Jacques Ferron
Jacques Ferron (Louiseville - - Saint-Lambert - ) est un écrivain, dramaturge, médecin, journaliste et homme politique canadien (québécois). Au Québec, il est surtout connu pour son œuvre écrite, qui mêle politique, médecine et humour. Il a fondé et dirigé le Parti Rhinocéros.
Pour les articles homonymes, voir Ferron.
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(à 64 ans) Saint-Lambert |
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Journaliste, personnel médical, conteur, nouvelliste, homme politique, dramaturge, médecin écrivain, romancier |
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Biographie
Jacques Ferron est né à Louiseville, dans le comte de Maskinongé qui deviendra un des hauts lieux de sa géographie intime et littéraire. Après la mort de sa mère, il vit surtout en compagnie de femmes, auprès des Filles de Jésus du Jardin de l'Enfance de Trois-Rivières. Il fait son cours classique au Collège Jean-de-Brébeuf où il apprécie l'enseignement du père Robert Bernier. Il se lie à Pierre Baillargeon, rencontre Pierre Laporte et Pierre Elliott Trudeau. À deux occasions, il sera expulsé de ce collège, dirigé par les Jésuites. « Moraliste précoce et précieux, timide, grand seigneur, aisément narquois », Ferron écrit déjà « admirablement bien », se rappelle Pierre Vadeboncœur[1].
À l'Université Laval, il devient médecin en 1945 : « Ce sera le médecin qui entretiendra l'écrivain. Je serai mon propre mécène[2]. » Enrôlé dans les Forces armées canadiennes, il reçoit sa formation militaire dans plusieurs bases du Canada. Finalement, il se retrouve au camp de Grande-Ligne, « partagé entre les prisonniers allemands et les Olds Vets qui les gardaient, neutre comme un bon Québécois[3]. »
À sa démobilisation, plutôt que d'exercer une carrière aisée à la ville, il s'installe pour deux ans à Rivière-Madeleine en Gaspésie. En 1949, il s'établit près de Montréal, à Ville Jacques-Cartier (municipalité annexée à Longueuil depuis), où il est consterné par la situation linguistique et par la détérioration du français qui se décompose au contact de l'anglais.
À la Cité de Jacques-Cartier, la misère est sordide, l'assurance-médicale publique (RAMQ) n'existe pas encore, et le docteur Ferron soigne gratuitement les pauvres.
Bien que sa pratique se déroulera par la suite principalement en banlieue de Montréal, la Gaspésie occupe une place de choix au sein de son œuvre. Jacques Ferron a pratiqué tous les genres qui pouvaient servir son propos et son plaisir : théâtre, récits, historiettes, romans, soties, pamphlets, épîtres, etc.
Dans les années qui suivent, le militant pacifiste sympathise avec les idées socialistes, rencontre les opposants au régime duplessiste et les futures têtes d'affiche du mouvement indépendantiste. Par l'intermédiaire de sa sœur Marcelle Ferron, il connaîtra aussi le groupe des Automatistes de Paul-Émile Borduas.
Ses historiettes et ses lettres aux journaux se multiplient, mêlant politique, histoire et littérature. Entre les petites gens qui visitent le médecin et la vie publique de l'écrivain militant, une œuvre prend forme lentement.
Les contes qui ont fait sa réputation sont écrits durant la période de réveil, de transition qui couvrent la fin des années 1950 (Contes du pays incertain), le milieu des années 1960 (contes anglais) jusqu'au début des années 1970 (contes inédits), et montrent bien que Ferron fut « le dernier d'une tradition orale, et le premier de la transcription écrite[4]. » L'un de ses premiers contes, L'anneau, est refusé par l'imprimeur du Journal Le Jour en 1944[5].
