Krak
Le krak est une construction fortifiée édifiée par les croisés en Palestine et en Syrie[1]. Le mot est issu de l'arabe karak - كرك - signifiant « forteresse », lui-même de l’araméen karkā ou syriaque karko « place forte, ville »[2]. Il a été rapporté en France (crac attesté vers 1195[2]) pour désigner des forteresses orientales à la suite des Croisades.
Parmi les plus connus :
- le krak des Chevaliers
- le krak des Moabites, dans la ville de Al-Karak, en Jordanie[3].
Références
- Guy Loew, « Les villes de Jordanie orientale », Géocarrefour, vol. 50, no 4, , p. 345–360 (DOI 10.3406/geoca.1975.1690, lire en ligne, consulté le )
- Krak sur le site du CNRTL (lire en ligne)
- Jean Richard, « Monique-Cécile Garand, éd. trad. introd. — Guibert de Nogent. Geste de Dieu par les Francs. Histoire de la première croisade. Turnhout, Brepols, 1998 Miroir du Moyen Âge) », Cahiers de Civilisation Médiévale, vol. 43, no 172, , p. 17–19 (lire en ligne, consulté le )
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