Guillaume Decourt
Œuvre
- La Termitière, poèmes, (préface de Frédéric Musso), Polder 151, Gros Textes, 2011
- Le Chef-d’œuvre sur la tempe, poèmes, Le Coudrier, 2013
- Un ciel soupape, poèmes, Sac à Mots, 2013
- Diplomatiques, poèmes, Passage d'encres, 2014[2],[3]
- A l'approche, poèmes, Le Coudrier, 2015
- Les Heures grecques, poèmes, Lanskine, 2015[4]
- 9 h 50 à l'Hôtel-Dieu, poèmes, Passage d'encres, 2016
- Le Cargo de Rébétika , poèmes, Lanskine, 2017
- Un gratte-ciel, des gratte-ciel, poèmes, Lanskine, 2019
- À 80 km de Monterey, poèmes, Æthalidès, 2021[5],[6].
Notes et références
- (BNF 16718007)
- Samuel Dudouit, « Guillaume Decourt (Diplomatiques) », Paysages écrits, no 21, (lire en ligne, consulté le )
- Laurent Fourcaut, « Guillaume Decourt, Diplomatiques, Moulin de Quilio, 56310 Guern, Passages d’encres », Place de la Sorbonne, (lire en ligne)
- Christophe Stolowicki, « Guillaume Decourt : Les heures grecques », Cahier critique de poésie, (lire en ligne)
- José Bernard Corteggiani, « “L’univers est un gigantesque bretzel” : la drôle de poésie de Guillaume Decourt », L'Obs, (lire en ligne)
- Guillaume Lecaplain, « Lundi poésie : aujourd’hui, “mes cheveux blanchissent en Hongrie” », Libération, (lire en ligne)
Liens externes
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