Écriture prolifique, grandes œuvres, genres multiples, critiques favorables, prix littéraires, les années 1960 reconnaissent et consacrent l'écrivain. Mais entre l'auteur du Ciel de Québec et le futur négociateur et démystificateur de la crise d'Octobre québécoise, entre l'écrivain et l'homme public, fondateur et chef du Parti Rhinocéros, il y a une sorte de malentendu : « Ah ! vous nous faites rire, fait-il dire à ses lecteurs, et parce qu'ils riaient, j'ai eu droit à un laissez-passer d'humoriste. Je m'en suis beaucoup servi pour aller à ma guise[6]. »
Risque et ambiguïté de l'engagement, bien sûr, mais aussi de l'ironie ferronienne avec laquelle il imagina son « pays incertain ». Paradoxe d'autant plus significatif que cette reconnaissance quasi unanime survient au moment où, après deux contrats professionnels dans des hôpitaux psychiatriques et une crise personnelle assez grave, il comprit « que la politique était secondaire et que primait le rapport du moi et des autres. » (ibid.)
En 1968, sa pièce Les Grands Soleils est mise en scène au Théâtre du Nouveau Monde. Cette représentation est importante car elle suscite, selon Michelle Lavoie, un regain d’intérêt pour Ferron. Plusieurs de ses œuvres se voient alors rééditées[7].
À partir de 1973, Ferron se consacre à un grand livre sur la folie, le Pas de Gamelin, jamais complété, d'où sortiront ses derniers livres et des « contes d'adieu ». On y retrouve la maîtrise du faiseur de contes et l'incertitude emblématique du mécréant: « Aurais-je vécu dans l'obsession d'un pays perdu? Alors, Seigneur, je te le dis: que le Diable m'emporte[8]. »
Il est le frère de l'écrivaine Madeleine Ferron (1922-2010), du médecin et humaniste Paul Ferron (1926-) et de la peintre Marcelle Ferron (1924-2001)[9],[10]. Il est aussi le neveu du député J.-Émile Ferron.
Ferron est mort d'une crise cardiaque[11] en 1985 à son domicile de Saint-Lambert, Québec, alors âgé de 64 ans.
« Mythifié et légendaire de son vivant, Jacques Ferron a fouillé avec un instinct sûr et retors les mythologies connues et inconnues des provinces du Québec, ces lieux physiques comme la Gaspésie tout autant que ces lieux psychiques que sont les névroses des gens aux apparences ordinaires [...] [Il] écrits pour révéler les Québécois à eux-mêmes, en cautionnant les blessures et les folies de leur imaginaire, qu'il a cartographié avec une finesse parfois cynique, souvent voltairienne[12]. » Victor Lévy-Beaulieu écrira : « Jacques Ferron est le seul romancier qui ait tenté, tout au long d'une œuvre maintenant essentielle, de nous donner une mythologie. Son écriture d'ailleurs hésite toujours entre le mythe et le réel, entre l'imaginaire, le rêve québécois et le quotidien[12]. »
Le fonds d'archives de Jacques Ferron est conservé au centre d'archives de Montréal de Bibliothèque et Archives nationales du Québec[13].
Prix et honneurs
- 1962 : Prix littéraires du Gouverneur général 1962 (pour Contes du pays incertain)[14]
- 1972 : Prix France-Québec (1972), (pour Les Roses sauvages, petit roman suivi d'une lettre d'amour soigneusement présentée)[14]
- 1973 : Prix Duvernay (1972) (remis le )[14]
- 1977 : Prix Athanase-David (1977)[12]
Œuvre
Romans
- La Barbe de François Hertel, Montréal, Éditions d'Orphée, 1951, 40 p.;
- réédition, Montréal, VLB éditeur, 1981, 54 p. (ISBN 2890050505)
- Cotnoir, Montréal, Éditions d'Orphée, 1962, 99 p. ;
- La Nuit, Montréal, Éditions Parti pris, 1965, 134 p.
