Ksar Douiret

Situé au sommet d'une butte, dans une position défensive, la structure de forme circulaire domine le village et ses habitations troglodytes[1].

Le site est ancien, André Louis donnant une estimation de sept à huit siècles pour la fondation de ce village dit pitonnier[1].

Le 10 janvier 2020, le gouvernement tunisien propose le site pour un futur classement sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco[2].

Le ksar compte un nombre indéterminé de ghorfas en raison de l'état dégradé du site, ce qui reste se répartissant sur trois à quatre étages, Kamel Laroussi évoquant même cinq étages[1].

De nos jours, le complexe est complètement en ruine[1].

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  Vue du ksar au pied de la butte.
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  Ruines dominées par le minaret de la mosquée.
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  Décoration dans une ghorfa.
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  Partie restaurée du ksar.

• Hédi Ben Ouezdou, Découvrir la Tunisie du Sud, de Matmata à Tataouine : ksour, jessour et troglodytes, Tunis, Hédi Ben Ouezdou, 2001, 78 p. (ISBN 978-9-973-31853-4).
• André Louis, Tunisie du sud : ksars et villages de crêtes, Paris, Éditions du Centre national de la recherche scientifique, 1975, 370 p. (ISBN 978-2-222-01642-7).
• Herbert Popp et Abdelfettah Kassah, Les ksour du Sud tunisien : atlas illustré d'un patrimoine culturel, Bayreuth, Naturwissenschaftliche Gesellschaft Bayreuth, 2010, 400 p. (ISBN 978-3-939-14604-9).

• Ksour de Tunisie

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