La Chapelle-Saint-Luc

La Chapelle-Saint-Luc est une commune française située dans le département de l'Aube en région Grand Est. Elle fait partie de Troyes Champagne Métropole. Ses habitants sont appelés les Chapelains et Chapelaines. Elle est 3e plus grande ville de l'Aube par sa population[1].

Pour les articles homonymes, voir La Chapelle.

La Chapelle-Saint-Luc

Parc Pierre-Pitois.

Blason
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Aube
Arrondissement Troyes
Intercommunalité Troyes Champagne Métropole
Maire
Mandat
Olivier Girardin
2020-2026
Code postal 10600
Code commune 10081
Démographie
Gentilé Chapelains
Population
municipale
11 741 hab. (2019 )
Densité 1 120 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 18′ 45″ nord, 4° 02′ 43″ est
Altitude Min. 98 m
Max. 164 m
Superficie 10,48 km2
Unité urbaine Troyes
(banlieue)
Aire d'attraction Troyes
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Troyes-3
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
La Chapelle-Saint-Luc
Géolocalisation sur la carte : France
La Chapelle-Saint-Luc
Géolocalisation sur la carte : Aube
La Chapelle-Saint-Luc
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
La Chapelle-Saint-Luc
Liens
Site web ville-la-chapelle-st-luc.fr

    Géographie

    Localisation

    Située à 115 mètres d'altitude, le fleuve la Seine, est le principal cours d'eau qui traverse la commune de la Chapelle-Saint-Luc.

    Communes limitrophes

    Toponymie

    Capella en 1147, nonas de capella sancti Luce en 1164.

    Urbanisme

    Typologie

    La Chapelle-Saint-Luc est une commune urbaine[Note 1],[2]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Troyes, une agglomération intra-départementale regroupant 18 communes[5] et 136 438 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[6],[7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Troyes, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 209 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[8],[9].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (61,3 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (57,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (30,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (28,4 %), terres arables (23,9 %), forêts (9,9 %), zones agricoles hétérogènes (4,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,7 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].

    Morphologie urbaine

    Le quartier « Chantereigne » est une zone d'une centaine d'hectares, à l'ouest de la rue Jean-Jaurès. Il se compose essentiellement d'habitats collectifs et d'équipements publics. Il est bordé au nord par le complexe sportif Lucien-Pinet, l'espace vert des Prés de Lyon et la zone pavillonnaire des Hameaux Saint-Luc.

    À l'origine, en 1963, le conseil municipal délibère sur la création d'une zone à urbaniser en priorité afin de permettre à la commune de renforcer son aménagement. L'objectif est de répondre aux besoins en logement d'une population grandissante, venue travailler dans l'importante zone industrielle où s'implantent diverses entreprises et usines. La construction du quartier Chantereigne a donc donné une physionomie nouvelle à la commune, impulsée par le développent économique des années 1970. Ce quartier regroupe aujourd'hui plus de la moitié de la population chapelaine.

    Sa rénovation a commencé au début des années 2000. La seconde phase (beaucoup plus significative), prévue dans le cadre de la zone urbaine sensible (ZUS) et soutenu par l'Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU), débute en 2009.

    Histoire

    Le village est cité en 1147 pour des dîmes dues à l'abbaye Saint-Loup[12] mais aussi dans une bulle de 1164 : nonas de Capella sancti Luce.
    Le fief était au comte de Champagne, relevait de Saint-Sépulcre, il y avait une mairie comtale puis royale. Parmi les seigneurs particuliers il faut citer la famille de Foulx[13] du XIVe siècle au XVIe siècle puis la famille de Nicolas Paillot, maire de Troyes à partir de 1597 et par mariage aux Lefvre. Marie Lefvre se mariait à Pierre-François de Mesgrigny en 1730. Les deux enfants Quinot furent les derniers seigneur à Chapelle-Saint-Luc. Les biens de la communauté comprenaient cinq pièces de terres représentant douze arpents.

    En 1789, Villy relevait de l'intendance et de la généralité de Châlons, de l'élection et du bailliage de Troyes et de la Mairie royale de Preize.

    Château

    Une maison forte est citée en 1399, en 1442[14], elle est décrite en 1779[15] : "motte et lieu seigneurial de la dite terre, sur laquelle sont construits les bâtiments consistant en grand corps de logis, construit en pierre ; écuries, étables, grange, colombier à pied, avec cour et le tout fermé de fossés". Il reste une cartouche des armes de la famille Foulx qui est conservé au musée de Troyes. Il a été détruit en 1842.

