Jean Joseph Vermylen-Neeffs

Jean Joseph était le fils de Pierre Vermylen et Barbe Rymenans (fille de Vincent Rymenans, adjudicataire de la ferme générale des domaines de West-Flandre). Marié à Marie Thérèse Jeanne Ghislaine Neeffs (nl), fille de Rombaut Corneille Neeffs van Laken, avocat puis procureur de l'Empereur d'Autriche au sein du Grand conseil des Pays-Bas à Malines, et de Marie Thérèse de Brouwer, arrière petit-nièce de Jean Neeffs et cousine de Jean-François-Xavier Estrix, il est le père d'Auguste Joseph Ghislain Vermylen, colonel du génie, directeur des fortifications à Liège[1].

Rentier, il devient membre du collège électoral de l'arrondissement de Malines.

Il est bourgmestre de Malines (Catholique-unioniste) de 1830 à 1836 en remplacement de Jean-Baptiste Olivier, qui avait été déposé avec un navire et trois conseillers après l'indépendance de la Belgique. Il est élu face à son neveu, Jean-Henri de Perceval, qui lui succède en tant que bourgmestre à son décès en 1836. Vermylen-Neefs a joué un rôle important dans l'opposition face aux Orange-Nassau.

Il était président de la Société de Malines pour l'encouragement des beaux-arts.

• Opiniegroepen en partijvorming in de stad Mechelen (1826-1860); Journal of Belgian History; 2015

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