Harriet Löwenhjelm

Harriet Augusta Dorotea Löwenhjelm né le 18 février 1887 à Helsingborg, Suède et morte le 24 mai 1918 à Tranas, Suède est une artiste et poètesse suédoise .

Harriet Löwenhjelm
Biographie
Naissance

Paroisse Sainte-Marie de Helsingborg (d)
Décès
(à 31 ans)
Paroisse de Säby, diocèse de Linköping (d)
Nationalité
Formation
École de peinture Carl Wilhelmson (d)
Activités
Famille
Löwenhielm (d)
Père
Gustaf Adolf Löwenhjelm (d)
Parentèle
Marianne Mörner (d) (cousine)
Autres informations
Membre de
Föreningen Svenska Konstnärinnor (d)
Personnes liées
Honorine Hermelin (ami (d)), Elsa Björkman-Goldschmidt (ami (d)), Carl Wilhelmson (mentor (d)), Axel Tallberg (mentor (d)), Harriet Sundström (en) (mentor (d))
Œuvres principales
Beatrice-Aurore (d), Tag mig. Håll mig. Smek mig sakta (d)

Famille

Harriet Löwenhjelm est la fille du colonel Gustaf Adolf Löwenhjelm (1842–1929) et de Margareta, née Dickson (née en 1853). Elle fait partie d'une fratries de cinq frères et sœurs.

Sa cousine Marianne Mörner est professeur de français à l'Université de Lund . Elle a accompagné Harriet lors d'un voyage à Paris ce qui fut une source importante de ses œuvres poétiques.

Éducation

Elle suit des études pour devenir enseignante au sein du Séminaire d'Anna Sandström à Stockholm, où elle fréquente l'auteure Elsa Björkman-Goldschmidt[1][2].

Elle fréquente ensuite de 1909 à 1911, l'école de dessin de Kerstin Cardon (en), l'Académie Valand (en), où elle a pour professeurs Carl Wilhelmson .

Production littéraire

Certains des poèmes les plus connus de Löwenhjelm sont Jakt på fågel ("Chasse aux oiseaux"), Tag mig. Håll mig. Smek mig sakta. ("Prenez-moi. Tenez-moi. Caresse-moi doucement. ») et Béatrice-Aurore, mis en musique par le compositeur suédois Hjalmar Casserman. Ses poèmes étaient à l'origine conçus comme des « illustrations » de ses dessins[1].

Ses poèmes plus tardifs sont emplis d'une conscience de la mort, avec une dimension religieuse approfondie, probablement du à la Tuberculose qu'elle contracte dès ses jeunes années .

Les poèmes de Löwenhjelm ont tous été publiés à titre posthume en 1919. Son amie Elsa Björkman-Goldschmidt est désigné comme légataire de son héritage littéraire et artistique. Björkman permettra la publication des poèmes et des lettres de Löwenhjelm et écrit la première biographie consacrée à Löwenhjelm[1].

Mort

Elle meurt en 1918 au sanatorium de Romanäs à Tranås des suite de la tuberculose[3].

Ouvrages

  • Illustration de sa main de son recueil Dikter med dem tillhörande teckningar
    Dikter med dem tillhörande teckningar (1919)
  • Brev och dikter (1952)
  • Harriet Löwenhjelms bönbok (Manuscrits publiés à titre posthume en 1963)

Bibliographie

  • Elsa Björkman-Goldschmidt: Harriet Löwenhjelm (1947)
  • Elsa Björkman-Goldschmidt (ed.): Brev och dikter, Harriet Löwenhjelm med teckningar av författarinnan (1952)
  • Lars Elleström: Från Lenngren till Lugn. En ironisk historia (ISBN 9113013874) (2005)
  • Boel Hackman: Att skjuta en dront, (ISBN 9789100111076) (2011)

Références

  1. Elsa Björkman-Goldschmidt: Harriet Löwenhjelm, Norstedt & Söners förlag,1947.
  2. James C. Albisetti, Goodman, Joyce et Rogers, Rebecca, Girls' Secondary Education in the Western World : From the 18th to the 20th Century , New York, Palgrave Macmillan, 2010, 1st éd., 223 p. (ISBN 978-0-230-10671-0), p. 142
  3. « Nationalmuseum - Harriet Löwenhjelm », sur emp-web-84.zetcom.ch (consulté le )

Liens externes

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