- Papa Boss, Montréal, Éditions Parti pris, 1966, 142 p. ;
- réédition dans une version refondue et suivi de La Créance, Montréal, L'Hexagone, Typo no 52, 1990, 147 p. (ISBN 2892950538)
- La Charrette, Montréal, Éditions HMH, collection « L'Arbre », 1968, 207 p. ;
- réédition, Montréal, Bibliothèque québécoise, 1994, 224 p. (ISBN 2894060947)
- Le Ciel de Québec, Montréal, Éditions du Jour, collection « Les Romancier du Jour », 1969, 403 p. ;
- Le Salut de l'Irlande, Montréal, Éditions du Jour, coll. « Les Romancier du Jour », 1970, 221, (ISBN 077600333X) ;
- réédition, Outremont, Lanctôt, Petite collection Lanctôt no 6, 1997, 148 p. (ISBN 2894850298)
- L'Amélanchier, Montréal, Éditions du Jour, coll. « Les Romancier du Jour », 1970, 163 p. ;
- Les Roses sauvages, petit roman suivi d'une lettre d'amour soigneusement présentée, Montréal, Éditions du Jour, collection « Les Romancier du Jour », 1971, 177 p. (ISBN 0776006347) ;
- La Chaise du maréchal ferrant, Montréal, Éditions du Jour, coll. « Les Romancier du Jour », 1972, 223 p. (ISBN 0776004115) ;
- réédition, Montréal, Bibliothèque québécoise, 2010, 171 p. (ISBN 2894063121)
- Le Saint-Élias, Montréal, Éditions du Jour, coll. « Les Romancier du Jour », 1972, 186 p. ;
- réédition, Montréal, L'Hexagone, Typo no 76, 1993, 230 p. (ISBN 2892950856)
- réédition, Montréal, Bibliothèque québécoise, 2018, 188 p. (ISBN 2894064136)
- (de) extrait: Das Regiment von Riedesel, en Anders schreibendes Amerika. Literatur aus Québec. dir. Lothar Baier, Pierre Filion. Das Wunderhorn, Heidelberg 2000, pp 56 – 59 et Nach den Bastonnais kamen die Deutschen, ibid. pp 59 – 62
- Les Confitures de coings (nouvelle version corrigée La Nuit, précédée d'une nouvelle version refondue de Papa Boss), Montréal, Éditions Parti pris, 1972, 326 p. (ISBN 0885120469) ;
- réédition seule de Les Confitures de coings, Montréal, L'Hexagone, Typo no 49, 1990, 190 p. (ISBN 289295052X)
- Rosaire, précédé de L'exécution de Maski, Montréal, VLB éditeur, 1981, 197 p. ;
- réédition, Outremont, Lanctôt, Petite coll. Lanctôt no 23, 2003, 255 p. (ISBN 2894851502)
Recueils de contes
- Contes du pays incertain, Montréal, Éditions d'Orphée, 1962, 200 p.
- Contes anglais et autres, Montréal, Éditions d'Orphée, 1964, 153 p.
- Contes, édition intégrale des deux volumes de contes ci-dessus, Montréal, HMH, collection « L'Arbre », 1968, 210 p. (ISBN 077580066X)
- Contes, édition précédente enrichie de contes inédits, Montréal, HMH, « L'Arbre », 1985, 236 p. (ISBN 2890457834) ;
Pièces de théâtre
- Les Rats, 1948 ;
- réédition dans Jacques Ferron - autour des commencements, édition de Brigitte Faivre-Duboz, Outremont, Lanctôt, 2000, 357 p. (ISBN 289485112X)
- L'Ogre, Montréal, Les Cahiers de la fille indienne, 1949, 83 p.
- La Mort de monsieur Borduas, 1949
- Le Dodu ou le prix du bonheur, Montréal, Éditions d'Orphée, 1956, 91 p.
- Tante Élise ou le prix de l'amour, Montréal, Éditions d'Orphée, 1956, 102 p.
- Le Cheval de Don Juan, Ottawa, Éditions d'Orphée, 1957, 223 p.
- Les Grands Soleils, Montréal, Éditions d'Orphée, 1958, 180 p.
- Cazou, Montréal, Éditions d'Orphée, 1963, 86 p.
- La Tête du roi, Montréal, 1963, 93 p.
- Le Don Juan chrétien, dans Théâtre 2, Montréal, Librairie Déom, 1975.
- Le Permis de dramaturge, dans Théâtre 2, Montréal, Librairie Déom, 1975.
- L'Impromptu des deux chiens, dans Théâtre 2, Montréal, Librairie Déom, 1975.
- Théâtre 1, Montréal, Librairie Déom, 1968, 229 p.
- Théâtre 2, Montréal, Librairie Déom, 1975, 241 p.
