Jamais content
Jamais content est le troisième album studio d'Alain Souchon sorti en [2]. Ils contient des grands classiques du répertoire de Souchon : Jamais content, Allô Maman Bobo, Y'a d'la rumba dans l'air, Poulaillers' Song, J'ai perdu tout c'que j'aimais et Dix-huit ans que j't'ai à l'œil.
Sortie | |
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Enregistré |
1977 Studio Davout, Paris et Studio Casanova |
Durée | 33 min 58 s |
Genre | Chanson française |
Auteur | Alain Souchon |
Label | RCA |
Critique |
Forces Parallèles[1] |
Albums de Alain Souchon
Singles
- Y'a de la rumba dans l'air
Sortie : juillet 1977 - Jamais content
Sortie : janvier 1978 - Allô maman bobo
Sortie : avril 1978 - 18 ans que j't'ai à l’œil
Sortie : novembre 1978
Développement
Enregistré principalement au Studio Davout, sauf la chanson-titre, enregistrée au Studio Casanova[2] « le tout dans une ambiance jeune et gaie » comme le mentionne le verso de la pochette[3], Jamais Content impose Souchon comme l'un des meilleurs auteur-interprètes[4] et le contenu est « comme un bel équilibre entre la diversité des paroles de Souchon et un ensemble de chansons qui se tient » et « l'album se démarque par des arrangements bien dosés »[1]. La plupart des titres qui composent ce troisième opus sont composés par Laurent Voulzy à part La P'tite Bill est malade et Le P'tit Chanteur, composés par Souchon seul.
Souchon dénonce avec humour et cynisme le racisme avec Poulailler's Song, le système qu'il réfute avec Jamais Content[4], mais se fait mélancolique et nostalgique avec des titres tels que 18 ans que j't'ai à l'œil, qui fait référence à la mort de son père dans un accident de voiture[1], Allô maman bobo et J'ai perdu tout c'que j'aimais. Il contient également Y a d'la rumba dans l'air, qui sonne plutôt bossa-nova et décalé par rapport aux succès disco et punk de l'époque[1].
Sortie et accueil
Sorti en , Jamais content reste classé durant treize semaines dans le top 10 hebdomadaire et atteint la première place[5]. Quatre singles sont extraits : Y'a de la rumba dans l'air, en juillet 1977, quelques mois avant la publication de l'album, Jamais content en janvier 1978, Allo Maman bobo trois mois plus tard et 18 ans que j't'ai à l’œil en fin d'année 1978.
L'album rencontre un succès commercial en France, où il est certifié disque d'or pour plus de 100 000 exemplaires vendus[6].
Titres
Toutes les paroles sont écrites par Alain Souchon.
Personnel
Les musiciens
- Laurent Voulzy : arrangements et direction d'orchestre
Réalisation
- Claude Ermelin : mixage et enregistrement
- Daniel Polizuk : mixage et enregistrement
- Christian Orsini : mastering pour Translab
- Bob Socquet : direction artistique
Notes
- Marco Stivell, « Alain SOUCHON : JAMAIS CONTENT », sur fp.nightfall.fr, (consulté le )
- (en) « Alain Souchon - Jamais Content », sur discogs.com (consulté le )
- « Verso de l'album Jamais Content », sur encyclopedisque.fr (consulté le )
- ClashDoherty, « "Jamais Content" - Alain Souchon », sur clashdohertyrock.canalblog.com, (consulté le )
- « Le Détail des Albums de chaque Artiste (lettre S) », sur infodisc.fr, Dominic DURAND / InfoDisc (consulté le )
- « Les Certifications des albums depuis 1973 », sur infodisc.fr, Dominic DURAND / InfoDisc (consulté le )
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