Index on Censorship
Index on Censorship (la censure à l'index) est une des organisations majeures de défense de la liberté d'expression dans le monde. Elle a été fondée en Grande-Bretagne en 1972 sur la base d'un magazine destiné à défendre la liberté d'expression des écrivains en Union soviétique et dans les pays du Pacte de Varsovie. Elle a, au fil des années, diversifié ses cibles et défend aujourd'hui la liberté d'expression partout où elle est entravée ou menacée[1].
Fondation |
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Type | |
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Siège | |
Pays |
Effectif |
8 (), 14 (), 13 (), 12 () |
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Personnes clés |
David Aaronovitch (en) |
Chiffre d'affaires |
898 125 livre sterling (), 1 028 029 livre sterling (), 899 398 livre sterling (), 817 486 euros (), 726 217 livre sterling (), 811 132 livre sterling () |
Récompenses | |
Site web |
Le magazine
Le magazine Index on Censorship fut pour la première fois publié en 1972. Il soutient la liberté d'expression, publiant différents écrivains du monde entier, exposant des histoires supprimées, lançant des débats, mettant à disposition un registre international sur la censure. Les éditions trimestrielles du magazine se focalisent en général sur un pays ou une région ou un thème récurrent dans le débat sur la liberté d'expression. Index on Censorship publie également des petits travaux de fiction et des poésies d'écrivains récents. Index Index, un tour d'horizon des abus de la liberté d'expression mondiale, fut publié dans la magazine jusqu'à , moment ou il fut transféré sur le site internet.
Prix
Index on Censorship donne des prix annuels pour attirer l'attention aux journalistes et aux autres personnages ou groupes qui contribuent de façon significative à la liberté d'expression. En 2020, il donne le prix pour le journalisme au journal en-ligne polonais OKO.press, pour son œuvre de journalisme d'enquête libre qui montre la voie aux autres médias, « crucial dans un environnement glissant plus et plus vers l'autoritarisme et vers la censure »[2].
En 2021, un prix a été accordé à l'artiste Tatyana Zelenskaya, l'activiste égyptien Abdelrahman « Moka » Tarek, la journaliste Samira Sabou et le philosophe Arif Ahmed[3].
Références
- Index on Censorship, Tlaxcala (en Copyleft)
- (en) « Journalism 2020 – OKO Press is the 2020 Index on Censorship Freedom of Expression Awards Journalism Fellow » [archive du ], sur Index on Censorship, (consulté le )
- (en-GB) Index on Censorship, « Index on Censorship Freedom of Expression Awards », sur Index on Censorship (consulté le )
Liens externes
- (en) Site officiel
- Ressource relative aux organisations :
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