Françoise Gandriau
Françoise Gandriau, (née le à Fontenay-le-Comte et morte le à Lassay-les-Châteaux) est surnommée la « petite Émigrée ».
Naissance | |
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Décès |
(à 18 ans) |
Biographie
Dernière de la famille de quatorze enfants, elle est prise dans le virée de Galerne. Elle est trouvée sur les bords de la route, brisée par la fatigue, les privations et la maladie. Un paysan nommé Grandin la conduit vers un de ses amis : Julien Thuault[1]. Elle est arrêtée le à la suite d'une dénonciation auprès de Jean-Baptiste Volcler. Elle est condamnée à mort le par la Commission militaire révolutionnaire du département de la Mayenne.
Sa tombe et un oratoire[2] sont situés dans un champ[3]. C'est le lieu à partir du XIXe siècle et au début du XXe siècle de pèlerinages régionaux.
Une plaque a été posée en sa mémoire à Lassay dans la rue Cébaudière, par Le souvenir de la chouannerie mayennaise.
Notes et références
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