tombant, les pattes arrières se trouvent en bas (en forme de cloche) ; le ventre, blanc, plus doux et ras, peut être inversé, les pattes en haut (en forme de vase)[19]. Moyen mnémotechnique : si l'on se figure une tire de vair comme une onde, les nuages (blancs) sont en haut, et la mer (bleue) en bas.

La taille, le nombre de pièces et de tires ne sont pas quelconques sur cette fourrure, contrairement à l'hermine. La composition comporte un nombre déterminé de pièces.

  • un vair/vairé standard comporte 4 ou 5 tires sur un écu. Sur un écu parti, les tires et les pièces (cloches et pots) gardent une taille similaire.
  • un pavage de moins de 4 tires est appelé beffroi.
  • un pavage de plus de 5 tires est appelé menu-vair.

D'une tire à l'autre, le motif peut être décalé en quinconce (vair ordinaire), ou plus rarement aligné en pal (changement du dessin) . D'autre part, la tire en chef peut être de la même couleur que la suivante, ou au contraire opposer les couleurs. En combinant ces possibilités, le vair peut se présenter sous quatre formes.

Fig. 7.
Vair (fig. 1)
la fourrure de base est constituée par des cloches d'azur et des pots d'argent. Habituellement, la première tire comporte un nombre entier de cloches et commence par un demi-pot d'argent, la deuxième décalée en quinconce, commence donc par une demi-cloche d'azur. Toutefois, la première tire peut comporter un nombre entier de pots, et commencer par une demi-cloche (fig. 4) ; il n'y a pas de convention précise à cet égard, peu d'auteurs (par exemple Foras) se prononcent sur le sujet .
Vair en pal (fig. 2)
les tires sont répétées à l'identique, l'une sur l'autre sans décalage (changement du dessin, mais non des couleurs). Ce vair est parfois dit "appointé" par quelques auteurs, mais vivement critiqué par d'autre comme Foras[20] ; en effet, c'est le seul vair, avec le vair en pointe, dont, par un changement du dessin, les pointes des pièces ne convergent pas.
Contre-vair (fig. 3)
c'est un vair ordinaire dont les couleurs des tires paires (2e, 4e, etc.) sont inversées (changement des couleurs, mais non du dessin).
Vair en pointe[21] (fig. 7)
c'est un vair ordinaire dont les tires paires sont renversées (changement du dessin et des couleurs).
Vair renversé (fig. 4)
toutes les tires sont renversées (comme si l'écu était tête-bêche) ; ou plus simplement, les couleurs sont inversées (les cloches sont d'argent, et les pots d'azur). Du fait de la confusion possible avec le vair ordinaire, il fut très rarement utilisé à l'époque médiévale, et presque toujours en pal-renversé sur des pièces honorables (pal, bande, chevron, ou même gironné), ce qui permettait de respecter la règle d'alternance des couleurs (les demi-cloches blanches sont en contact avec le champ, très souvent rouge : Pérusse des Cars, de gueules au pal de vair en pal renversé). Cette règle claire a malheureusement été ignorée à partir du XVIIe siècle, la plupart des héraldistes modernes chargeant les pièces avec du vair ordinaire.
  • Toutes les formules ci-dessus ont leurs variantes en « vairé » : contre-vairé, vairé en pal, vairé en pointe, etc. Et ce, dès lors qu'une couleur au moins diffère de la fourrure de base.
Vairé (fig. 5)
désigne un vair standard de couleurs différentes que l'argent et l'azur. Ici : vairé de gueules et d'or. Par définition, les deux couleurs utilisées ne sont pas nécessairement l'une de métal l'autre d'émail. Les vairés à l'instar du vair peuvent être en pal en pointe, etc. Dans tous les cas, la couleur à citer en premier est celle des pots.
Contre-vairé (fig. 6)
désigne un contre-vair aux couleurs modifiées. Ici : contre-vairé de sinople et d'argent.

