Louis Lepetit
Louis Gabriel Lepetit (né à Quimper, le , mort à Paris le ) est un général de division français.
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Louis-Gabriel Lepetit
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(à 95 ans) Paris |
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À partir de |
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| Archives conservées par |
Service historique de la Défense (GR 14 YD 446)[1] |
Carrière militaire
- Ecole Spéciale Militaire de Saint-Cyr (1893)
- 101e Régiment d'Infanterie - Sous-lieutenant (1895) - Lieutenant (1897)
- 2e Régiment Etranger d'Infanterie (1899)
- 103e Régiment d'Infanterie (1901)
- 25e Bataillon de Chasseurs à Pied (1908) - Capitaine
- 88e Régiment d'Infanterie
- 25e Bataillon de Chasseurs à Pied
- Ecole de Guerre (1911)
- 88e Régiment d'Infanterie (1911)
- 131e Régiment d'Infanterie (1912)
- EM du 4e Corps d'Armée (1913)
- Chef d'EM du 7e Division d'Infanterie () - Chef de Bataillon ()
- 153e Régiment d'Infanterie ()
- Chef d'EM du 158e Division d'Infanterie ()
- GQG ()
- Armée du Trentin ()
- État-Major du Général Commandant en Chef des Armées Alliées () - Lieutenant-Colonel
- 102e Régiment d'Infanterie ()
Campagnes
- Algérie ( - )
- Madagascar ( - )
- Algérie ( - )
- Contre l'Allemagne ( - )
Citations
- à l'ordre du 4e CA
- à l'ordre de la 6e Armée du 3e Bataillon du 153e RI
- à l'ordre de la 5e Armée du 102e RI « Du 16 au , sous le commandement du lieutenant-colonel LEPETIT, a contre-attaqué l’ennemi pour arrêter son avance, l’a fixé, l’a attaqué énergiquement pour le forcer à la retraite et, le poursuivant pendant douze kilomètres, a achevé glorieusement sa tâche en enlevant par une brillante manœuvre un village et une position fortement occupés. A fait plus de 150 prisonniers dont 4 officiers et a capturé un matériel de guerre considérable. »
- à l'ordre de la 4e Armée du 102e RI « Très beau régiment qui, sous le commandement énergique et l’habileté manœuvrière du lieutenant-colonel LEPETIT, a montré pendant les combats qu’il a livrés du au , dans deux secteurs différents, ses brillantes qualités offensives et son endurance.
Le , a réussi à faire un bond de 800 mètres sur un glacis battu par les mitrailleuses ennemies et soumis à de violents tirs d’artillerie. Du 9 au , après avoir travaillé sans relâche dans un terrain très difficile à réduire l’ennemi par la manœuvre, a rompu sa ligne, l’a poursuivi sans trêve pendant 20 kilomètres et, grâce à son initiative, l’a empêché de s’établir entre le canal des Ardennes et l’Aisne, permettant ainsi les opérations de nettoyage de cette région. A fait plus de 100 prisonniers et a capturé un matériel de guerre considérable. »
Décorations
- Officier de l'ordre de la Couronne d'Italie
- Chevalier de l'ordre des Saints-Maurice-et-Lazare
Portail de l’Armée française
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