- Théâtre I, Montréal, L'Hexagone, Typo no 47, 1990 (Le second tome n'est jamais paru)
Correspondances
- Le Désarroi, correspondance entre Julien Bigras et Jacques Ferron, Montréal, VLB éditeur, 1988, 176 p. (ISBN 2890053288)
- Une amitié particulière, correspondance entre John Grube et Jacques Ferron, Montréal, Boréal, 1990, 256 p. (ISBN 2890523446)
- Laisse courir ta plume..., correspondance entre Jacques Ferron et ses sœurs, Outrement, Lanctôt, 1998, 127 p. (ISBN 2894850867)
- Vous blaguez sûrement... - correspondance 1976-1984, entre Jacques Ferron et François Hébert, Outremont, Lanctôt, 2000, 154 p. (ISBN 2894851510)
- Tenir boutique - correspondance 1941-1965, Outremont, Lanctôt, 2004, 146 p. (ISBN 2894852908)
- Nous ferons nos comptes plus tard - correspondance 1962-1983, Outremont, Lanctôt, 2004, 126 p. (ISBN 2894853041)
Autres publications
- Historiettes, Montréal, Éditions du Jour, collection « Les Romancier du Jour », 1969, 182 p.
- Du fond de mon arrière-cuisine, Montréal, Éditions du Jour, 1973, 290 p.
- Escarmouches, Montréal, Leméac, 1975, ;
- réédition, Montréal, Bibliothèque québécoise, 1998, 351 p. (ISBN 2894061307)
- Gaspé-Mattempa, Trois-Rivières, Éditions du Bien public, 1980, 52 p.
- Lettres aux journaux, Montréal, Éditions VLB, 1985, 586 p. (ISBN 2890052222)
- La Conférence inachevée, suivi de Le Pas de Gamelin et autres récits, Montréal, VLB éditeur, 1987, 240 p. (ISBN 2890052508) ;
- réédition, Outremont, Lanctôt, Petite collection Lanctôt no 8, 1998, 302 p. (ISBN 2894850662)
- Le contentieux de l'Acadie, Montréal, VLB Éditeur, 1991, 271p.
- Par la porte d'en arrière, entretiens entre Jacques Ferron et Pierre L'Hérault, Outremont, Lanctôt, 1997, 318 p. (ISBN 2894850492)
- Papiers intimes - fragments d'un roman familial, Outremont, Lanctôt, 1997, 444 p. (ISBN 2894850506)
- Textes épars, Outremont, Lanctôt, 2000, 226 p. (ISBN 2894851294)
- Jacques Ferron, éminence de la grande corne du Parti Rhinocéros, textes politiques des années 1964, 1972 et 1974, Outremont, Lanctôt, 2003, 188 p. (ISBN 2894852290)
- Vautour haché, suivi de la, Petite histoire du Mont-Providence pour le profit de la Révérende Renée Dansereau, sa nouvelle supérieure, Notre-Dame-des-Neiges, Éditions Trois-Pistoles, 2006, 71 p. (ISBN 2895831157)
- Chroniques littéraires, 1961-1981, Outremont, Lanctôt, 2006, 642 p. (ISBN 2894853440)
- La Charrette des mots, Notre-Dame-des-Neiges, Éditions Trois-Pistoles, 2006, 126 p. (ISBN 2895831122)
Voir aussi
Bibliographie complétaire
- [15]Reproduction autorisée par l'auteur
- Betty Bednarski, Lire une littérature, Québec : Université Laval, 1986, 135 p. (thèse de doctorat en études littéraires)
- Yves Taschereau, Le médecin et la médecine dans l'œuvre de Jacques Ferron. Mémoire de maîtrise, Université de Montréal, 1974.
- Yves Taschereau, Le Portuna: la médecine dans l'œuvre de Jacques Ferron. Éditions L'Aurore, 1975.
- Yves Taschereau, Jacques Ferron, qui êtes-vous? (moyen métrage), 1976. « Collection cinémathèque »
- Michel Biron, « Jacques Ferron : la fête de la littérature » in L’absence du maître : Saint-Denys Garneau, Ferron, Ducharme, Montréal, Les Presses de l’Université de Montréal, 2000, p. 99-182.
- Pierre Cantin, Jacques Ferron polygraphe. Essai de bibliographie suivi d'une chronologie, Bellarmin, 1984, 548 p.
