Jacques Cambolive
Jacques Cambolive, né le à Carcassonne (Aude), et décédé le à Bram (Aude)[1], est un homme politique français.
Jacques Cambolive | |
Jacques Cambolive avec à sa gauche Raymond Courrière et Paul Durand (1981). | |
Fonctions | |
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Député français | |
– (4 ans, 9 mois et 30 jours) |
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Circonscription | 3e circonscription de l'Aude |
Législature | IXe (Cinquième République) |
Groupe politique | Parti Socialiste |
Prédécesseur | Proportionnelle par département |
Successeur | Daniel Arata |
– (2 ans, 1 mois et 28 jours) |
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Circonscription | Aude |
Législature | VIIIe (Cinquième République) |
– (13 ans et 21 jours) |
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Circonscription | 3e circonscription de l'Aude |
Législature | VIe et VIIe (Cinquième République) |
Prédécesseur | Robert Capdeville |
Successeur | Proportionnelle par département |
Maire de Bram | |
– | |
Prédécesseur | Jacques Le Franc de Pompignan |
Successeur | André Viola |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Carcassonne (Aude) |
Date de décès | |
Lieu de décès | Bram (Aude) |
Nationalité | Française |
Parti politique | PS |
Profession | Professeur de collège |
Biographie
Enseignant, professeur de mathématiques, Jacques Cambolive, a durablement marqué sa ville, dans l'exercice de ses fonctions de maire et de député, en réalisant de nombreux projets. La construction du tout-à-l'égout et de la première station d'épuration, de la rocade, de la salle polyvalente, du foyer-restaurant, de la caserne des pompiers et du centre social, l'agrandissement du gymnase, des écoles, la rénovation de l'avenue Charles de Gaulle et des Halles sont a mettre à son actif. Sans oubliez l'importante réalisation de l'échangeur 22 de l'A61, inauguré en 1993, qui permit d'ouvrir son territoire sur le Cabardès, la Malepère, la Piège, et l'Ariège et de créer une zone d'activité à proximité immédiate[2],[3].
Détail des fonctions et des mandats
Mandats nationaux
- Député de la 3e circonscription de l'Aude (12 mars 1978 - 22 mai 1981)
- Député de la 3e circonscription de l'Aude (14 juin 1981 - 1er avril 1986)
- Député de l'Aude (16 mars 1986 - 14 mai 1988)
- Député de la 3e circonscription de l'Aude (5 juin 1988 - 1er avril 1993)
Mandats locaux
- Conseiller général du canton de Fanjeaux (1970-2001)
- Maire de Bram (1971-2003)[4].
- Président de la communauté de communes de la Piège et du Lauragais (2001-2008)
- Président du syndicat Sud-Oriental des eaux de la Montagne Noire (1989-2011)[5]
Décoration et postérité
- Officier de la Légion d'honneur (2015)[6]
- Chevalier de la Légion d'honneur (2000)
- La salle où se déroule le conseil municipal porte son nom[7].
- Le pôle « petite enfance » intercommunal où se trouve la crèche porte son nom.
- Maire honoraire (arrêté préfectoral n° 2003-3587 de 2004)
Notes et références
- A.C, « Bram. La ville pleure Jacques Cambolive », sur ladepeche.fr, (consulté le )
- Gladys Kichkoff, « Bram. L'hommage et l'ultime adieu à Jacques Cambolive », sur ladepeche.fr, (consulté le )
- L.R, « L'ancien maire de Bram et député de l'Aude, Jacques Cambolive décède à 75 ans », sur midilibre.com, (consulté le )
- André Cathala, « Il y a 50 ans, Jacques Cambolive était élu maire de Bram, il a été réélu ensuite pendant 5 mandats », sur ladepeche.fr, (consulté le )
- « Un nouveau président pour le syndicat des eaux de la Montagne Noire », sur ladepeche.fr, (consulté le )
- « Bram. Jacques Cambolive à l'honneur », sur ladepeche.fr, (consulté le )
- « Jacques Cambolive : une salle municipale à son nom ! », sur https://www.villedebram.fr/ (consulté le )
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
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