Hercule à New York
Hercule à New York (Hercules in New York) est un film d'aventure fantastique américain d'Arthur Allan Seidelman, tourné en 1969 et sorti en salles en février 1970. Le film est principalement connu pour avoir permis à Arnold Schwarzenegger d'obtenir son premier rôle au cinéma.
Pour les articles homonymes, voir Hercule (homonymie).
Titre original | Hercules in New York |
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Réalisation | Arthur Allan Seidelman |
Scénario | Aubrey Wisberg (en) |
Acteurs principaux | |
Pays de production | États-Unis |
Genre | Aventure |
Durée | 91 minutes |
Sortie | 1970 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution
Synopsis
Après plusieurs siècles sur le mont Olympe, Hercule décide de passer à la vie citadine... Mais ce n'est pas toujours facile de s'adapter pour un demi-dieu.
Fiche technique
- Titre : Hercule à New York
- Titre original : Hercules in New York
- Réalisation : Arthur Allan Seidelman
- Photographie : Leo Lebowitz
- Musique : John Balamos
- Production : Aubrey Wisberg (en)
- Budget : 300 000 $[1]
- Pays : États-Unis
- Langue : anglais
- Genre : Aventure, fantastique
- Durée : 91 minutes
- Date de sortie :
- États-Unis :
- France : 1984 (VHS)[2]
Distribution
- Arnold Schwarzenegger (V.F. : Philippe Bellay) : Hercule
- Arnold Stang : Bretzie
- Merwin Goldsmith : Maxie
- Rudy Bond : le capitaine du bateau
- Deborah Loomis : Helen Camden
- Taina Elg (V.F. : Marie-Martine) : Nemesis
- Michael Lipton (V.F. : Philippe Mareuil) : Pluto
- James Karen (V.F. : Serge Bourrier) : le professeur Camden
- Ernest Graves (en) (V.F. : Yves Barsacq) : Zeus
- Tony Carroll : Monstro le magifique
- Source et légende : Version Française (V.F.) sur RS Doublage[3]
Autour du film
Dans un article retraçant la carrière d'Arnold Schwarzenegger et paru dans le Mad Movies 216 de , Marc Toullec évoquait Hercule à New York en ces termes[4] :
« Schwarzenegger ne pouvait inaugurer sa carrière de pire manière qu'avec Hercule à New York. Schwarzenegger ne s'enrichit guère en négociant 1 000 dollars par semaine de tournage. Le comédien novice obtient finalement 12 000 billets verts. « A peine étais-je arrivé aux États-Unis que je tournais le film » mentionne-t-il dans les rares interviews où il revient sur ce baptême du feu, qu'il doit à son agent de l'époque, Joe Weider. « En quête d'un Monsieur Muscle, les producteurs de Hercule m'ont demandé si Arnold savait jouer » se rappelle ce dernier. « J'ai répondu : Bien sûr ! C'est même un acteur shakespearien au Royaume-Uni ! Ils sont tombés dans le panneau ». « Je ne parlais pas anglais » avoue le novice. « Je ne comprenais pas la moitié de ce que je disais » ajoute-t-il. Son accent germanique est si prononcé que le producteur et le réalisateur sont dans l'obligation de le doubler. Sur le DVD, il est cependant possible de choisir entre le doublage, et la voix originale de Schwarzenegger. Son nom posant également problème, ils le remplacent par celui d'Arnold Strong. Celui-ci devient donc la vedette d'un Hercules Goes Bananas, farce confidentielle qui refait opportunément surface quelques années plus tard sous le titre plus sérieux de Hercules in New York. Arnold Schwarzenegger tentera d'acheter le négatif. En vain. »
.
Notes et références
- Ryan, Mike, « Remembering Arnold Schwarzenegger's Film Debut As Hercules », Huffington Post, (consulté le )
- http://www.vhsdb.org/fiche.php?vhs=5h06r2gf
- http://www.rsdoublage.com/film-1616-Hercules-%C3%A0-New-York.html
- « Hercule à New York », sur nanarland.com (consulté le ).
Liens externes
- Ressources relatives à l'audiovisuel :
- Allociné
- Ciné-Ressources
- (en) AllMovie
- (en) American Film Institute
- (en) Internet Movie Database
- (en) Movie Review Query Engine
- (de) OFDb
- (en) Rotten Tomatoes
- (mul) The Movie Database
- Chronique du film sur nanarland.com
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