    Anciens moulins

    Connu sous les appellations de Molendi de Fossiaco, de Tirvau, de Tirvert, des Tirverts, de Petit-Foissy, de Fouchy et qui appartenaient aux dames de Foissy. Sont donnés les moulins qui sont au-dessus du grand pré de Sainte-Maure par Thibault II, comte de Champagne, aux dames dépendantes de l'abbaye de Fontevrault. En 1446, M. Boutiot louait un moulin à blé et un à papier[16]. Ruinés en 1461, ils sont réédifiés par les échevins en même temps que la fosse-vanne pour laisser passer les bateaux. Loués en 1471 à Philippe Dufour, en 1486 à Pierre Mérille, famille qui en avait la location perpétuelle et faisait exploiter les moulins par Jean Bernard dit Claudin en 1524, à Claude Denise et Jacques Tartier à partir de 1533. En 1558, ils sont décrits comme un moulin à écorces, isolés, un à foulon, deux à papier et deux à blés[17]. En 1649, les dames reprenaient aux locataires insolvables et bâtirent deux nouveaux moulins, un à blé fut loué pour 830 livres et l'autre pour 1 100 à Guttin père et fils. Deux moulins furent vendus comme matériaux en 1708 et en 1719, le nouveau moulin à blé fut loué à Julien Courtin et Madeleine Lenoir son épouse. Saisis lors de la Révolution française, les moulins furent vendus 10 200 livres au citoyen Nicolas Truelle-Sourdan, juge et avocat au district de Troyes. Brûlé par les Alliés en 1815, il ne fut relevé qu'en 1845 par M. Hoppenot pour en faire une filature pour la bourre de soie. En 1861, M. Marot en refaisait un moulin à blé qui fut vendu à la Compagnie agricole de minoterie en 1922.

    Politique et administration

    Entre le et le , La Chapelle-Saint-Luc était au canton de Sainte-Maure, puis de Troyes extra-muros jusqu'en an VIII avan de passer à celui de Saint-Martin-es-Vignes jusqu'en an IX. La Chapelle-Saint-Luc passe ensuite au 2e canton de Troyes.

    Tendances politiques et résultats

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1944 1959 Albert Cinget . .
    1959 1963 Edouard Charton . .
    1963 1977 Lucien Pinet . .
    1977 1983 Yves Predieri PS
    puis UDF
    Conseiller général du Canton de Troyes-4 (1973-1988)
    1983 1989 Paul Noley . .
    1989 2001 Pierre Pitois PS .
    2001 2008 Yves Rehn DVD Praticien hospitalier biologiste
    mars 2008 En cours Olivier Girardin[18]
    Réélu pour le mandat 2020-2026 [19]
    PS Cadre supérieur
    Conseiller régional
    Les données manquantes sont à compléter.

    Politique environnementale

    La commune a été récompensée par quatre fleurs au palmarès 2007 du concours des villes et villages fleuris[20].

    Jumelages

     Neckarbischofsheim (Allemagne)  : cérémonie officielle et signature des actes de jumelage par Albert Kumpf (Bürgermeister) et Lucien Pinet (maire).

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[21],[Note 3]

    En 2019, la commune comptait 11 741 habitants[Note 4], en diminution de 7,07 % par rapport à 2013 (Aube : +1,19 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    330310349259348367373398409
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    378383373402480569627588803
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    8819381 1171 2521 6591 9862 2502 0883 483
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    4 5946 52815 13616 24115 81514 44713 67612 71612 796
    2019 - - - - - - - -
    11 741--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 41,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (35,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,6 % la même année, alors qu'il est de 27,7 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 5 612 hommes pour 6 301 femmes, soit un taux de 52,89 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,41 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[24]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90 ou +
    1,5 
    6,2 
    75-89 ans
    8,8 
    15,0 
    60-74 ans
    15,2 
    16,2 
    45-59 ans
    17,9 
    18,0 
    30-44 ans
    17,0 
    17,4 
    15-29 ans
    17,9 
    26,9 
    0-14 ans
    21,7 
    Pyramide des âges du département de l'Aube en 2018 en pourcentage[25]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,8 
    90 ou +
    2 
    7,1 
    75-89 ans
    10,2 
    17,2 
    60-74 ans
    18 
    19,8 
    45-59 ans
    19,3 
    17,9 
    30-44 ans
    17,3 
    18 
    15-29 ans
    16 
    19,2 
    0-14 ans
    17,2 

    Culture locale et patrimoine

    Événement culturel

    Depuis 2016, l'association Fata Morgana organise le Festival International du Court Métrage Court en Scène[26],[27], qui s'est appelé pour la première édition "Festival International du Court Métrage du Grand Troyes". Les projections ont lieu au Centre Culturel Didier Bienaimé. Le festival a la particularité d'accueillir les réalisateurs des films sélectionnés pour leur permettre d'échanger avec le public.