- Isabelle Lemire, L’évolution de la figure du lecteur dans Le ciel de Québec de Jacques Ferron. Étude sociopoétique, mémoire de maîtrise en études littéraires, Québec, Université Laval, 1999, 188 f.
- François Ouellet, Grandeurs et misères de l'écrivain national. Victor-Lévy Beaulieu et Jacques Ferron, Montréal, Nota Bene, 2014.
- François Ouellet, « Jacques Ferron et son œuvre sans commune mesure », Le Devoir, 20 janvier 2021, section « Idées ».
- Maximilien Laroche, Nouvelles notes sur « le Petit Chaperon rouge » de Jacques Ferron, Voix et images du pays, vol. 6, no 1, 1973[16].
- Michelle Lavoie, « Jacques Ferron ou le prestige du verbe », Études françaises, vol. 5, n° 2, 1969, p. 185-193 (lire en ligne).
- Collectif, « Jacques Ferron », Études françaises, numéro préparé par Robert Melançon et Jean-Marcel Paquette, vol. 12, nos 3-4, 1976, 203 p. (http://revue-etudesfrancaises.umontreal.ca/volume-12-numero-3-4/).
- Jean Marcel, Jacques Ferron malgré lui. Québec, PUL, 2013. Pour une recension de cet ouvrage: Andrée Ferretti, « L’aventure ferronnienne. Jean Marcel, Jacques Ferron malgré lui, Québec, PUL, 2013 », Nuit blanche, magazine littéraire, n° 133, hiver 2013–2014, p. 33.
Articles connexes
Liens externes
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- WorldCat
- Manuscrits d'œuvres de Jacques Ferron, collection numérique, Bibliothèque et Archives nationales du Québec
- Jacques Ferron dans les archives de Radio-Canada.ca
- Jacques Ferron, écrivain, avec les "Cahiers Jacques Ferron", jusqu'au N° 12, 2004
- N° 8-9: Colloque International Jacques Ferron à Montréal 2002, Le palimpseste infini, dir. Brigitte Faivre-Duboz, Patrick Poirier
- Maison Jacques-Ferron, centre d'aide en santé mentale à Longueuil
- Bibliographie, chez érudit, 1976, par Diane Potvin
- Études littéraires: Jacques Ferron ou la présence réelle. Remarques sur la foi d'un mécréant/"mécréant" par Reinhart Hosch, érudit, 23, 3, hiver 1991
Notes et références
- Pierre Vadeboncœur, « Dix lettres de Jacques Ferron » in Études littéraires, p. 105
- Gaspé-Mattempa, p 43
- ibid., p. 10
- Le Mythe d'Antée in Escarmouches, vol. 2, p. 34
- Hébert, Pierre, 1949-, Landry, Kenneth, 1945- et Lever, Yves, 1942-, Dictionnaire de la censure au Québec : littérature et cinéma, Fides, (ISBN 2-7621-2636-3 et 978-2-7621-2636-5, OCLC 63468049, lire en ligne), p. 36
- (Faiseur de contes, ibid., p. 29)
- Michelle Lavoie, « Jacques Ferron ou le prestige du verbe », Études françaises, (lire en ligne)
- Jacques Ferron, « Les Deux Lys » in Conférence inachevée, p. 222
- Le Devoir. Décès du Dr Paul Ferron. Le 22 août 2007.
- Gauvreau, Luc. Décès du médecin Paul Ferron (1926-2007). Le 20 août 2007.
- http://archives.radio-canada.ca/arts_culture/litterature/dossiers/1636-11280/
- « Jacques Ferron », sur Prix du Québec, (consulté le )
- Fonds Jacques Ferron (MSS424) - Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ).
- « Ferron, Jacques | l'Encyclopédie Canadienne », sur www.thecanadianencyclopedia.ca (consulté le )
- Maximilien Laroche, « Nouvelles notes sur « le Petit Chaperon rouge » de Jacques Ferron », Voix et images du pays, vol. 6, no 1, 1973, p. 103–110 (lire en ligne)
- « Nouvelles notes sur « le Petit Chaperon rouge » de Jacques Ferron », sur https://www.erudit.org, (consulté le )
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