Irakliá
Irakliá (grec moderne : Ηρακλειά) ou Héraclée (grec ancien : Ἡράκλεια) est une île des Cyclades faisant partie de l'archipel des petites Cyclades au Sud-Est de Naxos.
Irakliá Ηρακλειά (el) | ||
Vue satellite d'Iraklia | ||
Géographie | ||
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Pays | Grèce | |
Archipel | Cyclades | |
Localisation | Mer Égée (mer Méditerranée) | |
Coordonnées | 36° 50′ N, 25° 27′ E | |
Superficie | 17,795 km2 | |
Géologie | Île continentale | |
Administration | ||
Périphérie | Égée-Méridionale | |
District régional | Naxos | |
Dème | Naxos et Petites Cyclades | |
Démographie | ||
Population | 151 hab. (2001) | |
Densité | 8,49 hab./km2 | |
Autres informations | ||
Découverte | Préhistoire | |
Fuseau horaire | UTC+02:00 | |
Site officiel | www.iraklia.gr | |
Géolocalisation sur la carte : Grèce
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Île en Grèce | ||
L'île compte 120 habitants[1].
Iraklia fait partie des îles des Cyclades qui ne sont pas autosuffisantes en eau. Elle reçoit de l'eau tous les ans (et surtout l'été à cause de la saison touristique) depuis le port du Laurion en Attique, pour un coût moyen de 8,30 € le mètre cube[2].
Histoire
L'île d'Iraklia conserve des vestiges de villages et de tombeaux antiques, ainsi que des ruines des anciens temples de la déesse Tychè et de Zeus Lophitès, qui attestent qu'elle avait atteint dans l'Antiquité un niveau de développement relativement important dans le monde cycladique. À une époque plus récente, ses nombreuses grottes servirent de refuge à des pirates et contrebandiers, aux activités desquelles plusieurs de ses criques doivent leur nom. Sous la domination ottomane, l'île constitua un repaire de corsaires.
Notes et références
- Sophie et Konstantinos Katsouros, Naxos & petites îles des Cyclades, Toubi's, Athènes, 2001, p. 122.
- e-Kathemerini, 4 août 2008.
Articles connexes
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