    Lieux et monuments

    • Le parc Pierre-Pitois (anciennement "parc des étangs de Fouchy", renommé "parc Pierre-Pitois" le 18/10/15) : lieu de promenade avec aires de jeux, de pique-nique et parc animalier. On peut y voir un pavillon floral dédié aux variétés exotiques (orchidées, ficus, bananiers).
    • Le parc des Près de Lyon : promenade, parcours de santé, minigolf
    • Le musée de l'ancienne malterie de Champagne : il relate l'histoire de la cité, village devenu ville avec l'industrialisation.
    • L’église Saint-Luc : d'architecture gothique, située dans la vieille ville, elle a été construite en deux temps : l’abside, le transept doublé et la travée orientale datent de 1531, la travée et la façade ouest de 1579[28].

    Les parcs et squares à découvrir

    • Le parc Pierre Pitois, 78 avenue Aristide Briand.
    • Le parc des Près-de-Lyon, avenue Neckarbischofsheim.
    • Le parc cinquantenaire de la Libération, rues Pasteur et André Marceau.
    • Le parc Mouchotte, rue E. Mouchotte.
    • Le square Yves Prédieri, rue Raymond Chasseigne.
    • Le square Jorand, rue Raymond Poincaré.
    • Le square Les Hatées, rue Ernest Perochon.
    • Chemin rural, rue Lazare Carnot.

    Héraldique

    Lors des délibérations du conseil municipal du , le maire de l'époque, Lucien Pinet, fait savoir qu'il a pris contact avec la Société académique de l'Aube en vue de la confection d'une marque symbolique communale.

    Blason
    D'azur saint Luc d'argent contourné et le genou dextre posé à terre, tenant dans sa senestre maquette de chapelle d'or, brochant sur un bœuf d'argent contourné et couché à ses pieds derrière lui ; au chef cousu de gueules chargé d'une roue dentée d'argent accompagnée de quatre gerbes de blé d'or, deux de chaque côté.
    Détails
    Armes parlantes.
    Adopté par la municipalité.

    La description symbolique de cette composition a été établie comme suit : Les armes sont parlantes et rappellent le nom de la commune, le dessin de la chapelle rappelle d'aussi près que possible celui de l'église de La Chapelle Saint-Luc. Le bœuf est le symbole qui accompagne généralement l'évangéliste saint Luc et permet de le reconnaître dans l'imagerie. Dans la partie haute du blason (le chef), la roue dentée rappelle la caractère industriel de la commune et spécialement la présence d'une zone industrielle. Les gerbes de blé rappellent le caractère agricole de la commune.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références

    1. « AUBE : Carte, plan departement de l' Aube 10 », sur www.cartesfrance.fr (consulté le )
    2. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Unité urbaine 2020 de Troyes », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    8. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    12. Charles Lalore, Collection des principaux cartulaires du diocèse de Troyes, vol. 1, E. Thorin (Paris), (lire en ligne), « 16-14 avril 1147 », p. 35.
    13. AUssi écrit Fox, Folz, Fos.
    14. Archives départementales de l'Aube, E85.
    15. Archives départementales de l'Aube, E 948.
    16. Archives municipales de Troyes, AA, 16e carton, 1re liasse.
    17. Archives municipales de Troyes, AA, 29e carton.
    18. Conseil général de l'Aube mise à jour au 10 avril 2008
    19. https://reader.cafeyn.co/fr/1927222/21598566
    20. Source : Villes et Villages Fleuris
    21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    24. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de la Chapelle-Saint-Luc (10081) », (consulté le ).
    25. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département de l'Aube (10) », (consulté le ).
    26. « festival », sur festival (consulté le )
    27. « Le film court fait son cinéma au centre culturel Didier-Bienaimé à La Chapelle-Saint-Luc », L'Est Eclair,
    28. PA00078073

    Annexes

    Bibliographie

    • Roger Donon et Yann Harlaut, Mémoire en Images. La Chapelle Saint-Luc, éditions Alan Sutton, 2005, 128 p. (ISBN 2-84253-894-3)

    Articles connexes

    Liens externes

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