Forme des cloches et des pots

La fantaisie des illustrateurs a introduit un grand nombre de variations dans la forme des clochettes (qui parfois d'ailleurs ne ressemblent plus guère à des clochettes). On trouve ainsi, bien qu'assez rarement, du vair (ou vairé) billeté, cannelé, en écaille, enclavé, engrélé, nébulé, ondé (la moins rare peut-être), alterné, potencé (surtout en héraldique anglaise)…

En Allemagne, la clochette ressemble à un casque et prend le nom de chapeau de fer.

Ces formes ne semblent pas constituer une caractéristique déterminante d'identification, et semblent plus liées à des modes de représentation selon les lieux, les époques et les techniques disponibles à l'instant précis.

En marge des fourrures ...

La Zibeline ou Fausse-Hermine
Ici en doublure du manteau ( l'écu étant d'hermine plain), elle se représente sur champ d'argent par un semi de mouchetures constituées simplement de la petite queue sans les trois points d'accroche[23], sans précision s'il s'agit d'une fourrure ou d'un semé, mais les ornements extérieurs de l'écu, non identitaires, sont moins rigoureux quant au respect des définitions des couleurs.


Le Papelonné
Est pour la très grande majorité des auteurs un champ semé (de meubles n'ayant pas de nom défini, sorte d'écaille en arrondi vers la pointe, posés en quinconce, aboutés aux voisins de la même tire et à la base de ceux de la tire supérieure), considéré comme une fourrure par de rares auteurs


Le Plumeté
Est pour la très grande majorité des auteurs un champ semé. Le blasonnement proposé ici dans la source n'est donc pas conventionnel : « Plumeté d’argent à un pal d’hermine, qui est de Brégence (Bregenz, Vorarlberg, Autriche) ». On lui préfèrera : « D'argent semé de mouchetures de sable en forme de barbes de plumes[24], à un pal d’hermine ».


Exemples de fourrures figurées de manière réaliste et non selon la symbolique héraldique classique : « De vair naturel, au pal d'hermine naturelle qui est de Brégence » (autre version).


Le papelonné[25] et le plumeté[26] sont certes des « champs semés » ou « champs composés », mais parfois assimilés à des fourrures par de rares auteurs[27], quand elles ne sont pas pleinement considérés comme telles[28]. Le fait qu'il soit systématiquement nécessaire d'énoncer les deux émaux (le champ et le semé), impliquerait pourtant qu'il ne s'agit pas de fourrures.

Un peu d'humour pour conclure

Hybride: Coupé d'hermine à une hermine de vair et de vair à un verre d'hermine.

