Maison Saint-Jean

La Maison Saint-Jean, ancienne propriété Chénier dite de la Belle Levantine, est une maison de maître du début de XIXe siècle.

Maison Saint-Jean
Maison Saint-Jean en 2008
Présentation
Type
maison de maître
Partie de
Destination initiale
maison d'habitation
Architecte
Georges Auguste Ranchon
Construction
1er quart du XIXe siècle
Propriétaire
Patrimonialité
Localisation
Pays
Région
Département
Commune
Adresse
Coordonnées
48° 45′ 16″ N, 2° 17′ 53″ E
Localisation sur la carte des Hauts-de-Seine
Localisation sur la carte de France

Cette maison de maître (façades et toitures) fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le [1].

Histoire

La maison Chénier (carte postale ancienne)

Ce bâtiment a été construit par Louis-Sauveur Chénier, fils cadet de Louis Chénier, et frère d'André Chénier sur les plans de l'architecte Georges Auguste Ranchon. En 1820[2], cette maison est achetée par Jean-Charles Persil, ministre de Louis-Philippe, qui y meurt en 1870. Elle appartient aujourd'hui à la Fondation marianiste.

Deux personnalités marianistes importantes y séjournent. Le , dans la chapelle de la maison, le futur martyr Jakob Gapp s'engage définitivement dans la Société de Marie (Marianistes) en prononçant ses vœux perpétuels. Fin , le jeune Faustino Pérez-Manglano campe dans le parc au cours d'un séjour organisé par son collège, Santa Maria del Pilar de Valence[3],[4].

Voir aussi

Articles connexes

Notes et références


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