Je préfère mourir
Je préfère mourir — She Died a Lady, dans l'édition originale en anglais — est un roman policier américain de John Dickson Carr publié en 1943, sous le pseudonyme de Carter Dickson. C'est le 14e roman de la série mettant en scène le personnage de Sir Henry Merrivale.
Je préfère mourir | ||||||||
Auteur | Carter Dickson, pseudonyme de John Dickson Carr | |||||||
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Pays | États-Unis | |||||||
Genre | Roman policier | |||||||
Version originale | ||||||||
Langue | Anglais | |||||||
Titre | She Died a Lady | |||||||
Éditeur | Morrow | |||||||
Lieu de parution | New York | |||||||
Date de parution | 1943 | |||||||
Version française | ||||||||
Traducteur | Gabrielle Ferraris | |||||||
Éditeur | Ditis | |||||||
Collection | Détective-club - Suisse no 19 | |||||||
Lieu de parution | Genève | |||||||
Date de parution | 1946 | |||||||
Série | Sir Henry Merrivale | |||||||
Chronologie | ||||||||
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Résumé
Alcoolique désabusé, le professeur retraité Alec Wainwright est l'époux malheureux d'une femme beaucoup jeune qui ne lui cache plus ses infidélités. Un matin du printemps de 1940, on découvre sur le littoral les corps rejetés par la mer et chacun abattu d'une balle dans la tête de Rita Wainwright et de l'acteur Barry Sullivan, son dernier amant en date. Sur la preuve d'une lettre laissée par l'épouse repentante à son époux, la police penche pour la thèse d'un double suicide. Or, le vieux docteur Croxley, un familier des Wainwright, souligne un détail significatif : l'arme à feu utilisée dans ces circonstances tragiques a été retrouvé sur une route, à des kilomètres de la côte, par Steve Grange, le notaire des Wainwright.
Un an plus tard, Sir Henry Merrivale, qui séjourne dans la région chez un peintre de ses amis, trouve la solution de cette énigme que le docteur Croxley, malgré ses efforts, n'était pas parvenu à éclaircir.
Éditions
- Éditions originales en anglais
- (en) Carter Dickson, She Died a Lady, New York, Morrow, — édition originale américaine.
- (en) Carter Dickson, She Died a Lady, Londres, Heinemann, — édition originale britannique.
- Éditions françaises
- (fr) Carter Dickson (auteur) et Gabrielle Ferraris (traducteur), Je préfère mourir [« She Died a Lady »], Genève, Ditis, coll. « Détective-club - Suisse no 19 »,
- (fr) Carter Dickson (auteur) et Gabrielle Ferraris (traducteur), Je préfère mourir [« She Died a Lady »], Paris, Ditis, coll. « Détective-club - France no 5 », , 205 p. (BNF 31909875)
- (fr) John Dickson Carr (auteur) et Gabrielle Ferraris (traducteur), Je préfère mourir [« She Died a Lady »], Paris, Librairie des Champs-Élysées, coll. « Le Masque no 1883 », , 187 p. (ISBN 2-7024-1764-7, BNF 34910104)
Sources
- Jacques Baudou et Jean-Jacques Schleret, Les Métamorphoses de la chouette, Paris, Futuropolis, 1986, p. 58.
- Roland Lacourbe, John Dickson Carr : scribe du miracle. Inventaire d'une œuvre, Amiens, Encrage, 1997, p. 84.
Lien externe
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