Gladys Ngetich
Gladys Chepkirui Ngetich (née vers 1991) est une ingénieure kényane, titulaire d'une bourse Rhodes[1] poursuivant un doctorat en ingénierie et technologie spatiale à l'université d'Oxford au Royaume-Uni[2],[3]. Elle est récipiendaire de la bourse Tanenbaum et du prix d'excellence Babaroa[4],[5].
Naissance |
Amalo Village, comté de Nakuru (Kenya) |
---|---|
Nationalité | Kényane |
Résidence | Oxford, Royaume-Uni |
Domaines | Ingénierie et technologie spatiale |
---|---|
Institutions | Université d'Oxford |
Diplôme |
Baccalauréat universitaire en sciences en génie mécanique PhD en ingénierie et technologie spatiale (en cours) |
Formation |
Université d'agriculture et de technologie Jomo Kenyatta Université d'Oxford |
Distinctions | Bourse Tanenbaum et prix d'excellence Babaroa |
Site | Gladys Chepkirui Ngetich |
Milieu et éducation
Gladys Chepkirui Ngetich est née à Amalo Village, dans le comté de Nakuru vers 1991. Elle fréquente l'école primaire Lelaibei à Olenguruone. Elle étudie à l'école secondaire des Filles de la Miséricorde à Kericho[2]. Elle est admise à l'université d'agriculture et de technologie Jomo Kenyatta et obtient un baccalauréat universitaire en sciences en génie mécanique en 2013[2].
En 2015, elle rejoint l'université d'Oxford grâce à une bourse Rhodes afin de poursuivre un doctorat en ingénierie et technologie spatiale. En 2016, elle reçoit une bourse Tanenbaum, une bourse annuelle attribuée à des universitaires de Rhodes, pour un programme multidisciplinaire en Israël. En 2018, elle est nommée boursière du Skoll World Forum pour son travail au Kenya visant à autonomiser les filles et les femmes[2].
Gladys Chepkirui Ngetich est assistante pour les étudiants en ingénierie à l'Oriel College à Oxford[2],[6].
Réalisations
En 2018, elle est créditée d'un brevet en collaboration avec Rolls-Royce[2]. Ses travaux de recherche ont été publiés dans BBC Science et Oxford Science Blog and Medium[2]. En 2018, elle reçoit le prix ASME IGTI Young Engineer Turbo Expo Participation pour sa contribution à la conférence annuelle de l'American Society of Mechanical Engineers (ASME)[2].
Gladys est la cofondatrice de l'ILUU, une association à but non lucratif basée à Nairobi qui a pour objectif d'habiliter, d'inspirer et de guider les filles et les femmes[2],[7].
En , le quotidien kényan de langue anglaise Business Daily Africa, nomme Gladys Chepkirui Ngetich parmi le Top 40 des femmes de moins de 40 ans au Kenya[8]. En 2019, elle commence à étudier les sciences spatiales durables grâce à une bourse Schmidt Science[9].
Voir aussi
Références
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Gladys Ngetich » (voir la liste des auteurs).
- « Rhodes Scholars », sur Rhodes Scholarship, Rhodes Trust (consulté le )
- Stella Cherono, « Student rejected for 298 KCPE marks shines in the UK », Nairobi, (consulté le )
- (en) « Kenyan Girl With 298 KCPE Marks Shines In UK », Kenyans.co.ke, (lire en ligne, consulté le )
- (en-GB) Helen Briggs, « Why are there so few female engineers? », BBC News, (lire en ligne, consulté le )
- (en-US) Andreas Kamasah, « ‘Lazy’ student rejected by African schools wins UK’s top 10 best students award » (consulté le )
- Oriel College, « Oriel's People: Miss Gladys Chepkirui Ngetich BSc », Oxford, Oriel College, (consulté le )
- Skoll, « Gladys Ngetich: Student, Skoll Centre For Social Entrepreneurship », Skoll Foundation, (consulté le )
- Business Daily Staff, « Top 40 Under 40 Women In Kenya, 2018 » [PDF], Nairobi, (consulté le )
- (en-GB) Helen Briggs, « Five women shaking up the science world », (consulté le )
Liens externes
- Ressource relative à la recherche :
- Portail du Kenya
- Portail des femmes et du féminisme