Notes et références

  1. « Fourrure », dans le Dictionnaire de l'Académie française, sur Centre national de ressources textuelles et lexicales (sens 1) [consulté le 26 mai 2016].
  2. Définitions lexicographiques et étymologiques de « fourrure » (sens A, 2, a) dans le Trésor de la langue française informatisé, sur le site du Centre national de ressources textuelles et lexicales [consulté le 26 mai 2016].
  3. Entrée « fourrure » [html], sur Dictionnaires Larousse de français (en ligne), Larousse (consulté le ).
  4. « Panne », dans le Dictionnaire de l'Académie française, sur Centre national de ressources textuelles et lexicales (sens I, 2) [consulté le 26 mai 2016].
  5. Définitions lexicographiques et étymologiques de « panne » dans le Trésor de la langue française informatisé, sur le site du Centre national de ressources textuelles et lexicales [consulté le 26 mai 2016].
  6. « Hermine », dans le Dictionnaire de l'Académie française, sur Centre national de ressources textuelles et lexicales (sens 2) [consulté le 26 mai 2016].
  7. Définitions lexicographiques et étymologiques d'« hermine » (sens A, 2, b, β) dans le Trésor de la langue française informatisé, sur le site du Centre national de ressources textuelles et lexicales [consulté le 25 mai 2016).
  8. Entrée « hermine » [html], sur Dictionnaires Larousse de français (en ligne), Larousse (consulté le ).
  9. Définitions lexicographiques et étymologiques de « vair » (sens B) dans le Trésor de la langue française informatisé, sur le site du Centre national de ressources textuelles et lexicales [consulté le 25 mai 2016].
  10. Entrée « vair » [html], sur Dictionnaires Larousse de français (en ligne), Larousse (consulté le ).
  11. Définitions lexicographiques et étymologiques de « contre-hermine » dans le Trésor de la langue française informatisé, sur le site du Centre national de ressources textuelles et lexicales [consulté le 25 mai 2016].
  12. Entrée « contre-hermine » [html], sur Dictionnaires Larousse de français (en ligne), Larousse (consulté le ).
  13. « Contre-vair », dans le Dictionnaire de l'Académie française, sur Centre national de ressources textuelles et lexicales [consulté le 26 mai 2016].
  14. Entrée « contre-vair » [html], sur Dictionnaires Larousse de français (en ligne), Larousse (consulté le ).
  15. Définitions lexicographiques et étymologiques de « vairé » dans le Trésor de la langue française informatisé, sur le site du Centre national de ressources textuelles et lexicales [consulté le 25 mai 2016].
  16. Il existe quelques rares autres hypothèses sur l'étymologie du terme "sable" pour désigner le noir héraldique, qui ne sont d'ailleurs que des pistes, non profondément fouillées, comme ici : (fr + en) Auguste et Paula Vachon, « La couleur sable est-elle issue d’une fourrure ? », sur Heraldic Science Héraldique (consulté le ).
  17. Jpgibert (pseudonyme), « de péan », sur Wiktionnaire, (consulté le ).
  18. Pastoureau, Traité d'Héraldique, p.104.
  19. « La peau de cet animal, quand on a osté la teste et les pieds, a la véritable figure de nos vairs du blason. » Les pelletiers assemblaient les deux parties (bleu et blanc) en les opposant l'une à l'autre. Menestrier cité dans "Le blason, Dictionnaire et remarques" de Amédée de Foraz, page 435
  20. Dictionnaire et remarques, p.439
  21. Ce nom pose problème, car « en pointe » signifie habituellement « en bas de l'écu ». On utilise parfois aussi le terme de « vair ondé », ce qui est tout aussi gênant, puisque les contours sont quadrangulaires, en ligne brisée, et qu'il n'y a pas de lignes courbes. Mais la silhouette générale donne l'impression, vue de loin, d'un "fascé ondé". Le problème se redouble par le fait qu'un vair ondé orthodoxe existe (appelé aussi parfois « vair à l'antique », voir la section suivante : « Forme des cloches et des pots »). Mais cette variante étant très rare, ce problème d'appellation reste mineur.
  22. ("nébulé" signifie que les ondulations sont accentuées jusqu'à être "outrepassées", les deux couleurs s'interpénétrant profondément)
  23. L.-A. Duhoux d'Argicourt, Alphabet et figures de tous les termes du blason, L. Joly, , p. 113.
  24. Paul Robert et alii, Petit Robert 1, Le Robert, (ISBN 2-85036-066-X), page 1463, entrée "plumeté".
  25. Définitions lexicographiques et étymologiques de « papelonné » (sens A) dans le Trésor de la langue française informatisé, sur le site du Centre national de ressources textuelles et lexicales [consulté le 26 mai 2016].
  26. Définitions lexicographiques et étymologiques de « plumeté » (sens B) dans le Trésor de la langue française informatisé, sur le site du Centre national de ressources textuelles et lexicales [consulté le 26 mai 2016].
  27. Michel Pastoureau (préf. de Jean Hubert), Traité d'héraldique, Paris, Picard, coll. « Grands manuels Picard / Bibliothèque de la Sauvegarde de l'art français », [3e éd.] (1re éd. ), 407-[8], 27 cm (ISBN 2-7084-0520-9 et 978-2-7084-0520-2, OCLC 468331779, BNF 37066493, SUDOC 004366387), p. 106 [aperçu (page consultée le 26 mai 2016)].
  28. Pierre Jaillard (préf. de Michel Pastoureau), Les Blasons : art et langage héraldiques, Paris, Hachette, , 255 p., 21 cm (ISBN 2-01-231453-8 et 978-2-01-231453-5, OCLC 866826669, BNF 43696249, SUDOC 174146973), p. 109 [lire en ligne (page consultée le 26 mai 2016)] et p. 110 [lire en ligne (page consultée le 26 mai 2016)].

Voir aussi

Articles connexes

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