George Neville-Grenville

George Neville-Grenville ( - ), nommé George Neville jusqu'en 1825 [1] est doyen de Windsor au milieu du XIXe siècle [2].

George Neville-Grenville
Fonction
Vice chancellor
Biographie
Naissance
Décès
(à 64 ans)
Formation
Père
Mère
Catherine Grenville (d)
Conjoint
Charlotte Neville-Grenville (d) (depuis )
Enfants
Ralph Neville-Grenville
Harriet Neville-Grenville (d)
William Frederick Neville (d)

Biographie

Il est un fils cadet du député Richard Griffin (2e baron Braybrooke) et de l'honorable Catherine Grenville, fille du premier ministre George Grenville; son frère aîné est Richard Griffin (3e baron Braybrooke). Il fait ses études au Collège d'Eton et au Trinity College, Cambridge. Il est maître du Magdalene College de Cambridge à partir de 1813 [3] et Doyen de Windsor à partir de 1846 [4], Aumônier honoraire de la Reine, il est également registraire de l'Ordre de la Jarretière.

En 1816, il épouse Charlotte, fille de George Legge (3e comte de Dartmouth). Leur fils Ralph Neville-Grenville, est un député conservateur; l'autre, Frédéric est prêtre, vicaire de Butleigh et prébendaire à la cathédrale de Wells.

Lorsqu'il est nommé doyen de Windsor en 1846, Neville-Grenville propose de démissionner de la maîtrise du Magdalene College, mais est bloqué par le Visiteur, son frère Lord Braybrooke, qui a réservé le poste à son quatrième fils Latimer Neville (6e baron Braybrooke), alors âgé de 19 ans. La santé du Maître est en déclin: en 1850, alors qu'il n'a que soixante ans, il était "une épave". Avec une certaine diplomatie nécessaire pour gérer la transition, celle-ci est réalisée en 1853 et Latimer Neville est devenu maître à l'âge de 26 ans [5].

Neville-Grenville est décédé le .

Références
  1. Burke's Peerage 2003, page 490
  2. Roxburghe Club
  3. ‘Grenville, George Neville (1789–1854)’, Oxford Dictionary of National Biography, Thorne,R. (Oxford, Oxford University Press, Sept 2004) (ISBN 0-19-861411-X)
  4. British History on-line
  5. Martin, « Magdalene College Cambridge in Mid-Victorian Times », (consulté le )

Liens externes
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